Wilaya essentiellement à vocation agricole, El Tarf n'arrive même pas à assurer son autosuffisance alimentaire. D'ailleurs, la superficie utile agricole depuis moins de cinq ans s'est rétrécie comme une peau de chagrin. Légumes et fruits sont introuvables sur les étals des marchés hebdomadaires. Même si l'on arrive à dénicher quelques kilogrammes, ils sont d'une qualité repoussante. Les prix, il vaut mieux ne pas en parler. Ils échappent à toute forme de contrôle. Ce qui laisse, dans la majorité des cas, le consommateur dans l'expectative. Hier, à El Kala, cette ville balnéaire, au marché hebdomadaire, la pomme de terre est écoulée entre 60 et 70 dinars. Il y a quelques jours, juste à côté, à Ain El Assel, elle n'était qu'à 35 ou 40 dinars. En deux jours, les prix ont doublé. Les citoyens contactés au niveau du marché ne trouvent aucune explication à ces hausses. D'autres nous apprennent que le système de contrôle est défaillant. Pour les marchands leur seule devise leitmotiv est : «C'est à prendre ou à laisser» . Un autre nous indique que les prix sont libres et ils obeissent à la loi de l'offre et de la demande. Une chose est sûre depuis la veille de l'Aid, les prix ont connu une augmentation amais égalée à travers l'ensemble des localités de la wilaya. Par ailleurs, les marchands ambulants squattent les ruelles de cette ville balnaire considérée comme étant la ville la plus chère de la wilaya. Wilaya essentiellement à vocation agricole, El Tarf n'arrive même pas à assurer son autosuffisance alimentaire. D'ailleurs, la superficie utile agricole depuis moins de cinq ans s'est rétrécie comme une peau de chagrin. Légumes et fruits sont introuvables sur les étals des marchés hebdomadaires. Même si l'on arrive à dénicher quelques kilogrammes, ils sont d'une qualité repoussante. Les prix, il vaut mieux ne pas en parler. Ils échappent à toute forme de contrôle. Ce qui laisse, dans la majorité des cas, le consommateur dans l'expectative. Hier, à El Kala, cette ville balnéaire, au marché hebdomadaire, la pomme de terre est écoulée entre 60 et 70 dinars. Il y a quelques jours, juste à côté, à Ain El Assel, elle n'était qu'à 35 ou 40 dinars. En deux jours, les prix ont doublé. Les citoyens contactés au niveau du marché ne trouvent aucune explication à ces hausses. D'autres nous apprennent que le système de contrôle est défaillant. Pour les marchands leur seule devise leitmotiv est : «C'est à prendre ou à laisser» . Un autre nous indique que les prix sont libres et ils obeissent à la loi de l'offre et de la demande. Une chose est sûre depuis la veille de l'Aid, les prix ont connu une augmentation amais égalée à travers l'ensemble des localités de la wilaya. Par ailleurs, les marchands ambulants squattent les ruelles de cette ville balnaire considérée comme étant la ville la plus chère de la wilaya.