On ne peut me reprocher d'être l'un des partisans de Bouteflika. Pourtant, hier matin, en célébrant une fête identitaire longtemps occultée, je me suis souvenu de ce qu'il a fait pour la cause amazighe, certes sous la pression, certes après le massacre de 127 jeunes de Kabylie ! L'Histoire l'a déjà condamné mais elle a retenu que c'est durant sa présidence que la langue amazighe est devenue nationale et officielle et qu'une journée chômée et payée a été décidée pour Yennayer. M. F.