«Une adaptation et un changement de mode opérationnel du corps de la Gendarmerie nationale sont menés pour faire face au crime qui s'organise en interconnexions et en réseaux complexes qu'il est souvent difficile de neutraliser par les moyens habituels», a indiqué, hier, à l'APS le Général-major Ahmed Boustila. Présidant la cérémonie d'installation du colonel Ali Tourech dans ses nouvelles fonctions de commandant du 5e commandement régional de la Gendarmerie nationale, M. Boustila a ajouté que cette adaptation s'accompagne «d'une panoplie de supports technologiques et informatiques ainsi que d'une formation de qualité des hommes. L'une de nos préoccupations majeures, aujourd'hui, est l'éradication totale du terrorisme», affirme-t-il. Et de souligner : «Même si nous assistons actuellement à l'effondrement du terrorisme, la vigilance doit être de rigueur car une bête blessée est toujours dangereuse.» Au cours de son intervention, le général-major Boustila a appelé les éléments du corps constitué qu'il commande, à faire montre de «plus de mobilisation, de vigilance, de professionnalisme et d'abnégation dans leur lutte contre la criminalité et de mettre leur compétence au service de la défense des citoyens, de la préservation de la stabilité et de la paix et de l'instauration de l'Etat de droit». «Pour être plus performante, la lutte contre les nouvelles formes du mal nécessite davantage de disponibilité, d'aptitude, de coordination et d'échanges d'informations, ainsi qu'une utilisation optimale des moyens modernes mis en œuvre par l'Etat, à l'exemple de l'Institut national de criminalistique et de criminologie et, surtout, un comportement alliant la compétence au sacrifice», a ajouté le commandant de la Gendarmerie nationale. A son arrivée au siège du 5e commandement régional de la Gendarmerie nationale, le général-major Ahmed Boustila, accompagné du général-major BenAli Benali, commandant de la 5e région militaire, et d'officiers supérieurs des deux corps, avait passé en revue un détachement de gendarmes avant de présider la cérémonie de passation de consigne entre le colonel Ali Tourech, nouveau commandant, et le colonel Amar Tounsi, appelé à assumer les fonctions de commandant en chef des gardes-frontières. «Une adaptation et un changement de mode opérationnel du corps de la Gendarmerie nationale sont menés pour faire face au crime qui s'organise en interconnexions et en réseaux complexes qu'il est souvent difficile de neutraliser par les moyens habituels», a indiqué, hier, à l'APS le Général-major Ahmed Boustila. Présidant la cérémonie d'installation du colonel Ali Tourech dans ses nouvelles fonctions de commandant du 5e commandement régional de la Gendarmerie nationale, M. Boustila a ajouté que cette adaptation s'accompagne «d'une panoplie de supports technologiques et informatiques ainsi que d'une formation de qualité des hommes. L'une de nos préoccupations majeures, aujourd'hui, est l'éradication totale du terrorisme», affirme-t-il. Et de souligner : «Même si nous assistons actuellement à l'effondrement du terrorisme, la vigilance doit être de rigueur car une bête blessée est toujours dangereuse.» Au cours de son intervention, le général-major Boustila a appelé les éléments du corps constitué qu'il commande, à faire montre de «plus de mobilisation, de vigilance, de professionnalisme et d'abnégation dans leur lutte contre la criminalité et de mettre leur compétence au service de la défense des citoyens, de la préservation de la stabilité et de la paix et de l'instauration de l'Etat de droit». «Pour être plus performante, la lutte contre les nouvelles formes du mal nécessite davantage de disponibilité, d'aptitude, de coordination et d'échanges d'informations, ainsi qu'une utilisation optimale des moyens modernes mis en œuvre par l'Etat, à l'exemple de l'Institut national de criminalistique et de criminologie et, surtout, un comportement alliant la compétence au sacrifice», a ajouté le commandant de la Gendarmerie nationale. A son arrivée au siège du 5e commandement régional de la Gendarmerie nationale, le général-major Ahmed Boustila, accompagné du général-major BenAli Benali, commandant de la 5e région militaire, et d'officiers supérieurs des deux corps, avait passé en revue un détachement de gendarmes avant de présider la cérémonie de passation de consigne entre le colonel Ali Tourech, nouveau commandant, et le colonel Amar Tounsi, appelé à assumer les fonctions de commandant en chef des gardes-frontières.
