Il faut cultiver son jardin disait voltaire à son époque. Ce célèbre écrivain français du XVIIIe siècle conseillait ses contemporains à jardiner car cela leur permettait de réfléchir sur leur condition humaine. Les chinois, tout aussi philosophes avaient dès l'antiquité compris les vertus de l'horticulture, ce que donc nos ancêtres avaient découvert intuitivement ou empiriquement est aujourd'hui démontré scientifiquement. En effet, des études ont démontré aux U.S.A ainsi qu'en Europe que des patients hospitalisés se remettaient de leur maladie plus vite lorsque leur chambre s'ouvrait sur un espace vert d'où l'idée d'élargir ces expériences dans d'autres espaces de vie. Activité professionnelle où les mêmes rendements sont obtenus avec moins de stress. Activité de formation, les enfants étudient mieux et obtiennent alors de meilleurs résultats au cours de leur scolarité. Avant de vous donner quelques astuces d'entretien et de bienfait des plantes dans vos maisons, voyons ensemble un espace vert qu'a réalisé m. Jamel Edine Beldjoud. Il faut cultiver son jardin disait voltaire à son époque. Ce célèbre écrivain français du XVIIIe siècle conseillait ses contemporains à jardiner car cela leur permettait de réfléchir sur leur condition humaine. Les chinois, tout aussi philosophes avaient dès l'antiquité compris les vertus de l'horticulture, ce que donc nos ancêtres avaient découvert intuitivement ou empiriquement est aujourd'hui démontré scientifiquement. En effet, des études ont démontré aux U.S.A ainsi qu'en Europe que des patients hospitalisés se remettaient de leur maladie plus vite lorsque leur chambre s'ouvrait sur un espace vert d'où l'idée d'élargir ces expériences dans d'autres espaces de vie. Activité professionnelle où les mêmes rendements sont obtenus avec moins de stress. Activité de formation, les enfants étudient mieux et obtiennent alors de meilleurs résultats au cours de leur scolarité. Avant de vous donner quelques astuces d'entretien et de bienfait des plantes dans vos maisons, voyons ensemble un espace vert qu'a réalisé m. Jamel Edine Beldjoud. Agréable surprise qui nous attend en débouchant au niveau du carrefour des sources, près de l'agence Renault, à un énième virage en venant du Ravin de la Femme Sauvage. En effet, il y a de quoi être surpris voire subjugué par le jardin qui vous fait face, initiative personnel de monsieur Djamel Edine Beldjoud, riverain du quartier. Il y'a quelques mois le talus en contre bas de la cité des Anassers communément désignée Sorecal, du nom de son maître d'oeuvre étais laissé à l'abondons et servait de dépotoir, (détritus, gravats, ordures s'amassaient çà et là) donnant une image hideuse et nauséabond à la périphérie des immeubles. Certainement triste de voir cela et décidé d'y mettre fin, m. Djamel Edine Beldjoud se mit à l'ouvrage, armé de sa seule volonté. Avec goût et talent, notre jardinier commença d'abord à déblayer le terrain puis à piocher, à bécher, et biner et cela tous les jours, sans arrêt. Nous disons avec art car même venant à servi de lignes de séparation des carrés jardinés du plus beau goût comme si cela fut fait avec de la roche noble. Le talent, c'est donner d'ailleurs du sens même à ce qui à priori n'en a pas. Aujourd'hui, ce jardin logeant la route est très agréable à regarder, gazon, rosiers et autres arbustes agrémentent le cite. Interrogé, notre artiste souhaite que son initiative soit reprise dans d'autres quartiers de la ville afin que la protection de l'environnement ne soit pas un vain mot. Cette opération d'emboîtement qui au demeurant n'a pas coûté un centime à la collectivité locale. C'est dire alors si cette initiative citoyenne devra être encouragée en espérant qu'elle soit reprise un peu partout. Une politique de protection de l'environnement devra faire l'objet de vulgarisation à la base à petits pas afin d'aboutir à une prise de conscience citoyenne du fait vrai. Telle est la leçon à retenir de ce personnage avenant et affable qui plus est. Agréable surprise qui nous attend en débouchant au niveau du carrefour des sources, près de l'agence Renault, à un énième virage en venant du Ravin de la Femme Sauvage. En effet, il y a de quoi être surpris voire subjugué par le jardin qui vous fait face, initiative personnel de monsieur Djamel Edine Beldjoud, riverain du quartier. Il y'a quelques mois le talus en contre bas de la cité des Anassers communément désignée Sorecal, du nom de son maître d'oeuvre étais laissé à l'abondons et servait de dépotoir, (détritus, gravats, ordures s'amassaient çà et là) donnant une image hideuse et nauséabond à la périphérie des immeubles. Certainement triste de voir cela et décidé d'y mettre fin, m. Djamel Edine Beldjoud se mit à l'ouvrage, armé de sa seule volonté. Avec goût et talent, notre jardinier commença d'abord à déblayer le terrain puis à piocher, à bécher, et biner et cela tous les jours, sans arrêt. Nous disons avec art car même venant à servi de lignes de séparation des carrés jardinés du plus beau goût comme si cela fut fait avec de la roche noble. Le talent, c'est donner d'ailleurs du sens même à ce qui à priori n'en a pas. Aujourd'hui, ce jardin logeant la route est très agréable à regarder, gazon, rosiers et autres arbustes agrémentent le cite. Interrogé, notre artiste souhaite que son initiative soit reprise dans d'autres quartiers de la ville afin que la protection de l'environnement ne soit pas un vain mot. Cette opération d'emboîtement qui au demeurant n'a pas coûté un centime à la collectivité locale. C'est dire alors si cette initiative citoyenne devra être encouragée en espérant qu'elle soit reprise un peu partout. Une politique de protection de l'environnement devra faire l'objet de vulgarisation à la base à petits pas afin d'aboutir à une prise de conscience citoyenne du fait vrai. Telle est la leçon à retenir de ce personnage avenant et affable qui plus est.
