Soixante-sept exposants proposent à la vente, jusqu'au premier août prochain, des bijoux en argent comme seuls les Ath Yenni savent en fabriquer. Soixante-sept exposants proposent à la vente, jusqu'au premier août prochain, des bijoux en argent comme seuls les Ath Yenni savent en fabriquer. Le coup d'envoi de la 8e édition de la Fête du bijou a été donné jeudi passé à Ath Yenni par le représentant du ministre de la PME/PMI et de l'Artisanat. C'est dans une ambiance festive que la petite localité des Ath Yenni a accueilli ces hôtes venus de de plusieurs régions pour prendre part à la cérémonie d'ouverture qui a eu lieu au CEM Larbi Meziani. L'animaton était assurée par des enfants et une troupe de Tizi-Ouzou qui a interprété avec brio des chants patriotiques et l'hymne national. Dans son allocution d'ouverture, le président de l'APC, M. Boumaâza, a souligné les difficultés rencontrées lors de la préparation de la fête et dans la recherche de sponsors. «Si nous n'avions pas fait de la pérennité de la fête du bijou notre souci, tout comme celui de procurer à nos citoyens et visiteurs quelques moments de joie et de détente, nous ne l'aurions jamais organisée», a-t-il déclaré à ce propos. Les bijoutiers ont été regroupés au niveau du CEM ou 67 exposants proposent à la vente, jusqu'au premier août prochain, des bijoux en argent comme seuls les Ath Yenni savent en fabriquer. Les autres artisans (tapissiers, pôtiers, forgerons…) ont été regroupés au niveau de la maison de jeunes. Il sont au nombre de 46 nous dit-on. Les bijoutiers que nous avons abordés nous ont tous fait part de la même préoccupation à savoir la cherté de la matière première. En effet, l'argent et le corail sont achetés au marché noir à prix exorbitants nous disent-ils. Au rythme où vont les choses le métier risque de disparaître car il ne permet plus de nourrir ceux qui continuent à le pratiquer par passion. Le bijou qui se vend cher, de l'avis des clients et des visiteurs rencontrés à Ath Yenni, n'est plus ollicité comme avant. C'est en été qu'il est le plus demandé, notamment par les mariées pour accompagner l'incontournable robe kabyle qui fait partie du trousseau et depuis quelques années, ces dernières optent pour la location plutôt que pour l'achat. Les bijoutiers d'Ath Yenni espèrent écouler leur joyaux durant cette fête qui est un moment propice pour la vente. Notons que côté animation, des soirées artistiques auront lieu chaque jour à partir de 21 heures ce qui permettra à la localité d'Ath Yenni de sortir un peu de la morosité qui marque les jours d'été des villages de la Kabylie. Le coup d'envoi de la 8e édition de la Fête du bijou a été donné jeudi passé à Ath Yenni par le représentant du ministre de la PME/PMI et de l'Artisanat. C'est dans une ambiance festive que la petite localité des Ath Yenni a accueilli ces hôtes venus de de plusieurs régions pour prendre part à la cérémonie d'ouverture qui a eu lieu au CEM Larbi Meziani. L'animaton était assurée par des enfants et une troupe de Tizi-Ouzou qui a interprété avec brio des chants patriotiques et l'hymne national. Dans son allocution d'ouverture, le président de l'APC, M. Boumaâza, a souligné les difficultés rencontrées lors de la préparation de la fête et dans la recherche de sponsors. «Si nous n'avions pas fait de la pérennité de la fête du bijou notre souci, tout comme celui de procurer à nos citoyens et visiteurs quelques moments de joie et de détente, nous ne l'aurions jamais organisée», a-t-il déclaré à ce propos. Les bijoutiers ont été regroupés au niveau du CEM ou 67 exposants proposent à la vente, jusqu'au premier août prochain, des bijoux en argent comme seuls les Ath Yenni savent en fabriquer. Les autres artisans (tapissiers, pôtiers, forgerons…) ont été regroupés au niveau de la maison de jeunes. Il sont au nombre de 46 nous dit-on. Les bijoutiers que nous avons abordés nous ont tous fait part de la même préoccupation à savoir la cherté de la matière première. En effet, l'argent et le corail sont achetés au marché noir à prix exorbitants nous disent-ils. Au rythme où vont les choses le métier risque de disparaître car il ne permet plus de nourrir ceux qui continuent à le pratiquer par passion. Le bijou qui se vend cher, de l'avis des clients et des visiteurs rencontrés à Ath Yenni, n'est plus ollicité comme avant. C'est en été qu'il est le plus demandé, notamment par les mariées pour accompagner l'incontournable robe kabyle qui fait partie du trousseau et depuis quelques années, ces dernières optent pour la location plutôt que pour l'achat. Les bijoutiers d'Ath Yenni espèrent écouler leur joyaux durant cette fête qui est un moment propice pour la vente. Notons que côté animation, des soirées artistiques auront lieu chaque jour à partir de 21 heures ce qui permettra à la localité d'Ath Yenni de sortir un peu de la morosité qui marque les jours d'été des villages de la Kabylie.
