L'été n'est pas seulement une saison de chaleur mais aussi une saison où mouches, moustiques et reptiles font leur apparition à grande échelle, tant et tellement que le nettoyage et le désherbage aux alentours des immeubles s'imposent. Devant l'absence totale des employés de la commune, des jeunes, chômeurs de surcroit, du bâtiment 25 comptant 4 blocs et 32 logements, sis à la cité Daïa Ahmed (1.700 logts), ont décidé de prendre le destin de leur environnement en main. Ainsi, après avoir peint les entrées des blocs et les trottoirs, une opération de volontariat de grande envergure a permis de désherber et nettoyer l'arrière du bâtiment qui était le refuge principal des serpents, des lézards et des rats et qui représentait un danger potentiel pour les bambins qui jouaient dans cette zone. Après quoi une troisième opération a été entamée cette semaine, consistant à donner à ce bâtiment une image digne des cités modernes en plantant des arbustes et des fleurs tout le long du trottoir, aidés en cela par les habitants qui ont cotisé pour acheter le nécessaire (peinture, terre fertile, plants etc.). Ces jeunes projettent aussi de placer des balançoires et autres moyens de distraction pour enfants à condition que le vide qui sépare l'arrière du bâtiment au mur du stade soit remblayé, une opération qui nécessite l'utilisation de moyens lourds et donc le concours des entreprises locales. Une opération qui mérite un encouragement et qui démontre encore une fois que notre jeunesse n'est pas condamnée à la drogue, au banditisme et à la harga, mais plutôt une jeunesse mûre qui nécessite d'être respectée, prise en charge et orientée vers le bon chemin, car elle est capable de faire des miracles. L'été n'est pas seulement une saison de chaleur mais aussi une saison où mouches, moustiques et reptiles font leur apparition à grande échelle, tant et tellement que le nettoyage et le désherbage aux alentours des immeubles s'imposent. Devant l'absence totale des employés de la commune, des jeunes, chômeurs de surcroit, du bâtiment 25 comptant 4 blocs et 32 logements, sis à la cité Daïa Ahmed (1.700 logts), ont décidé de prendre le destin de leur environnement en main. Ainsi, après avoir peint les entrées des blocs et les trottoirs, une opération de volontariat de grande envergure a permis de désherber et nettoyer l'arrière du bâtiment qui était le refuge principal des serpents, des lézards et des rats et qui représentait un danger potentiel pour les bambins qui jouaient dans cette zone. Après quoi une troisième opération a été entamée cette semaine, consistant à donner à ce bâtiment une image digne des cités modernes en plantant des arbustes et des fleurs tout le long du trottoir, aidés en cela par les habitants qui ont cotisé pour acheter le nécessaire (peinture, terre fertile, plants etc.). Ces jeunes projettent aussi de placer des balançoires et autres moyens de distraction pour enfants à condition que le vide qui sépare l'arrière du bâtiment au mur du stade soit remblayé, une opération qui nécessite l'utilisation de moyens lourds et donc le concours des entreprises locales. Une opération qui mérite un encouragement et qui démontre encore une fois que notre jeunesse n'est pas condamnée à la drogue, au banditisme et à la harga, mais plutôt une jeunesse mûre qui nécessite d'être respectée, prise en charge et orientée vers le bon chemin, car elle est capable de faire des miracles.
