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Le courant ne passe plus
Constantine, Mouvement associatif, autorités locales
Publié dans Le Midi Libre le 27 - 04 - 2009

Le coordinateur du mouvement associatif a dénoncé haut et fort la gabegie qui caractérise le « décor » social et économique de la wilaya. Il n'a pas mâché ses mots et il a accusé les autorités locales de tous les maux.
Le coordinateur du mouvement associatif a dénoncé haut et fort la gabegie qui caractérise le « décor » social et économique de la wilaya. Il n'a pas mâché ses mots et il a accusé les autorités locales de tous les maux.
Le coordinateur du mouvement associatif de la wilaya de Constantine défie les autorités locales, et les autorités locales lui déclarent la guerre ! Ce litige a pris des tournures inattendues. En effet, et au lendemain de la conférence de presse animée par M. Lattafi, responsable de ce mouvement associatif, et durant laquelle il n'a pas hésité à tirer à boulets rouges sur le wali et son chef de cabinet, l'on était surpris d'apprendre que l'adjoint de ce coordinateur et des cadres dudit mouvement ont retiré leur confiance à M. Lattafi. La réaction des «compagnons» de M. Lattafi a-t-elle été réfléchie. Si oui, cela veut dire que le responsable de ce mouvement associatif n'a pas osé provoquer les autorités locales seulement mais également ses collaborateurs, car les critiques venimeuses adoptées par ce responsable lors de la conférence de presse sont très graves ! Ce responsable a dénoncé haut et fort la gabegie qui caractérise le «décor» social et économique de la wilaya. Il n'a pas mâché ses mots et il a accusé les autorités locales de tous les maux. Un tel jugement porté à l'encontre de la gestion locale ne doit pas se faire sans le consentement de toute la corporation concernée. Mais si ce responsable a été pris à «contre-pied», là c'est une autre histoire ! Ce qu'il faut savoir, c'est que M. Lattafi était l'un des farouches partisans de la politique menée par le wali de Constantine. Il s'est donné «corps et âme» pour faire valoir la stratégie de M. Boudiaf. Que s'est-il passé pour que M. Lattafi aille jusqu'à la médiatisation de son dégoût face aux pratiques qu'il estime «malsaines et désolantes», commises par les autorités locales ? Comment les «choses» en sont-elles arrivées jusqu'à la rupture pure et simple entre les autorités locales et le porte-parole du citoyen ? Rien n'a filtré pour le moment. Une source bien au fait de cette situation nous indique que les autorités locales de la wilaya de Constantine ne comptent pas fermer les yeux sur ce grave dépassement. Ce conflit qui vient d'apparaître laisse les Constantinois pantois. En attendant plus d'éclaircissements sur les tenants et les aboutissants de cette affaire, l'opinion publique est devenue otage de toutes les rumeurs.
Le coordinateur du mouvement associatif de la wilaya de Constantine défie les autorités locales, et les autorités locales lui déclarent la guerre ! Ce litige a pris des tournures inattendues. En effet, et au lendemain de la conférence de presse animée par M. Lattafi, responsable de ce mouvement associatif, et durant laquelle il n'a pas hésité à tirer à boulets rouges sur le wali et son chef de cabinet, l'on était surpris d'apprendre que l'adjoint de ce coordinateur et des cadres dudit mouvement ont retiré leur confiance à M. Lattafi. La réaction des «compagnons» de M. Lattafi a-t-elle été réfléchie. Si oui, cela veut dire que le responsable de ce mouvement associatif n'a pas osé provoquer les autorités locales seulement mais également ses collaborateurs, car les critiques venimeuses adoptées par ce responsable lors de la conférence de presse sont très graves ! Ce responsable a dénoncé haut et fort la gabegie qui caractérise le «décor» social et économique de la wilaya. Il n'a pas mâché ses mots et il a accusé les autorités locales de tous les maux. Un tel jugement porté à l'encontre de la gestion locale ne doit pas se faire sans le consentement de toute la corporation concernée. Mais si ce responsable a été pris à «contre-pied», là c'est une autre histoire ! Ce qu'il faut savoir, c'est que M. Lattafi était l'un des farouches partisans de la politique menée par le wali de Constantine. Il s'est donné «corps et âme» pour faire valoir la stratégie de M. Boudiaf. Que s'est-il passé pour que M. Lattafi aille jusqu'à la médiatisation de son dégoût face aux pratiques qu'il estime «malsaines et désolantes», commises par les autorités locales ? Comment les «choses» en sont-elles arrivées jusqu'à la rupture pure et simple entre les autorités locales et le porte-parole du citoyen ? Rien n'a filtré pour le moment. Une source bien au fait de cette situation nous indique que les autorités locales de la wilaya de Constantine ne comptent pas fermer les yeux sur ce grave dépassement. Ce conflit qui vient d'apparaître laisse les Constantinois pantois. En attendant plus d'éclaircissements sur les tenants et les aboutissants de cette affaire, l'opinion publique est devenue otage de toutes les rumeurs.


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