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Le manque en médecins spécialistes perdure
Guelma, EPH Docteur-Okbi
Publié dans Le Midi Libre le 25 - 10 - 2009

Cette stratégique structure sanitaire ne répond pas aux légitimes attentes des malades déçus et scandalisés par le manque d'ophtalmologues, cardiologues, néphrologues, rhumatologues, hématologues, gynécologues, neurologues et surtout un bloc opératoire entièrement rénové qui souffre de l'absence de chirurgiens.
Cette stratégique structure sanitaire ne répond pas aux légitimes attentes des malades déçus et scandalisés par le manque d'ophtalmologues, cardiologues, néphrologues, rhumatologues, hématologues, gynécologues, neurologues et surtout un bloc opératoire entièrement rénové qui souffre de l'absence de chirurgiens.
Censé couvrir les besoins de plus de 54.000 âmes, l'Etablissement public hospitalier docteur Okbi réalisé durant les années 80, est confronté au manque, voire à l'absence cruciale de médecins spécialistes en dépit d'une capacité de 240 lits et de la disponibilité d'équipements médicaux spécifiques dont un scanner. Cette stratégique structure sanitaire ne répond pas aux légitimes attentes des malades déçus et scandalisés par le manque d'ophtalmologues, cardiologues, néphrologues, rhumatologues, hématologues, gynécologues, neurologues et surtout un bloc opératoire entièrement rénové qui souffre de l'absence de chirurgiens. Le service des urgences étoffé par des médecins généralistes et des paramédicaux chapeautés par de rares spécialistes, ne désemplit jamais face au rush des accidentés de la route, du travail, de la vie domestique, des brûlés et autres qui exigent une prise en charge médicale urgente. Fréquemment des ambulances évacuent les cas graves vers le CHU-Ibn Rochd de Annaba qui est confronté à une saturation avérée étant sollicité quotidiennement par les wilayas limitrophes. Le service de maternité est également le point noir de cette importante infrastructure hospitalière où n'exerce qu'une gynécologue secondée par une pléiade de sages-femmes et accoucheuses qui se retrouvent souvent seules au cours de la nuit devant les cas délicats d'accouchements sont transférés vers Annaba en encourant des risques certains puisque plusieurs décès ont endeuillé des familles qui étaient d ans l'attente d'un heureux évènement. Des accouchements par césariennes sont en nette progression consécutivement à la faiblesse des compétences dans divers domaines et à une triste situation qui perdure. Désemparés,les futurs parents préfèrent recourir aux cliniques privées dotées d'un personnel médical qualifié et dont les honoraires sont singulièrement exorbitants. Les autorités locales sont disposées à encourager l'affectation de médecins spécialistes par l'octroi de logements de fonction. Il reste à espérer que le ministère de la Santé réponde rapidement et favorablement aux légitimes attentes citoyennes.
Censé couvrir les besoins de plus de 54.000 âmes, l'Etablissement public hospitalier docteur Okbi réalisé durant les années 80, est confronté au manque, voire à l'absence cruciale de médecins spécialistes en dépit d'une capacité de 240 lits et de la disponibilité d'équipements médicaux spécifiques dont un scanner. Cette stratégique structure sanitaire ne répond pas aux légitimes attentes des malades déçus et scandalisés par le manque d'ophtalmologues, cardiologues, néphrologues, rhumatologues, hématologues, gynécologues, neurologues et surtout un bloc opératoire entièrement rénové qui souffre de l'absence de chirurgiens. Le service des urgences étoffé par des médecins généralistes et des paramédicaux chapeautés par de rares spécialistes, ne désemplit jamais face au rush des accidentés de la route, du travail, de la vie domestique, des brûlés et autres qui exigent une prise en charge médicale urgente. Fréquemment des ambulances évacuent les cas graves vers le CHU-Ibn Rochd de Annaba qui est confronté à une saturation avérée étant sollicité quotidiennement par les wilayas limitrophes. Le service de maternité est également le point noir de cette importante infrastructure hospitalière où n'exerce qu'une gynécologue secondée par une pléiade de sages-femmes et accoucheuses qui se retrouvent souvent seules au cours de la nuit devant les cas délicats d'accouchements sont transférés vers Annaba en encourant des risques certains puisque plusieurs décès ont endeuillé des familles qui étaient d ans l'attente d'un heureux évènement. Des accouchements par césariennes sont en nette progression consécutivement à la faiblesse des compétences dans divers domaines et à une triste situation qui perdure. Désemparés,les futurs parents préfèrent recourir aux cliniques privées dotées d'un personnel médical qualifié et dont les honoraires sont singulièrement exorbitants. Les autorités locales sont disposées à encourager l'affectation de médecins spécialistes par l'octroi de logements de fonction. Il reste à espérer que le ministère de la Santé réponde rapidement et favorablement aux légitimes attentes citoyennes.


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