Des études sont menées actuellement sur la maladie de l'anévrisme de l'aorte en Europe dans le but d'arrêter le processus de développement de cette maladie et d'éviter ainsi l'intervention chirurgicale aux personnes atteintes, a annoncé un institut de recherche français. Il s'agit d'un projet de recherche européen de quatre ans dont les premiers résultats sont attendus vers la fin de l'année 2009 et dont les recherches tournent autour de l'anévrisme de l'aorte qui est une pathologie menant au décès dans 80% des cas, ajoute la même source. L'anévrisme se déclenche par une dilatation localisée d'une artère (abdominale, thoracique ou cérébrale) ou par la perte de parallélisme des parois artérielles, explique-t-on, les complications de cette maladie mène, si elle n'est pas traitée, à la rupture artérielle. A travers ce projet, les chercheurs comptent pouvoir ralentir ou bloquer le processus d'anévrisme aortique avant le stade chirurgical, selon l'Institut pilotant ce programme. Des études sont menées actuellement sur la maladie de l'anévrisme de l'aorte en Europe dans le but d'arrêter le processus de développement de cette maladie et d'éviter ainsi l'intervention chirurgicale aux personnes atteintes, a annoncé un institut de recherche français. Il s'agit d'un projet de recherche européen de quatre ans dont les premiers résultats sont attendus vers la fin de l'année 2009 et dont les recherches tournent autour de l'anévrisme de l'aorte qui est une pathologie menant au décès dans 80% des cas, ajoute la même source. L'anévrisme se déclenche par une dilatation localisée d'une artère (abdominale, thoracique ou cérébrale) ou par la perte de parallélisme des parois artérielles, explique-t-on, les complications de cette maladie mène, si elle n'est pas traitée, à la rupture artérielle. A travers ce projet, les chercheurs comptent pouvoir ralentir ou bloquer le processus d'anévrisme aortique avant le stade chirurgical, selon l'Institut pilotant ce programme.
