L'envolée des prix incite plus d'un à revoir ses priorités en matière d'achat. Un tour au marché hebdomadaire de Aïn Smara qui draine chaque lundi,des consommateurs de toute la wilaya, en raison de ses produits frais et ses pratiques concurrentielles, et c'est l'étonnement total. L'envolée des prix incite plus d'un à revoir ses priorités en matière d'achat. Un tour au marché hebdomadaire de Aïn Smara qui draine chaque lundi,des consommateurs de toute la wilaya, en raison de ses produits frais et ses pratiques concurrentielles, et c'est l'étonnement total. La courbe des prix refuse d'amorcer une descente en matière de mercuriale. Depuis les fêtes de l'Aïd, les fruits et légumes sont à la limite de l'inaccessible. Aucune baisse dans les prix, pourtant annoncée par tous, ne se fait sentir jusqu'alors. De l'avis de tout citoyen, il devient davantage pénible de remplir, chaque semaine, son couffin. L'envolée des prix incite plus d'un à revoir ses priorités en matière d'achat mercuriale. Un tour au marché hebdomadaire de Aïn Smara qui draine, chaque lundi, des consommateurs de toute la wilaya, en raison de ses produits frais et ses pratiques concurrentielles, et c'est l'étonnement total. Tous les produits mis à la vente sont aussi chers les uns que les autres. Un coup d'œil furtif sur trois ou quatre étales renseigne sur le coût de la botte d'oignon ou du kilo de pomme de terre… «C'est incroyable comme les prix augmentent de semaine en semaine», dira, non sans une pointe d'indignation, une ménagère qui finira par renoncer à l'achat de la tomate à 100 dinars le kilo. L'éventail des légumes est aussi large que celui des prix. Le consommateur s'est tôt rendu compte que son «budget-marché» devra être revu à la hausse face au poivron qui est affiché à 120 dinars, l'échalote à 70 dinars ou la carotte à 40 dinars. Le même constat est établi à l'égard des fruits de saison, à l'exemple de la mandarine qui est cédée à pas moins de 160 dinars. Rien que cela ! Alors que la banane, qui arrive du bout du monde, est, quant à elle, cédée à pas plus de 120 dinars le kg. Interrogé à cet effet, plusieurs vendeurs incomberont la responsabilité aux conditions météorologiques de ces derniers jours… «Trop de froid et pas assez de pluie», lancera-t-on en une tentative de convaincre la clientèle. Autre réponse, celle qui consiste à dénoncer les spéculations des grossistes. Les produits sont, semble-t-il, mis à la vente à des prix majorés au niveau des marchés de gros à Constantine ou à Chelghoum El-Aïd, deux points d'approvisionnement pour l'ensemble des détaillants de la région. Tous les arguments avancés auront du mal à passer face à des consommateurs las d'avaler des couleuvres en toute circonstance. Pour rester en bonne santé, il est recommandé de consommer cinq légumes et fruits par jour. Pas sûr que le citoyen à modeste revenu puisse observer à la lettre cette règle élémentaire de l'hygiène de vie. La courbe des prix refuse d'amorcer une descente en matière de mercuriale. Depuis les fêtes de l'Aïd, les fruits et légumes sont à la limite de l'inaccessible. Aucune baisse dans les prix, pourtant annoncée par tous, ne se fait sentir jusqu'alors. De l'avis de tout citoyen, il devient davantage pénible de remplir, chaque semaine, son couffin. L'envolée des prix incite plus d'un à revoir ses priorités en matière d'achat mercuriale. Un tour au marché hebdomadaire de Aïn Smara qui draine, chaque lundi, des consommateurs de toute la wilaya, en raison de ses produits frais et ses pratiques concurrentielles, et c'est l'étonnement total. Tous les produits mis à la vente sont aussi chers les uns que les autres. Un coup d'œil furtif sur trois ou quatre étales renseigne sur le coût de la botte d'oignon ou du kilo de pomme de terre… «C'est incroyable comme les prix augmentent de semaine en semaine», dira, non sans une pointe d'indignation, une ménagère qui finira par renoncer à l'achat de la tomate à 100 dinars le kilo. L'éventail des légumes est aussi large que celui des prix. Le consommateur s'est tôt rendu compte que son «budget-marché» devra être revu à la hausse face au poivron qui est affiché à 120 dinars, l'échalote à 70 dinars ou la carotte à 40 dinars. Le même constat est établi à l'égard des fruits de saison, à l'exemple de la mandarine qui est cédée à pas moins de 160 dinars. Rien que cela ! Alors que la banane, qui arrive du bout du monde, est, quant à elle, cédée à pas plus de 120 dinars le kg. Interrogé à cet effet, plusieurs vendeurs incomberont la responsabilité aux conditions météorologiques de ces derniers jours… «Trop de froid et pas assez de pluie», lancera-t-on en une tentative de convaincre la clientèle. Autre réponse, celle qui consiste à dénoncer les spéculations des grossistes. Les produits sont, semble-t-il, mis à la vente à des prix majorés au niveau des marchés de gros à Constantine ou à Chelghoum El-Aïd, deux points d'approvisionnement pour l'ensemble des détaillants de la région. Tous les arguments avancés auront du mal à passer face à des consommateurs las d'avaler des couleuvres en toute circonstance. Pour rester en bonne santé, il est recommandé de consommer cinq légumes et fruits par jour. Pas sûr que le citoyen à modeste revenu puisse observer à la lettre cette règle élémentaire de l'hygiène de vie.
