On n'y connaît rien en marché parallèle. Pour autant, on a du mal à imaginer Ouyahia, ou un de ses délégués, assis Place Port-Saïd en train de vanter la qualité de ses lingots à des acheteurs qui discutent le cours de l'or dans les langues nationales et officielles de l'Algérie. Ça ne se passe pas comme ça ! Alors, comment a-t-il fait du «patriotisme», car tel est son argument, en écoulant ses lingots en Algérie, fût-ce au marché parallèle, plutôt qu'à l'étranger ? Il y a beaucoup d'invraisemblance dans l'air, là ! A. T.