Un rem�de de grand-m�re pour soigner les d�mangeaisons du cuir chevelu et les pellicules� 1. Ingr�dients -Feuilles de pens�e sauvage -Feuilles d�ortie -Eau -Casserole 2. Pr�paration : Ajoutez deux cuill�res � soupe de feuilles de pens�e sauvage et deux cuill�res � soupe de feuilles d�ortie (hore�que) dans 1 litre d�eau. Portez � �bullition puis laissez refroidir ou cuisez � feu doux pendant 30 minutes. Filtrez. 3. Posologie Appliquez sur votre cuir chevelu et rincez ensuite avec de l�eau. Sachez que� Le poireau est tr�s peu calorique et tr�s riche en fibres. Il est appr�ci� pour le fondant de sa partie blanche. D�gustez aussi ses feuilles vertes qui contiennent de nombreuses vitamines. Le poireau poss�de �galement des propri�t�s m�dicinales : il est diur�tique et antiseptique. Le saviez-vous� ? La vitamine K a �t� d�couverte par un biochimiste danois nomm� Carl Peter Henrik Dam vers la fin des ann�es 1920. En 1936, ce biochimiste r�ussit � purifier la vitamine K. Pour ses travaux sur cette vitamine, il gagne le prix Nobel de m�decine en 1943. Not� pour vous C�est un fait maintenant admis que l�orge (echa�r) est efficace contre les maladies du c�ur, la constipation et autres d�r�glements du syst�me digestif, et probablement �galement contre le cancer. La fa�on dont l�orge r�duit le taux sanguin de cholest�rol est semblable � celle des sp�cialit�s pharmaceutiques anticholest�rol. Trois corps chimiques, contenus dans l�orge, freinent la synth�se du cholest�rol LDL par le foie. Ce type de cholest�rol provoque dans les vaisseaux sanguins des d�gradations pouvant aboutir � des crises cardiaques et � des accidents c�r�bro-vasculaires. INFUSION DIGESTIVE 1c. � soupe de pelures fra�ches de poire (ou 1c. � caf� si s�ches) 1 tasse d�eau Faire infuser 10 min les pelures dans l�eau bouillante, boire apr�s le repas cette infusion, �galement l�g�rement diur�tique. LE TOPINAMBOUR Pour lutter contre la constipation Une des caract�ristiques des topinambours (batata terfas) est l�abondance de ses fibres, ces derni�res sont tr�s efficaces pour acc�l�rer le transit intestinal et lutter contre la tendance � la constipation� Il est donc conseill� aux personnes sensibles des intestins de �tester� leur r�action, c�est-�-dire de commencer leur consommation avec seulement un seul topinambour (voire la moiti�), et d�attendre le r�sultat, car ne l�oublions pas, le topinambour est un excellent l�gume pour lutter contre la constipation ! Un conseil : Attention, le topinambour doit �tre consomm� rapidement apr�s cuisson et ne jamais �tre r�chauff�, sinon il devient indigeste et provoque des flatulences, et le topinambour est beaucoup plus digeste s�il est accompagn� de feuilles de sauge (m�rimiya). Le bisph�nol-A appauvrirait le sperme Le bisph�nol-A, d�j� montr� du doigt pour diverses pathologies, r�duirait la concentration et la qualit� du sperme. A plusieurs reprises mis en cause dans l�accroissement des risques de dysfonctionnement sexuel masculin et dans la perturbation du d�veloppement c�r�bral des f�tus et nouveau-n�s, le bisph�nol-A est � nouveau sur la sellette. Ce compos� chimique est pr�sent dans un grand nombre de r�cipients alimentaires et de boissons, dont les biberons. Le bisph�nol-A (BPA) sert � diluer la r�sine de polyester pour la rendre liquide et faciliter son laminage et se trouve �galement dans les r�sines de scellement dentaire. Dans la derni�re �tude men�e pendant cinq ans sur 514 ouvriers travaillant dans des usines en Chine, les auteurs ont constat� que ceux qui avaient les concentrations les plus �lev�es de BPA dans leur urine multipliaient le risque de produire un sperme de mauvaise qualit�. �Comparativement aux hommes sans trace d�tectable de BPA dans l�urine, ceux qui avaient les teneurs les plus �lev�es multipliaient par plus de trois le risque d�une concentration diminu�e de leur sperme et de sa vitalit�, pr�cise le Dr De-Kun Li, un �pid�miologiste de Kaiser Permanente (consortium priv� am�ricain de soins et d�assurance maladie), principal auteur de cette communication qui para�t dans la revue Fertility and Sterility. Il s�agirait de la premi�re �tude men�e sur des humains pour �valuer le lien entre la qualit� du sperme et le BPA. Des recherches sur des animaux avaient d�j� mis en �vidence des effets n�fastes de cette substance sur le syst�me reproducteur des souris et des rats. Le miel, interdit aux diab�tiques ? Voici les quatre questions les plus souvent pos�es sur le miel par les diab�tiques. Des sp�cialistes y r�pondent � la lumi�re des connaissances m�dicales les plus r�centes en esp�rant que cette mise au point claire et pr�cise mettra fin � de nombreuses croyances erron�es. Le miel est-il recommandable ? Non. Le miel, qui contient en moyenne 38% de fructose, 31% de glucose et divers autres polysaccharides, parmi lesquels du saccharose, ne peut en aucun cas �tre consid�r� comme un aliment recommandable au diab�tique. Le miel est-il contre-indiqu� ? Non, le miel n�est pas contre-indiqu�. Il doit toutefois �tre int�gr� dans la ration alimentaire d�un diab�tique dans le cadre strict de la ration de glucides qui lui est permise journellement pour le bon �quilibre de sa maladie. Attention, le miel ne doit en aucun cas �tre utilis� pour �largir son r�gime. Certains miels ont-ils des vertus antidiab�tiques ? Non, le fructose ne repr�sente pas un traitement du diab�te sucr� et son administration prolong�e en lieu et place du glucose n�entra�ne aucune influence favorable sur l��volution de certaines complications du diab�te (l�sions r�tiniennes en particulier). Il en r�sulte donc qu�aucun miel, m�me ceux qui sont tr�s riches en fructose, ne peut constituer une quelconque th�rapeutique (ou aide th�rapeutique) du diab�te, quelle qu�en soit sa forme clinique. Quand le miel a-t-il un int�r�t ? Chez le diab�tique trait� � l�insuline, le miel peut �tre tr�s utile en cas de surdosage accidentel de la dose de ce m�dicament qui provoque un �tat d�hypoglyc�mie pouvant aller jusqu�au coma. Dans de tels cas, l�ingestion imm�diate de miel va apporter rapidement du glucose dans le sang et corriger imm�diatement les effets dramatiques de ce surdosage insulinique. Il s�agit donc l� d�un moyen simple et salvateur que toute famille ou entourage d�un diab�tique se doit de bien conna�tre.
