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Sao Tomé-et-Principe, le pays du Chocolat
Publié dans Le Midi Libre le 18 - 07 - 2009

Avec une histoire dense aux contours universels, São Tomé et Príncipe constitue une mosaïque culturelle très riche. La population santoméenne, issue du métissage entre les populations portugaises et indigènes, originaires du Golfe de Guinée, d'Angola, du Cap-Vert et du Mozambique, explique cette richesse de la culture (folklore, langue, danse, musique, rites et gastronomie). Nous la découvrons, à l'occasion du 2e festival culturel panafricain d'Alger.
Avec une histoire dense aux contours universels, São Tomé et Príncipe constitue une mosaïque culturelle très riche. La population santoméenne, issue du métissage entre les populations portugaises et indigènes, originaires du Golfe de Guinée, d'Angola, du Cap-Vert et du Mozambique, explique cette richesse de la culture (folklore, langue, danse, musique, rites et gastronomie). Nous la découvrons, à l'occasion du 2e festival culturel panafricain d'Alger.
Sao Tomé-et-Principe
Sao Tomé-et-Principe (ou São Tomé-et-Príncipe ou São Tomé e Príncipe (en portugais, mais aussi utilisé en français) ou anciennement Île Saint-Thomas et île du Prince), est un pays sur un archipel de l'Atlantique Sud situé dans le golfe de Guinée à 350 km des côtes du Gabon. Il est composé des îles de Sao Tomé et de Principe. Il couvre une surface de 1 001 km2. Sao Tomé-et-Principe est une ancienne colonie du Portugal.
Le portugais São Tomé e Príncipe signifie littéralement Saint-Thomas-et-Prince. Les dénominations Saint-Thomas-et-Prince et Saint-Thomas-et-Île-du-Prince sont désormais peu usitées en français. L'Organisation des Nations unies, la commission de toponymie de l'Institut géographique national français et l'Institut national de la statistique et des études économiques français (INSEE) utilisent Sao Tomé-et-Principe. Le Petit Robert donne São Tomé-et-Príncipe. L'Union européenne préconise São Tomé e Príncipe.
Un des plus petits Etats d'Afrique, surnommé "Îles du Milieu du Monde" mais aussi "Île Chocolat" ...
Géographie
L'archipel est constitué de deux îles principales (appelées concelhos) d'origine volcanique, Sao Tomé (850 km2) et Principe (142 km2), ainsi que les petites îles ou îlots environnants de Cabras au nord, de Sete Pedras, de Santana et de Quixiba à l'est, de Rolas au sud, réputée pour ses voador, des poissons volants et Gobaldo et Coco à l'ouest. L'archipel couvre une superficie totale de 1 001 km2. Il est situé à quelque 350 km des côtes gabonaises et l'Equateur passe à 2 kilomètres de Ponta Lamaporco, la pointe sud de l'île de Sao Tomé, la séparant de l'île Rolas.
La capitale et principal port du pays est la ville de Sao Tomé (53 300 habitants). L'île principale ne compte qu'une douzaine de villages, principalement dans le nord de l'île.
La distance séparant l'île de Sao Tomé de l'île de Principe est de 152 km.
Le point culminant du pays est le Pico de Sao Tomé (2 024 m). On note également la présence de deux parcs naturels (zones de conservation) d'une surface totale de 295 km2, soit 30 % de la superficie de l'archipel. Ce pays est le plus petit des pays d'Afrique.
Histoire
L'île de Sao Tomé est découverte le jour de la Saint-Thomas, le 21 décembre 1471, par les navigateurs portugais João de Santarem et Pedro Escobar.
Au cours du XVe siècle, des colons portugais viendront s'y installer, apportant avec eux des esclaves qui travailleront dans les plantations de canne à sucre.
L'archipel acquiert son indépendance le 12 juillet 1975, avec le président Manuel Pinto da Costa qui installe alors un régime marxiste de parti unique. En 1990, le multipartisme est restauré et le pays s'ouvre à la démocratie. Malgré des tentatives de putsch, le régime démocratique reste en place et connaît des alternances politiques.
Depuis la Constitution, en août 1990, la République démocratique de Sao Tomé-et-Principe est une république de type présidentiel pluraliste.
Cette république a déjà vécu des alternances entre les deux principaux partis, le parti social-démocrate et le Parti de la convergence démocratique.
Arts plastique
L'art plastique est un phénomène culturel nouveau pour São Tomé et Principe. Les peintres, les sculpteurs, les artisans de talent ne manquent pas. Il est possible de rencontrer les artistes à divers endroits : à São Tomé à la galerie Teia D'arte, à la roça São João, à la Santa Casa da Misericordia. Quant à l'artisanat, un dépôt vente est ouvert au public près de l'hôtel Miramar. Il faut noter aussi que plusieurs hôtels, restaurants et bars proposent des lieux d'exposition et de ventes.
Le théâtre
L'aspect le plus original de la culture de São Tomé, théâtre dansé et joué par les hommes uniquement, contant une intrigue de l'époque de Charlemagne.
Dans l'île, se développe depuis le XVIe siècle, un des plus curieux théâtres du monde; le tchiloli. Ce nom étrange pourrait venir de «tragédie» ou de «théorie» (ambassade ou procession selon l'étymologie grecque). En effet, les acteurs, tous des hommes, parcourent, en tous sens, l'aire de jeu taillée dans une clairière de forêt, dansent les pavanes, les quadrilles et les menuets des anciennes cours européennes au son d'instruments de musique africains, après avoir déambulé du village jusqu'au cimetière, pour arroser de vin de palme les tombes des ancêtres. Ganelon, en veste striée de galons scintillants, Charlemagne, en cape de velours et couronne de laiton, surmontée d'une croix, l'Impératrice en longue robe flamboyante, le Marquis de Mantoue en redingote noire et chapeau mou, le Duc Aymon portant cape et natte dans le dos, Sybille et Ermeline, en jupe et mantille noires de veuves portugaises, Renaud de Montauban au mufle de bois féroce, se présentent au public de village portant sur le visage, un petit masque de grillage peint, à l'aspect poupin. Puis viennent le ministre de la justice se déchaînant sur machine à écrire et téléphone et précédant les avocats, les pages et les porte-drapeaux. Les costumes, les coiffures et les accessoires, tous récupérés au cours des siècles ou fabriqués, selon l'inspiration de chaque acteur, participent à un anachronisme délirant qui confère au spectacle une saveur inattendue et splendide.
Cet épisode du cycle de Charlemagne, représenté tout entier dans l'île par les baladins de Lisbonne et de Madère, invités par les maîtres sucriers portugais qui colonisent le terre, intrigue les esclaves, razziés sur les côtes du golfe de Guinée, ainsi que les premiers métis. Il s'agit d'une histoire de sang et de justice.
Ils vont s'approprier l'œuvre et la transformer pour en faire un objet de revendication contre l'oppression colonisatrice, mais aussi pour se réapproprier les liens avec les ancêtres africains désormais interdits. Sous cette dramaturgie déroutante émerge un territoire identitaire que les premiers acteurs s'approprient pour exister. Neuf troupes de tchiloli existent encore aujourd'hui dont trois très actives : Formiguinha de Boã Morte, Tragedia Florentina de Caixão Grande, ainsi que celle de Riboque.
La danse
Comme sur le continent africain, la danse fait partie intégrante de la culture santoméenne. Tout au long de l'année, les danses animent les fêtes, les rituels et les manifestations. Les costumes, les chants, les salutations marquent l'originalité de chaque danse.
L'architecture
Dans le secteur de l'architecture, la forteresse de São Sebastião, la cathédrale de la Santa Sé (Igreja da Sé), située à côté du Palais Présidentiel, les Archives Historiques et autres bâtiments d'inspiration baroque sont des espaces de visites cuturelles importants. Le Musée, situé dans la capitale, possède une collection d'art sacré et de reconstitution d'intérieurs traditionnels de l'époque coloniale.
Rites et cultes
Les rites et les cultes rythment l'année; il existe de très nombreuses cérémonies religieuses célébrées, selon les traditions de l'Eglise catholique et de nombreuses manifestations païennes qui animent les rues des principales villes, villages et ‘'luchans'' (tout petit village).
Parmi plusieurs formes d'expression culturelle dans l'archipel, on distingue le Socopé (littéralement, seulement avec le pied), l'Ússua, la Puita, le Djambi, le Tchiloli, le Bligá, la Stleva, Quiná, Vindes Menino, Dêxa, Auto de Floripes, entre autres.
K. H. et F. B.
Sao Tomé-et-Principe
Sao Tomé-et-Principe (ou São Tomé-et-Príncipe ou São Tomé e Príncipe (en portugais, mais aussi utilisé en français) ou anciennement Île Saint-Thomas et île du Prince), est un pays sur un archipel de l'Atlantique Sud situé dans le golfe de Guinée à 350 km des côtes du Gabon. Il est composé des îles de Sao Tomé et de Principe. Il couvre une surface de 1 001 km2. Sao Tomé-et-Principe est une ancienne colonie du Portugal.
Le portugais São Tomé e Príncipe signifie littéralement Saint-Thomas-et-Prince. Les dénominations Saint-Thomas-et-Prince et Saint-Thomas-et-Île-du-Prince sont désormais peu usitées en français. L'Organisation des Nations unies, la commission de toponymie de l'Institut géographique national français et l'Institut national de la statistique et des études économiques français (INSEE) utilisent Sao Tomé-et-Principe. Le Petit Robert donne São Tomé-et-Príncipe. L'Union européenne préconise São Tomé e Príncipe.
Un des plus petits Etats d'Afrique, surnommé "Îles du Milieu du Monde" mais aussi "Île Chocolat" ...
Géographie
L'archipel est constitué de deux îles principales (appelées concelhos) d'origine volcanique, Sao Tomé (850 km2) et Principe (142 km2), ainsi que les petites îles ou îlots environnants de Cabras au nord, de Sete Pedras, de Santana et de Quixiba à l'est, de Rolas au sud, réputée pour ses voador, des poissons volants et Gobaldo et Coco à l'ouest. L'archipel couvre une superficie totale de 1 001 km2. Il est situé à quelque 350 km des côtes gabonaises et l'Equateur passe à 2 kilomètres de Ponta Lamaporco, la pointe sud de l'île de Sao Tomé, la séparant de l'île Rolas.
La capitale et principal port du pays est la ville de Sao Tomé (53 300 habitants). L'île principale ne compte qu'une douzaine de villages, principalement dans le nord de l'île.
La distance séparant l'île de Sao Tomé de l'île de Principe est de 152 km.
Le point culminant du pays est le Pico de Sao Tomé (2 024 m). On note également la présence de deux parcs naturels (zones de conservation) d'une surface totale de 295 km2, soit 30 % de la superficie de l'archipel. Ce pays est le plus petit des pays d'Afrique.
Histoire
L'île de Sao Tomé est découverte le jour de la Saint-Thomas, le 21 décembre 1471, par les navigateurs portugais João de Santarem et Pedro Escobar.
Au cours du XVe siècle, des colons portugais viendront s'y installer, apportant avec eux des esclaves qui travailleront dans les plantations de canne à sucre.
L'archipel acquiert son indépendance le 12 juillet 1975, avec le président Manuel Pinto da Costa qui installe alors un régime marxiste de parti unique. En 1990, le multipartisme est restauré et le pays s'ouvre à la démocratie. Malgré des tentatives de putsch, le régime démocratique reste en place et connaît des alternances politiques.
Depuis la Constitution, en août 1990, la République démocratique de Sao Tomé-et-Principe est une république de type présidentiel pluraliste.
Cette république a déjà vécu des alternances entre les deux principaux partis, le parti social-démocrate et le Parti de la convergence démocratique.
Arts plastique
L'art plastique est un phénomène culturel nouveau pour São Tomé et Principe. Les peintres, les sculpteurs, les artisans de talent ne manquent pas. Il est possible de rencontrer les artistes à divers endroits : à São Tomé à la galerie Teia D'arte, à la roça São João, à la Santa Casa da Misericordia. Quant à l'artisanat, un dépôt vente est ouvert au public près de l'hôtel Miramar. Il faut noter aussi que plusieurs hôtels, restaurants et bars proposent des lieux d'exposition et de ventes.
Le théâtre
L'aspect le plus original de la culture de São Tomé, théâtre dansé et joué par les hommes uniquement, contant une intrigue de l'époque de Charlemagne.
Dans l'île, se développe depuis le XVIe siècle, un des plus curieux théâtres du monde; le tchiloli. Ce nom étrange pourrait venir de «tragédie» ou de «théorie» (ambassade ou procession selon l'étymologie grecque). En effet, les acteurs, tous des hommes, parcourent, en tous sens, l'aire de jeu taillée dans une clairière de forêt, dansent les pavanes, les quadrilles et les menuets des anciennes cours européennes au son d'instruments de musique africains, après avoir déambulé du village jusqu'au cimetière, pour arroser de vin de palme les tombes des ancêtres. Ganelon, en veste striée de galons scintillants, Charlemagne, en cape de velours et couronne de laiton, surmontée d'une croix, l'Impératrice en longue robe flamboyante, le Marquis de Mantoue en redingote noire et chapeau mou, le Duc Aymon portant cape et natte dans le dos, Sybille et Ermeline, en jupe et mantille noires de veuves portugaises, Renaud de Montauban au mufle de bois féroce, se présentent au public de village portant sur le visage, un petit masque de grillage peint, à l'aspect poupin. Puis viennent le ministre de la justice se déchaînant sur machine à écrire et téléphone et précédant les avocats, les pages et les porte-drapeaux. Les costumes, les coiffures et les accessoires, tous récupérés au cours des siècles ou fabriqués, selon l'inspiration de chaque acteur, participent à un anachronisme délirant qui confère au spectacle une saveur inattendue et splendide.
Cet épisode du cycle de Charlemagne, représenté tout entier dans l'île par les baladins de Lisbonne et de Madère, invités par les maîtres sucriers portugais qui colonisent le terre, intrigue les esclaves, razziés sur les côtes du golfe de Guinée, ainsi que les premiers métis. Il s'agit d'une histoire de sang et de justice.
Ils vont s'approprier l'œuvre et la transformer pour en faire un objet de revendication contre l'oppression colonisatrice, mais aussi pour se réapproprier les liens avec les ancêtres africains désormais interdits. Sous cette dramaturgie déroutante émerge un territoire identitaire que les premiers acteurs s'approprient pour exister. Neuf troupes de tchiloli existent encore aujourd'hui dont trois très actives : Formiguinha de Boã Morte, Tragedia Florentina de Caixão Grande, ainsi que celle de Riboque.
La danse
Comme sur le continent africain, la danse fait partie intégrante de la culture santoméenne. Tout au long de l'année, les danses animent les fêtes, les rituels et les manifestations. Les costumes, les chants, les salutations marquent l'originalité de chaque danse.
L'architecture
Dans le secteur de l'architecture, la forteresse de São Sebastião, la cathédrale de la Santa Sé (Igreja da Sé), située à côté du Palais Présidentiel, les Archives Historiques et autres bâtiments d'inspiration baroque sont des espaces de visites cuturelles importants. Le Musée, situé dans la capitale, possède une collection d'art sacré et de reconstitution d'intérieurs traditionnels de l'époque coloniale.
Rites et cultes
Les rites et les cultes rythment l'année; il existe de très nombreuses cérémonies religieuses célébrées, selon les traditions de l'Eglise catholique et de nombreuses manifestations païennes qui animent les rues des principales villes, villages et ‘'luchans'' (tout petit village).
Parmi plusieurs formes d'expression culturelle dans l'archipel, on distingue le Socopé (littéralement, seulement avec le pied), l'Ússua, la Puita, le Djambi, le Tchiloli, le Bligá, la Stleva, Quiná, Vindes Menino, Dêxa, Auto de Floripes, entre autres.
K. H. et F. B.


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