Dans le cadre de la manifestation «le Printemps des arts», le cérémonial du mariage algérois a été le thème d'un après-midi culturel organisé avant-hier au Musée national des arts et traditions populaires (Alger). Au programme de ce cérémonial, dont l'animation musicale était assurée par une troupe «zorna», figurait le rituel du henné du marié et de la mariée, accompagné de «takdim», chants mettant en valeur les qualités des futurs époux, ainsi que la «boqala», tradition consistant en la lecture de poèmes dédiés aux personnes aimées et absentes. Lors de ce cérémonial, une importance a été également accordée aux costumes portés par les mariés au moment du rituel du henné et consistant pour la femme en un peignoir en satin rose et un châle brodé main et pour l'homme en un seroual «testifa» (à plis), un «ahzam» (ceinture en soie), une «ghlila» (gilet brodé avec du fil d'or), une «chéchia» (couvre-chef) rouge et un burnous blanc. Il est à rappeler que parmi les activités organisées, dans le cadre du patrimoine immatériel, le Musée national des arts et traditions populaires, a déjà organisé des après-midis culturels consacrés à «Boughendja» (cérémonie organisée lors de la sécheresse), «Yennayer» (Nouvel an amazigh) et «Boqalas». Le 15 avril, il est prévu une activité patrimoniale autour du mariage, selon la tradition de Sidi Maâmar. Dans le cadre de la manifestation «le Printemps des arts», le cérémonial du mariage algérois a été le thème d'un après-midi culturel organisé avant-hier au Musée national des arts et traditions populaires (Alger). Au programme de ce cérémonial, dont l'animation musicale était assurée par une troupe «zorna», figurait le rituel du henné du marié et de la mariée, accompagné de «takdim», chants mettant en valeur les qualités des futurs époux, ainsi que la «boqala», tradition consistant en la lecture de poèmes dédiés aux personnes aimées et absentes. Lors de ce cérémonial, une importance a été également accordée aux costumes portés par les mariés au moment du rituel du henné et consistant pour la femme en un peignoir en satin rose et un châle brodé main et pour l'homme en un seroual «testifa» (à plis), un «ahzam» (ceinture en soie), une «ghlila» (gilet brodé avec du fil d'or), une «chéchia» (couvre-chef) rouge et un burnous blanc. Il est à rappeler que parmi les activités organisées, dans le cadre du patrimoine immatériel, le Musée national des arts et traditions populaires, a déjà organisé des après-midis culturels consacrés à «Boughendja» (cérémonie organisée lors de la sécheresse), «Yennayer» (Nouvel an amazigh) et «Boqalas». Le 15 avril, il est prévu une activité patrimoniale autour du mariage, selon la tradition de Sidi Maâmar.