Les relations humaines et les valeurs sociales ainsi que la communication entre les êtres humains constituent les thématiques principales de l'exposition de l'artiste peintre Amor Idriss Lamin Dokman, organisée à la galerie «Baya», sous le titre «Masques et Bergamasque, sous les masques, quel dessein...». Cette collection, fruit d'un travail de recherche d'une année autour du masque et de sa place dans les différentes civilisations, regroupe 22 oeuvres réalisées selon les techniques mixtes (collage, dessin, papier collé et peinture) sur un support plastique caractérisé par une riche texture. «C'est une recherche graphique où est mis en relief le volume du visage», a indiqué l'artiste peintre à propos de cette série où la recherche graphique diffère d'un masque à un autre. «J'ai voulu donner l'impression de sortir le visage du fond du tableau et lui donner une certaine force» a précisé A.I.L. Dokman expliquant qu'il a oeuvré pour donner un équilibre au niveau de chaque masque et pour éviter la répétition d'une oeuvre. Dokman, qui a choisi une palette de couleurs en fonction de chaque thématique, à laquelle, il associe parfois les signes et symboles propres à chaque civilisation, a rendu aussi hommage aux différentes cultures, particulièrement africaine. Les relations humaines et les valeurs sociales ainsi que la communication entre les êtres humains constituent les thématiques principales de l'exposition de l'artiste peintre Amor Idriss Lamin Dokman, organisée à la galerie «Baya», sous le titre «Masques et Bergamasque, sous les masques, quel dessein...». Cette collection, fruit d'un travail de recherche d'une année autour du masque et de sa place dans les différentes civilisations, regroupe 22 oeuvres réalisées selon les techniques mixtes (collage, dessin, papier collé et peinture) sur un support plastique caractérisé par une riche texture. «C'est une recherche graphique où est mis en relief le volume du visage», a indiqué l'artiste peintre à propos de cette série où la recherche graphique diffère d'un masque à un autre. «J'ai voulu donner l'impression de sortir le visage du fond du tableau et lui donner une certaine force» a précisé A.I.L. Dokman expliquant qu'il a oeuvré pour donner un équilibre au niveau de chaque masque et pour éviter la répétition d'une oeuvre. Dokman, qui a choisi une palette de couleurs en fonction de chaque thématique, à laquelle, il associe parfois les signes et symboles propres à chaque civilisation, a rendu aussi hommage aux différentes cultures, particulièrement africaine.