Voilà plus de deux mois que les travaux de réfection du réseau routier ont été entamés au faubourg Boudghène. Les deux accès du faubourg sont dans un état pitoyable, ses axes routiers ont été décapés pour être goudronnés mais, ils ont été abandonnés. C'est le cas du chemin d'El Riad et la route principale à proximité de la mosquée. Les dernières pluies ont causé beaucoup de dégâts à la chaussée entièrement décapée. En attendant le bitume, les automobilistes préfèrent éviter tout désagrément et stationnent leurs véhicules à l'entrée du bourg, qui n'est accessible que par ces deux routes, réduites à de simples pistes, à peine carrossables. Mais où est donc passé le bitume ? M. Zenasni
Ces ronds-points qui font jaser La municipalité de Tlemcen a engagé de grands travaux d'embellissement de la ville, après la réhabilitation des jardins et espaces verts (El Hartoun et Grand Bassin) ; il y a eu le lancement ces derniers mois d'un projet pour la réalisation de nouveaux-ronds points avec jets d'eau. Cependant, il y a eu quelques observations sur les floralies décoratives, que certains n'ont pas trouvé écolo. A vrai dire, ces nouveaux sens giratoires répondent aux normes urbanistiques et génie civil. Quant à la décoration, ce n'est qu'un prototype réalisé par une entreprise privée à titre gratuit et bien sûr des améliorations peuvent être apportées, en matière d'embellissement. Ce prototype érigé dans la capitale des Zianide a été plutôt apprécié par les services de la Wilaya d'Alger, qui ont l'intention d'engager le concepteur du site. M. Z. La remise en l'état, encore et toujours A travers tout le Grand-Tlemcen, des entreprises publiques et privées sont en train de réaliser des travaux et causent de véritables dégâts à l'état des routes et des trottoirs. Cependant, une fois le chantier terminé, ces entreprises s'éclipsent sans respecter une clause importante du cahier des charges : à savoir la remise en l'état. Pourtant, une directive du Premier ministre, toujours en vigueur, fait obligation à l'entreprise de la remise en l'état dans les 24 heures qui suivent la fin du chantier. M. Z.
