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Que fait Me Ahmed SIMOZRAG au Burkina Faso?
Publié dans Le Quotidien d'Algérie le 22 - 11 - 2013


COMITE DE DEFENSE DE L'IMAGE DE LA JUSTICE
SECTION ANTILLES-GUYANE
Que fait l'Avocat français Maître Ahmed SIMOZRAG depuis vingt ans en résidence surveillée au Burkina Faso ?
Pas un jour, de détention de plus ! Après 20 ans de privation de liberté et de bannissement de Maître Ahmed SIMOZRAG citoyen français, Avocat inscrit au barreau de Paris ; exilé au Burkina Faso, victime de Monsieur Charles Pasqua, ex ministre de l'intérieur.
Vingt ans en résidence surveillée ont causés à Maître Ahmed SIMOZRAG des graves préjudices : dans sa vie personnelle, familiale, intellectuelle, de travail, d'opinion ; des atteintes graves à cause du jugement indépendant de cet avocat français, écrivain et homme de religion que la république est censée protéger de toute transgression et abus par rapport aux principes fondamentaux « liberté égalité fraternité ».
En depit de l'abolition de la peine capitale par la république sous la mandature du président Monsieur François Mitterrand; Monsieur Charles Pasqua, en son ministère de l'intérieur a fait appliquer « la peine de mort intellectuelle, familiale, affective » à l'encontre de Maître Ahmed SIMOZRAG ayant prêté serment d'avocat au barreau de Paris.
Monsieur Ahmed SIMOZRAG écrivain et avocat français n'est ni un criminel, ni un délinquant mais un homme d'opinion et de jugement indépendant d'un autre bord idéologique et confessionnel qui s'est trouvé en devoir d'exercer ses opinions, à l'instar des pratiques de l'intellectuelles et politiques du philosophe Bernard Henri Lévy lui qui, n'a jamais été condamné à l'exil et en résidence surveillée bien que controversé.
Etant donné qu'il est admissible et reconnu dans notre république française le droit d'expression du philosophe Bernard Henri Lévy que fait cet autre intellectuel français d'origine algérienne l'Avocat Maître Ahmed SIMOZRAG en résidence surveillée au Burkina Faso ?
Des organisations de défense des droits humains, de nombreux juristes français ont fait la preuve de « la viduité criminelle » à propos du dossier de Monsieur Ahmed SIMOZRAG : les éléments et conclusions à l'appui ; en conséquence, les principes fondamentaux de « liberté égalité fraternité » exigent qu'une telle détention arbitraire en résidence surveillée, après vingt ne peut durer pas un jour de plus !
Une personnalité, telle que Monsieur Ahmed SIMOZRAG, ne peut être exclue, bannie et exilée plus longtemps dans la république ayant la vocation à faire libérer des citoyens français pris en otage à l'étranger et de veiller, sans exclusivité au respect et à la protection des droits des personnes et des biens.
Libérez Maître Ahmed SIMOZRAG ; l'otage des quiproquos et de préjugés, sous Charles Pasqua ministre de l'intérieur ; une époque révolue, dans notre république de l'intégration et non de l'exclusion.
Comité de défense de l'Image de la Justice/ Section Antilles Guyane.
Copies aux médias


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