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«Mascarades est juste une méthaphore d'un système»
Le réalisateur Lyes Salem à propos de son film
Publié dans Le Midi Libre le 18 - 09 - 2008

En réponse aux observations du public relatives au «décalage» de certaines scènes de «Mascarades» par rapport à la réalité, que son film est une oeuvre cinématographique sans prétention documentaire, Lyes affirme que «ce long-métrage, je l'ai fait avec mon âme de cinéaste, je l'ai puisé de mon imagination, de ma fantaisie, c'est juste une métaphore d'un système dans lequel la société évolue».
En réponse aux observations du public relatives au «décalage» de certaines scènes de «Mascarades» par rapport à la réalité, que son film est une oeuvre cinématographique sans prétention documentaire, Lyes affirme que «ce long-métrage, je l'ai fait avec mon âme de cinéaste, je l'ai puisé de mon imagination, de ma fantaisie, c'est juste une métaphore d'un système dans lequel la société évolue».
Le public de la cinémathèque d'Oran «Ouarsenis» a été convié à la projection en avant-première de «Mascarades», comédie du réalisateur et acteur algérien Lyès Salem. Ce nouveau film, de production algéro-française, a été projeté lundi soir en présence de comédiens et du jeune réalisateur qui signe ainsi son premier long-métrage, après un parcours des plus distingués dans le domaine du court-métrage. «Mascarades» raconte l'histoire d'un village paisible dont le quotidien a pour consistance des apparences trompeuses qui alimentent la rumeur publique autour de la famille de Mounir, personnage principal campé par Lyès Salem. Soucieux du devenir de sa soeur Rym, dont le village est persuadé qu'elle finira vieille fille, Mounir s'emporte un jour et annonce haut et fort qu'il lui a trouvé un riche prétendant, exacerbant davantage les spéculations des uns et des autres... «Mascarades» est une oeuvre divertissante qui permet, d'autre part, aux spectateurs de découvrir ou de redécouvrir de jeunes talents à l'instar de Sarah Reguieg, Mohamed Bouchaïb, Rym Takoucht, et Mourad Khan. Ce film rend aussi un bel hommage à l'admirable paysage de la région de Mechouneche, dans la wilaya de Biskra, où le tournage s'est déroulé pendant sept semaines. Au cours du débat qui a suivi la projection, Lyès Salem s'est vu féliciter par de nombreux cinéphiles qui estiment que son oeuvre participe à la relance du «7ème Art» algérien. Le cinéaste a, pour sa part, mis l'accent sur le plaisir que lui ont procuré la réalisation de cette comédie et la magnifique qualité de l'accueil réservé à son équipe par la population de Mechouneche. Il a également précisé, en réponse aux observations du public relatives au «décalage» de certaines scènes de «Mascarades» par rapport à la réalité, que son film est une «oeuvre cinématographique sans prétention documentaire». «Ce long-métrage, je l'ai fait avec mon âme de cinéaste, je l'ai puisé de mon imagination, de ma fantaisie, c'est juste une métaphore d'un système dans lequel la société évolue», a-t-il expliqué. Agé de 35 ans, Lyès Salem a successivement évolué en tant que comédien de théâtre, de télévision et de cinéma. Il a réalisé plusieurs courts-métrages qui lui valurent des prix internationaux et un César en France pour «Cousines» en 2003. «Mascarades» est à l'affiche de la cinémathèque d'Oran jusqu'au 20 septembre à raison de deux séances quotidiennes, l'après-midi et en soirée, alors que sa sortie en France est prévue le 10 décembre prochain.
Le public de la cinémathèque d'Oran «Ouarsenis» a été convié à la projection en avant-première de «Mascarades», comédie du réalisateur et acteur algérien Lyès Salem. Ce nouveau film, de production algéro-française, a été projeté lundi soir en présence de comédiens et du jeune réalisateur qui signe ainsi son premier long-métrage, après un parcours des plus distingués dans le domaine du court-métrage. «Mascarades» raconte l'histoire d'un village paisible dont le quotidien a pour consistance des apparences trompeuses qui alimentent la rumeur publique autour de la famille de Mounir, personnage principal campé par Lyès Salem. Soucieux du devenir de sa soeur Rym, dont le village est persuadé qu'elle finira vieille fille, Mounir s'emporte un jour et annonce haut et fort qu'il lui a trouvé un riche prétendant, exacerbant davantage les spéculations des uns et des autres... «Mascarades» est une oeuvre divertissante qui permet, d'autre part, aux spectateurs de découvrir ou de redécouvrir de jeunes talents à l'instar de Sarah Reguieg, Mohamed Bouchaïb, Rym Takoucht, et Mourad Khan. Ce film rend aussi un bel hommage à l'admirable paysage de la région de Mechouneche, dans la wilaya de Biskra, où le tournage s'est déroulé pendant sept semaines. Au cours du débat qui a suivi la projection, Lyès Salem s'est vu féliciter par de nombreux cinéphiles qui estiment que son oeuvre participe à la relance du «7ème Art» algérien. Le cinéaste a, pour sa part, mis l'accent sur le plaisir que lui ont procuré la réalisation de cette comédie et la magnifique qualité de l'accueil réservé à son équipe par la population de Mechouneche. Il a également précisé, en réponse aux observations du public relatives au «décalage» de certaines scènes de «Mascarades» par rapport à la réalité, que son film est une «oeuvre cinématographique sans prétention documentaire». «Ce long-métrage, je l'ai fait avec mon âme de cinéaste, je l'ai puisé de mon imagination, de ma fantaisie, c'est juste une métaphore d'un système dans lequel la société évolue», a-t-il expliqué. Agé de 35 ans, Lyès Salem a successivement évolué en tant que comédien de théâtre, de télévision et de cinéma. Il a réalisé plusieurs courts-métrages qui lui valurent des prix internationaux et un César en France pour «Cousines» en 2003. «Mascarades» est à l'affiche de la cinémathèque d'Oran jusqu'au 20 septembre à raison de deux séances quotidiennes, l'après-midi et en soirée, alors que sa sortie en France est prévue le 10 décembre prochain.


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