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La start-up Fusion de Singapour mobilise 12,3 milliards dollar pour la plateforme blockchain
Actu
Publié dans Le Soir d'Algérie le 07 - 06 - 2018

Fusion, une start-up crypto-financière basée à Singapour, a obtenu 12,3 milliards de dollars d'actifs financiers auprès de trois partenaires stratégiques qui se sont engagés à verrouiller ces fonds avec la plateforme publique de blockchain. Selon Reuters, les fonds sécurisés proviennent de FormulA, Carnex et KuaiLaiCai, trois sociétés opérant respectivement dans la gestion d'actifs, le financement automobile et la gestion de la chaîne d'approvisionnement des restaurants. Les fonds immobilisés représentent un engagement des trois sociétés, qui ont déposé leurs actifs auprès de la blockchain Fusion, pour qu'elles les gèrent ou gèrent des transactions à partir de ces fonds. «Fusion est comme un connecteur de valeur. Chaque entreprise a son propre écosystème et l'argent circule d'un acteur à l'autre. Mais cet écosystème est en réalité limité», affirme le fondateur de la start-up cité par Reuters. «Ce que Fusion essaie de faire, c'est de créer une plateforme qui aidera ces écosystèmes à se connecter les uns aux autres une fois qu'ils auront numérisé leurs actifs», a-t-il ajouté. Fusion a levé plus de 100 millions de dollars lors d'une vente symbolique en février, mais a dû en reverser la moitié à des investisseurs parce que la start-up avait déjà atteint sa limite de capital, rappelle-t-il.
La Nouvelle-Zélande veut un plus grand pouvoir sur Facebook
Le plus haut responsable de la protection de la vie privée en Nouvelle-Zélande cherche à obtenir de plus grands pouvoirs pour réglementer Facebook. Le commissaire néo-zélandais à la protection de la vie privée, John Edwards, a déclaré qu'il cherchait à instaurer de nouvelles dispositions dans le cadre d'une refonte des lois sur la protection de la vie privée actuellement examinée par le Parlement. «Ce que nous avons fait avec Facebook est d'émettre une demande juridiquement contraignante qu'ils ont simplement ignorée et refusé de s'y conformer», a déclaré Edwards à Reuters. Facebook, qui a refusé de commenter, a déclaré, en mars, qu'il était déçu de la décision et que le commissaire avait fait une «demande large et intrusive de données privées». Facebook avait soutenu que les clients en Nouvelle-Zélande étaient régis par la loi irlandaise sur la protection de la vie privée, ainsi que par la plupart des autres utilisateurs non américains. Mais en avril, Facebook a confirmé qu'il modifiait ses conditions d'utilisation afin que ses 1,5 milliard de membres en Afrique, en Asie, en Australie et en Amérique latine ne tombent pas sous le coup du Règlement général sur la protection des données (GDPR) de l'Union européenne. Facebook spécifie maintenant que les utilisateurs internationaux sont soumis aux lois américaines sur la confidentialité. Selon le commissaire à la protection de la vie privée sur une population d'environ 4,5 millions, la Nouvelle-Zélande compte 2,5 millions de titulaires de compte Facebook.
L'Ouganda impose une taxe sur l'utilisation des médias sociaux
Le Parlement ougandais a instauré une taxe sur l'utilisation des médias sociaux dans le but de générer des revenus. Les opposants estiment que cette mesure vise à étouffer toute critique du Président Yoweri Museveni au pouvoir depuis 1986. Les utilisateurs seront facturés 200 shillings (0,0531 $) par jour pour des services tels que Facebook, Twitter et WhatsApp, selon Reuters. Cela représente environ 19 dollars par an dans un pays où le produit intérieur brut par habitant était d'environ 615 dollars en 2016, selon les chiffres de la Banque mondiale. La taxe a été votée la semaine dernière dans le cadre d'une refonte de la loi sur les droits d'accises (impôt indirect perçu sur la consommation) qui entrera en vigueur lors de la prochaine année fiscale qui débutera en juillet. Selon le ministre des Finances, cette taxe sera perçue quotidiennement par les opérateurs de téléphonie mobile sur chaque carte SIM utilisée pour accéder à l'une des plateformes de médias sociaux ciblées. «C'est un nouvel outil d'étouffement de la liberté d'expression et d'organisation citoyenne qui échappe au contrôle de l'Etat», a déclaré Nicholas Opiyo, un avocat basé à Kampala qui dirige également une organisation de défense des droits locaux, cité par Reuters. Environ 40% des 40 millions d'Ougandais utilisent internet. Lors de la dernière élection présidentielle de 2016, les autorités ont bloqué l'accès à Facebook, Twitter et WhatsApp sous prétexte que ces plateformes sont utilisées par l'opposition pour mobiliser les protestations.
Les pays nordiques opposés à la taxation des Gafa
Les ministres des Finances des trois pays nordiques de l'Union européenne (Danemark, Finlande et Suède) ont exprimé vendredi dernier leur opposition au projet de la Commission européenne de taxation des géants du numérique, estimant qu'il risquait de nuire à l'économie européenne. «Une taxe sur les services numériques s'écarterait des principes fondamentaux de l'impôt en ne s'appliquant qu'au chiffre d'affaires, sans prendre en compte le fait de savoir si le contribuable réalise un bénéfice ou non», écrivent les trois ministres des Finances dans un communiqué commun. La Commission européenne a proposé le 21 mars d'instaurer une taxe transitoire de 3% sur le chiffre d'affaires des géants du numérique, Gafa (Google, Apple, Facebook et Amazon), accusés de profiter des disparités d'un système fiscal inadapté qui leur permet de transférer leurs profits vers des Etats membres à la fiscalité avantageuse comme le Luxembourg ou l'Irlande. Pour les trois pays nordiques, la taxe proposée risquerait de déclencher des mesures de représailles des partenaires de l'UE. Ils sont favorables à une réforme de la taxation des grands groupes numériques mais demandent à ce qu'elle soit débattue au niveau de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).


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