Ne sachant plus à quel saint se vouer pour trouver une solution aux «énormes difficultés» qu'ils éprouvent pour accomplir leur travail «en toute harmonie» et pour qu'il soit mis fin à tout ce qu'ils endurent, des fonctionnaires de l'Institut national de l'hôtellerie et du tourisme (INHT) de Tizi-Ouzou, las de ne pas être entendus, encore moins écoutés, s'en remettent désormais au ministre du Tourisme, de l'Artisanat et du Travail familial auquel ils ne demandent qu'une audience. Une quête qui se heurte, selon leurs dires, à des embûches pour le moins inexplicables.