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Ces prénoms qui disparaissent au fil des générations !
Mila
Publié dans Le Soir d'Algérie le 23 - 01 - 2020

L'émission «Nostalgia» conçue et animée par notre confrère, El Hacène Belkhir, sur les ondes de la radio locale tous les vendredis de 18h 30 à 19h 30, revient en force après un petit passage à vide.
Une émission qui, comme son intitulé l'indique, puise dans le terroir et les thèmes ancestraux pour retremper les auditeurs dans une ambiance à connotation traditionnelle et un décor mythologique, nostalgie oblige !
Après s'être intéressée aux sujets des habits traditionnels, des régimes alimentaires de l'époque et les moyens traditionnels de conservation des denrées de saison, de la « touiza » ou l'entraide sociale, les devinettes et les contes populaires, etc., une émission a, particulièrement, fait débat et attiré l'attention de beaucoup d'auditeurs, d'où sa reprise vendredi 17 janvier, c'est celle qui a eu pour thème – peut-être inspiré du one man show de Abdelkader Secteur, les prénoms ancestraux qui ont marqué la personnalité et l'identité algériennes à une époque donnée, et qui ne font plus recette chez les nouvelles générations.
Afin d'enrichir la thématique et tenter d'identifier les facteurs socioculturels ayant contribué à la disparition de la plupart de ces prénoms, les invités présents dans le studio ont expliqué les facteurs influents sur le changement de la nomenclature des prénoms algériens, par les profondes mutations socioéconomiques, technologiques et culturelles que subit, de plein fouet, notre société et qui sont dues à l'ouverture sur le monde, grâce aux nouvelles technologies de l'information et de la communication, particulièrement la télévision et les fameux feuilletons venus du Moyen-Orient et de la Turquie.
Ce qui est sûr, au fait, c'est que les Aldjia, Barkahoum, Barguelah, Taous, Khedoudja, Khedaoudj, Garmia, Laâtra, Dhaouia, Sarhouda, Tayoucha ou Lahbaci, Ayache, El Aïche, El Haddi, El Haoues, Laâmri, Lemtayache, etc., n'ont plus pignon sur rue de nos jours, ils appartiennent déjà à un temps révolu, parce que chaque mot possède une énergie remarquable, retentissante en fonction de sa résonance, de son sens et de sa dynamique. Le prénom a conséquemment une influence directe sur l'individu qui le porte et le reçoit à chaque fois qu'on l'appelle, souligne-t-on dans le débat !
Imaginons une jeune fille d'aujourd'hui, une « papicha » bien élégante et suffisamment branchée, prénommée, par exemple, Ardjouna, Berguelil ou Lemtaycha… Franchement ça ne peut pas coller et c'est légitime pour cette génération qui ne demande qu'à vivre pleinement son temps et chaque génération appartient à son époque !
A. M'haimoud


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