Med Tebib est, depuis jeudi passé, le nouveau driver du MO Constantine. La direction du club, sans ambages, lui a déjà signifié sa feuille de route, à savoir l'accession et gagner son premier challenge : le derby contre le CSC qu'il est sommé de remporter vendredi prochain. Med Tebib est, depuis jeudi passé, le nouveau driver du MO Constantine. La direction du club, sans ambages, lui a déjà signifié sa feuille de route, à savoir l'accession et gagner son premier challenge : le derby contre le CSC qu'il est sommé de remporter vendredi prochain. Le choix de Tebib est clair et répond à une stratégie qui a été explicitée par les deux principaux dirigeants du MOC, les frères Madani «Nous aurions pu recruter n'importe quel entraîneur réputé sur la place, notamment ceux qui ont le vent en poupe du côté de la capitale. Mais nous avons porté notre choix sur Tebib parce que le derby dépasse la seule dimension du match important. L'entraîneur qui dirige l'un ou l'autre club doit le sentir. Or, ce ne seront certainement pas des coaches ramenés de l'ouest ou du centre du pays qui s'investiront passionnément dans une telle rencontre. Vu qu'en réalité, il leur importe peu de classer autrement un match qui, à leurs yeux, demeure ordinaire». Le nouveau coach a pris le départ avec son équipe jeudi en direction de Jijel ou les Mocistes livreront un match amical face à l'équipe locale. Cela devrait, selon le président de section de footbal, «permettre à Tebib de mieux connaître les joueurs». Il enchaînera le lendemain avec un décrassage dans la forêt d'El-Baaraouïa (Khroub) et un match d'application dimanche pour préparer la rencontre de mardi face au MO Béjaïa. Ensuite l'équipe déroulera psychologiquement pour se préparer au derby de vendredi. Rappelons que Tebib a eu à diriger, à plusieurs reprises, le MOC mais aussi le CSC. A chaque fois il a connu des fortunes diverses lors du derby, le gagnant ou le perdant de l'un ou de l'autre côté du banc. Il n'en demeure pas moins qu'il reste un entraîneur instable capable d'abandonner ses troupes à la moindre pression du public ou des… médias. Le choix de Tebib est clair et répond à une stratégie qui a été explicitée par les deux principaux dirigeants du MOC, les frères Madani «Nous aurions pu recruter n'importe quel entraîneur réputé sur la place, notamment ceux qui ont le vent en poupe du côté de la capitale. Mais nous avons porté notre choix sur Tebib parce que le derby dépasse la seule dimension du match important. L'entraîneur qui dirige l'un ou l'autre club doit le sentir. Or, ce ne seront certainement pas des coaches ramenés de l'ouest ou du centre du pays qui s'investiront passionnément dans une telle rencontre. Vu qu'en réalité, il leur importe peu de classer autrement un match qui, à leurs yeux, demeure ordinaire». Le nouveau coach a pris le départ avec son équipe jeudi en direction de Jijel ou les Mocistes livreront un match amical face à l'équipe locale. Cela devrait, selon le président de section de footbal, «permettre à Tebib de mieux connaître les joueurs». Il enchaînera le lendemain avec un décrassage dans la forêt d'El-Baaraouïa (Khroub) et un match d'application dimanche pour préparer la rencontre de mardi face au MO Béjaïa. Ensuite l'équipe déroulera psychologiquement pour se préparer au derby de vendredi. Rappelons que Tebib a eu à diriger, à plusieurs reprises, le MOC mais aussi le CSC. A chaque fois il a connu des fortunes diverses lors du derby, le gagnant ou le perdant de l'un ou de l'autre côté du banc. Il n'en demeure pas moins qu'il reste un entraîneur instable capable d'abandonner ses troupes à la moindre pression du public ou des… médias.
