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Le règne de l'anarchie
Vendeurs à la sauvette à Aïn Naâdja
Publié dans Le Midi Libre le 13 - 06 - 2009

"Ils font ce qu'ils veulent, personne n'intervient, ce n'est pas un marché c'est un taudis. Comment faire face à la cherté de la vie tout en assistant impuissants à l'impunité de ces hors la loi, qui font de notre quotidien un enfer", tels sont les propos d'un commerçant révolté par la situation qui prévaut aux alentours du marché communal de Aïn Naâdja. En fait les commerçants installés au sein dudit marché dénoncent la présence de revendeurs "parasites" squattant les lieux. Ces derniers sont là tous les jours étalant leurs fruits et légumes. Ils n'ont pas l'autorisation requise pour ce genre d'exercice, mais chaque jour, ils investissent les espaces laissés libres avec leurs camionnettes pleines à ras bord de différents fruits et légumes de saison. Ils bloquent l'accès du marché, ce qui contraint les clients à s'approvisionner auprès d'eux. Ces revendeurs ignorent totalement les lois de la mercuriale fixant les prix à la vente de façon arbitraire. La plupart d'entre eux ne daignent même pas afficher ces prix, en dépit de la loi du commerce la loi 04-02 du 23 juin 2004, laquelle stipule que tous les commerçants se voient dans l'obligation d'afficher de façon claire et évidente, les prix des marchandises proposées à la consommation du citoyen. Rien de tout cela n'est appliqué, pour cause de l'absence totale des autorités concernées par le contrôle des prix. Les résidants de Aïn Naâdja sont indignés par de telles pratiques qualifiées de "scandaleuses". Ces revendeurs en camionnettes ne sont pas propres à cette localité, on les retrouve partout dans toutes les localités de la capitale, ou dans un terme plus adéquat. Ces adeptes du commerce parallèle s'installent souvent sur les trottoirs forçant ainsi les passants à emprunter la voie réservée aux automobilistes, les exposant ainsi aux risques d'accidents chaque jour. L'autre inconvénient est celui des déchets laissés sur place en fin de journée par ces "commerçants parasites". Ces derniers jettent leurs détritus sur les trottoirs, provoquant ainsi des chutes pour de nombreux passants, ceci sans parler des odeurs infectes qui s'en dégagent. Cette absence de civisme cause d'énormes problèmes aux citoyens lesquels lancent un appel aux autorités communales afin de mettre un terme à cette situation.
"Ils font ce qu'ils veulent, personne n'intervient, ce n'est pas un marché c'est un taudis. Comment faire face à la cherté de la vie tout en assistant impuissants à l'impunité de ces hors la loi, qui font de notre quotidien un enfer", tels sont les propos d'un commerçant révolté par la situation qui prévaut aux alentours du marché communal de Aïn Naâdja. En fait les commerçants installés au sein dudit marché dénoncent la présence de revendeurs "parasites" squattant les lieux. Ces derniers sont là tous les jours étalant leurs fruits et légumes. Ils n'ont pas l'autorisation requise pour ce genre d'exercice, mais chaque jour, ils investissent les espaces laissés libres avec leurs camionnettes pleines à ras bord de différents fruits et légumes de saison. Ils bloquent l'accès du marché, ce qui contraint les clients à s'approvisionner auprès d'eux. Ces revendeurs ignorent totalement les lois de la mercuriale fixant les prix à la vente de façon arbitraire. La plupart d'entre eux ne daignent même pas afficher ces prix, en dépit de la loi du commerce la loi 04-02 du 23 juin 2004, laquelle stipule que tous les commerçants se voient dans l'obligation d'afficher de façon claire et évidente, les prix des marchandises proposées à la consommation du citoyen. Rien de tout cela n'est appliqué, pour cause de l'absence totale des autorités concernées par le contrôle des prix. Les résidants de Aïn Naâdja sont indignés par de telles pratiques qualifiées de "scandaleuses". Ces revendeurs en camionnettes ne sont pas propres à cette localité, on les retrouve partout dans toutes les localités de la capitale, ou dans un terme plus adéquat. Ces adeptes du commerce parallèle s'installent souvent sur les trottoirs forçant ainsi les passants à emprunter la voie réservée aux automobilistes, les exposant ainsi aux risques d'accidents chaque jour. L'autre inconvénient est celui des déchets laissés sur place en fin de journée par ces "commerçants parasites". Ces derniers jettent leurs détritus sur les trottoirs, provoquant ainsi des chutes pour de nombreux passants, ceci sans parler des odeurs infectes qui s'en dégagent. Cette absence de civisme cause d'énormes problèmes aux citoyens lesquels lancent un appel aux autorités communales afin de mettre un terme à cette situation.

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