Une foule nombreuse est venue assister, jeudi dernier, à la clôture des Journées internationales du film de court-métrage qui ont eu lieu au cinéma ex-Capitol. Une ambiance conviviale et chaleureuse régnait lors de cette clôture grâce à la troupe de zorna avant même le commencement de la projection des courts-métrages. Les réalisateurs et les invités étrangers, subjugués par les mélodies rythmiques de la musique, n'ont pas pu s'empêcher de danser sur la placette du 1er-Novembre. C'était beau à voir. Il y avait de la joie ce jour-là à Blida. Une foule nombreuse est venue assister, jeudi dernier, à la clôture des Journées internationales du film de court-métrage qui ont eu lieu au cinéma ex-Capitol. Une ambiance conviviale et chaleureuse régnait lors de cette clôture grâce à la troupe de zorna avant même le commencement de la projection des courts-métrages. Les réalisateurs et les invités étrangers, subjugués par les mélodies rythmiques de la musique, n'ont pas pu s'empêcher de danser sur la placette du 1er-Novembre. C'était beau à voir. Il y avait de la joie ce jour-là à Blida. Une foule nombreuse est venue assister, jeudi dernier, à la clôture des Journées internationales du film de court-métrage qui ont eu lieu au cinéma ex-Capitol. Une ambiance conviviale et chaleureuse régnait lors de cette clôture grâce à la troupe de zorna avant même le commencement de la projection des courts-métrages. Les réalisateurs et les invités étrangers, subjugués par les mélodies rythmiques de la musique, n'ont pas pu s'empêcher de danser sur la placette du 1er-Novembre. C'était beau à voir. Il y avait de la joie ce jour-là à Blida. Ils ont dit Ingrid Pateta (réalisatrice - France) : «Je suis venue à Blida pour présenter un documentaire dont le thème était l'eau et le savoir-faire traditionnel, un court-métrage tourné au Niger, grâce auquel j'ai décroché le premier prix (la Girafe d'or) lors du festival sur l'environnement au Niger. Je suis heureuse d'avoir participé à ces journées. Cette invitation était une occasion pour moi de voir l'Algérie et de visiter Blida qui est une charmante ville. J'ai été impressionnée par l'excellente organisation et l'acceuil chaleureux de la population blidéenne. Je serai présente l'année prochaine pour le festival international du film de court-métrage qui aura lieu à Chréa.» Philipe Jalladeau (fondateur du Festival des trois continents) : «J'ai beaucoup apprécié ces journées qui ont été un vrai succès. Blida aura son festival international du film de court-métrage l'année prochaine avec un jury. L'organisation a été parfaite. Je félicite les organisateurs, les réalisateurs et les autorités locales qui ont été à la hauteur.» Samadi (directeur de la culture de la wilaya de Blida ) : «Ces journées sont une opportunité pour Blida pour la réhabilitation du 7e art et pour inciter les cinéphiles à s'organiser en club ou en association pour donner un nouvel élan au cinéma. La direction de la culture est à la recherche d'un partenaire sérieux avec lequel on pourra composer et lui confier des projets culturels. Notre vœu est d'institutionnaliser ces journées internationales du film de court-métrage en un festival international." Une foule nombreuse est venue assister, jeudi dernier, à la clôture des Journées internationales du film de court-métrage qui ont eu lieu au cinéma ex-Capitol. Une ambiance conviviale et chaleureuse régnait lors de cette clôture grâce à la troupe de zorna avant même le commencement de la projection des courts-métrages. Les réalisateurs et les invités étrangers, subjugués par les mélodies rythmiques de la musique, n'ont pas pu s'empêcher de danser sur la placette du 1er-Novembre. C'était beau à voir. Il y avait de la joie ce jour-là à Blida. Ils ont dit Ingrid Pateta (réalisatrice - France) : «Je suis venue à Blida pour présenter un documentaire dont le thème était l'eau et le savoir-faire traditionnel, un court-métrage tourné au Niger, grâce auquel j'ai décroché le premier prix (la Girafe d'or) lors du festival sur l'environnement au Niger. Je suis heureuse d'avoir participé à ces journées. Cette invitation était une occasion pour moi de voir l'Algérie et de visiter Blida qui est une charmante ville. J'ai été impressionnée par l'excellente organisation et l'acceuil chaleureux de la population blidéenne. Je serai présente l'année prochaine pour le festival international du film de court-métrage qui aura lieu à Chréa.» Philipe Jalladeau (fondateur du Festival des trois continents) : «J'ai beaucoup apprécié ces journées qui ont été un vrai succès. Blida aura son festival international du film de court-métrage l'année prochaine avec un jury. L'organisation a été parfaite. Je félicite les organisateurs, les réalisateurs et les autorités locales qui ont été à la hauteur.» Samadi (directeur de la culture de la wilaya de Blida ) : «Ces journées sont une opportunité pour Blida pour la réhabilitation du 7e art et pour inciter les cinéphiles à s'organiser en club ou en association pour donner un nouvel élan au cinéma. La direction de la culture est à la recherche d'un partenaire sérieux avec lequel on pourra composer et lui confier des projets culturels. Notre vœu est d'institutionnaliser ces journées internationales du film de court-métrage en un festival international."
