Transport ferroviaire Le train Alger-Oran annulé le jour de l'Aïd Les travailleurs et familles désirant emprunter le train Alger-Oran de 6h30 du matin ont eu la désagréable surprise de constater son annulation le premier jour de l'Aïd, journée lors de laquelle les transports sont censés justement être renforcés pour pouvoir répondre à la forte demande. En effet beaucoup de travailleurs n'ont pu se libérer la veille de l'Aïd et misaient sur ce train matinal pour pouvoir se rendre et passer les fêtes avec leurs familles. Grand sera leur désarroi en arrivant devant des gares fantômes et des quais déserts. Renseignements pris, le premier train vers l'ouest ne partira pas avant 7h45. L'annulation de ce départ s'est faite sans préavis ni aucun communiqué dans un total mépris de l'usager, ce qui n'est d'ailleurs pas dans la politique de gestion de la SNTF, laquelle a fait, ces derniers temps, un grand travail pour l'amélioration de ses services. Ce jour-là elle a mérité un zéro pointé et résultats des courses le train de 8h30 a quitté le quai bondé et les centaines de personnes ont voyagé dans des conditions à la limite du supportable, contraintes pour beaucoup de personnes de rester debouts jusqu'à, peut-être Oran. Y. D. Drame sur la voie ferrée Voleurs et victimes de l'automotrice Deux jeunes hommes, mercredi passé, en tentant de traverser la voie ferrée quelques secondes avant le passage d'une automotrice ont connu un sort funestre. L'un deux s'est fait littéralement écrabouiller par le train, tandis que la seconde victime gravement électrocutée, les rails étant électrifiés au passage de l'automotrice, luttait, encore jeudi passé sur son lit d'hôpital, contre la mort. Les deux victimes, selon certaines sources tentaient de fuir après avoir délesté, au passage, un camion frigorifique de transport de viande congelée d'une partie de son chargement. Il faut préciser qu'au moment du passage des automotrices les rails sont sur haute tension. Pourtant des rappels de ce danger mortel sont omniprésentes sur les lieux et des personnes insouciantes des risques continuent à traverser au mépris de toute précaution. Y. D. Transport ferroviaire Le train Alger-Oran annulé le jour de l'Aïd Les travailleurs et familles désirant emprunter le train Alger-Oran de 6h30 du matin ont eu la désagréable surprise de constater son annulation le premier jour de l'Aïd, journée lors de laquelle les transports sont censés justement être renforcés pour pouvoir répondre à la forte demande. En effet beaucoup de travailleurs n'ont pu se libérer la veille de l'Aïd et misaient sur ce train matinal pour pouvoir se rendre et passer les fêtes avec leurs familles. Grand sera leur désarroi en arrivant devant des gares fantômes et des quais déserts. Renseignements pris, le premier train vers l'ouest ne partira pas avant 7h45. L'annulation de ce départ s'est faite sans préavis ni aucun communiqué dans un total mépris de l'usager, ce qui n'est d'ailleurs pas dans la politique de gestion de la SNTF, laquelle a fait, ces derniers temps, un grand travail pour l'amélioration de ses services. Ce jour-là elle a mérité un zéro pointé et résultats des courses le train de 8h30 a quitté le quai bondé et les centaines de personnes ont voyagé dans des conditions à la limite du supportable, contraintes pour beaucoup de personnes de rester debouts jusqu'à, peut-être Oran. Y. D. Drame sur la voie ferrée Voleurs et victimes de l'automotrice Deux jeunes hommes, mercredi passé, en tentant de traverser la voie ferrée quelques secondes avant le passage d'une automotrice ont connu un sort funestre. L'un deux s'est fait littéralement écrabouiller par le train, tandis que la seconde victime gravement électrocutée, les rails étant électrifiés au passage de l'automotrice, luttait, encore jeudi passé sur son lit d'hôpital, contre la mort. Les deux victimes, selon certaines sources tentaient de fuir après avoir délesté, au passage, un camion frigorifique de transport de viande congelée d'une partie de son chargement. Il faut préciser qu'au moment du passage des automotrices les rails sont sur haute tension. Pourtant des rappels de ce danger mortel sont omniprésentes sur les lieux et des personnes insouciantes des risques continuent à traverser au mépris de toute précaution. Y. D.
