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LE SOIR DU CENTRE
Publié dans Le Soir d'Algérie le 25 - 11 - 2012

L�OP�RATION A TOUCH� PLUSIEURS COMMUNES DE LA WILAYA DE BOUIRA
Les villageois contre le d�mant�lement des d�tachements de la Garde communale
Tout a commenc� ce mercredi, lorsque des unit�s de l�ANP se sont d�plac�es au village Mzarir, dans la commune de Saharidj, � 50 km � l�est de Bouira, dans la da�ra de M�chedallah, pour une op�ration de d�mant�lement du d�tachement de la Garde communale install� dans le village depuis 1994.
Le village Mzarir, perch� � 1 500 m�tres d�altitude, construit dans un val, � quelques encablures du col de Tizi N�kouilal, est l�un des premiers villages de la Kabylie � avoir pris les armes pour d�fendre sa dignit� face au terrorisme naissant et... envahissant. Depuis, plusieurs autres villages ont �t� arm�s pour se d�fendre et suppl�er le manque d�effectifs des services de s�curit�. C��tait l��poque des G40, ou groupes de 40 �l�ments, qui deviendront quelques mois tard, les gardes communaux. Ce mercredi, les militaires se sont donc d�plac�s � Mzarir pour d�manteler le d�tachement de la Garde communale qui �tait l� pour d�fendre le village. Mission que ces gardes communaux, tous enfants du village, continuent d�assurer jusqu�� nos jours, et sans lesquels le village n�aurait jamais exist� en ces lieux recul�s de l�Alg�rie profonde. En effet, pendant toutes ces ann�es de terrorisme, le village a �t� attaqu� � plusieurs reprises mais toutes ces attaques ont �t� repouss�es par ces vaillants combattants qui ont pay� quand m�me un lourd tribut en perdant 7 gardes communaux et enregistrant une dizaine de bless�s dont des handicap�s � vie. Ainsi, ce mercredi, lorsque les villageois avaient appris le pourquoi du d�placement des unit�s de l�ANP sur les lieux, ils se sont tout de suite rassembl�s devant le si�ge du d�tachement pour refuser tout d�placement de ce corps de s�curit�. Et ce, d�autant comme nous l�assurent certains citoyens qui nous ont contact�s par t�l�phone, que dans le village, plusieurs gardes communaux y vivent et sont � la retraite. �Si jamais les gardes communaux venaient � partir, personne ne pourra vivre dans ce village tant les terroristes continuent toujours � r�der dans les parages�, nous dira l�un d�eux. Et de poursuivre : �nous sommes s�rs que si le village n�est pas s�curis�, un carnage aura lieu dans les 24 heures qui vont suivre. Les terroristes n�attendent que l�occasion pour se venger de ce village rebelle qui leur a tenu t�te m�me au plus fort des ann�es du terrorisme. � Apr�s cette mobilisation citoyenne, les militaires ont d� abandonner cette op�ration ou la reporter, c�est selon. Cela �tant, cette op�ration n�est malheureusement pas la seule puisque le lendemain, soit jeudi, pas moins de trois d�tachements de la Garde communale ont �t� cibl�s. Cependant, l� aussi, les villageois �taient mobilis�s et se sont oppos�s fermement contre ces op�rations. Ainsi, durant la journ�e de jeudi, le d�tachement de la Garde communale d�Ouled Dra� Mhamed, situ� aux fronti�res entre les wilayas de Bouira et Bordj-Bou-Arr�ridj, celui de Chr�a, � Bechloul et celui de Taghzout, � Ouled Rached, ont �t� le th��tre de contestations citoyennes sans pr�c�dent. Selon certains t�moins, les villageois d�Ouled Dra� M� hamed ont proc�d� carr�ment � la fermeture du portail principal du si�ge de la Garde communale pour emp�cher les militaires d�y acc�der. Sur place, les villageois ont expliqu� aux responsables militaires que si jamais le d�tachement venait � �tre d�mantel�, le village serait abandonn� par ses habitants le jour m�me, tant il est r�put� �tre sur le chemin qu�emprunte les terroristes lors de leurs d�placements entre le centre et l�est du pays. En effet, � plusieurs reprises, ces terroristes furent stopp�s net dans leurs d�placements par ces vaillants gardes communaux. Contact� pour nous donner son point de vue sur toutes ces op�rations, Aliouat Lahlou, l�un des repr�sentants des gardes communaux les plus en vue durant les contestations qui avaient �clat� l��t�, dira que �le message que les citoyens sont en train d�envoyer aux responsables et au ministre de l�Int�rieur quant au r�le majeur que ce corps joue dans le cadre de la s�curit� des citoyens est on ne peut plus clair�. Pour lui, �ceux qui sont en train de proc�der � la dissolution de ce corps de s�curit� en le consid�rant comme une simple entreprise nationale � dissoudre se trompent : le terrorisme est toujours l� et si les villageois, des centaines de milliers de villageois, continuent � vivre en toute s�curit� dans des villages recul�s, c�est gr�ce � la Garde communale �. Aussi, notre interlocuteur a lanc� un appel au ministre de l�Int�rieur afin que les revendications des gardes communaux qui r�clament un statut sp�cifique, identique � celui des victimes du terrorisme, soient prises en charge pour que �le retrait� qui a donn� sa jeunesse pour que vive notre pays en s�curit� vive dans la dignit� et ne se voit pas oblig� de chercher un autre travail pour subvenir aux besoins de sa famille�. En attendant que le ministre de l�Int�rieur trouve une solution � ces villages recul�s, M. Aliouat Lahlou dira que les repr�sentants de la Garde communale � l��chelle nationale sont en train de pr�parer un dossier consistant pour saisir officiellement les organisations nationales et internationales des droits de l�homme ainsi que le Bureau international du travail afin que les sacrifices et le travail des gardes communaux durant toutes ces ann�es ne soient pas vains.
H. M.
A�N DEFLA
9 producteurs de bl� font leur entr�e au �Club 50�
C�est un club cr�� � l�initiative du minist�re de l�Agriculture, une sorte de livre d�or des meilleurs producteurs de bl� de la wilaya de A�n Defla. A l�issue de la derni�re campagne moissons-battage, ils ont tous obtenus un rendement sup�rieur � 50 q � l�hectare, d�o� le nom du Club 50, dans sept communes de la wilaya : El Amra, El Attaf, Zeddine, El Abadia, Djelida, Djendel et Bir Ould Khelifa. Le premier des neuf c�r�aliculteurs de la wilaya figure � la 16e place du classement national. A cette occasion, une petite c�r�monie a �t� organis�e au si�ge de la wilaya, jeudi dernier dans l�apr�s-midi en leur honneur au cours de laquelle, ces derniers ont re�u des mains du chef de l�ex�cutif de la wilaya, une m�daille honorifique. Ces r�sultats ont �t� obtenus gr�ce, pour une grande part, aux efforts consentis par ces agriculteurs, r�sultats m�ritoires surtout comme certains nous l�ont d�clar�, ils ne poss�dent pas de terres propres et qu�ils ont recours � la location. �Nous attendons l�application des textes relatifs � la concession, leur mise en application tarde � venir, cela nous encouragerait plus � produire mieux et plus� nous dit l�un d�eux. Il faut dire que dans la wilaya de A�n-Defla, la superficie irrigu�e consacr�e � la c�r�aliculture s��tend sur 41 000 ha avec un projet d�extension allant jusqu'� 60 000 ha. A l�actif de la coop�rative de c�r�ales et de l�gumes secs, la CCLS, une production record jamais atteinte, de l�ordre de 870 000 q a �t� engrang�e. Il faut dire aussi que produire ne suffit pas puisque les capacit�s de stockage de la wilaya restent faibles et pour pallier ce d�ficit, la coop�rative se trouve dans l�obligation de recourir � des locations, quand ce n�est pas des r�quisitions d�aires de stockage ici ou l�, notamment � titre d�exemple, ce sont 340 000 q qui sont stock�s dans une ancienne unit� industrielle d�saffect�e depuis des ann�es, un stock d�ailleurs qui a failli partir en fum�e lors d�un d�but d�incendie, heureusement vite ma�tris� par les �l�ments de la Protection civile. A propos d�extension des capacit�s de stockage, nous avons souvent entendu parler d�un fameux projet de construction de docks, silos de grande capacit� � El Abadia, mais � ce jour, le projet n�a pas connu de d�but de r�alisation.
Karim O.
KHEMIS MILIANA
17 habitants du quartier Boutane refusent de quitter leur bidonville en voie d��radication
Sur les 136 habitants du quartier Boutane dont l��radication a �t� entam�e jeudi dernier, la plupart, heureux d�acqu�rir un logement salubre et confortable, avaient fait la f�te, avec youyous et zorna, � l�issue de leur installation dans des appartements neufs, des F3 et F4.
Cependant, � ce jour, dix-sept b�n�ficiaires refusent de quitter leurs taudis. Les raisons invoqu�es se r�sument en une seule phrase : �Nous voulons pour chacun un logement.� L�une de ces personnes, c�libataire, qui a re�u un titre d�occupation d�un F3, demandera un logement pour son fr�re, un logement qu�il ne pourra occuper que dans quelques ann�es, parce qu�il est absent. Un autre habitant qui refuse lui aussi de quitter les lieux demande un appartement pour son fr�re. D�autres invoquent des m�sententes entre femmes d�un m�me foyer et r�clament des logements individuels. Tous ces cas avancent des raisons similaires et refusent de quitter les lieux si leurs exigences ne sont pas satisfaites. Maintenant, �tant donn� l�op�ration de d�molition, ces taudis n�ont plus d��lectricit�, ni de gaz, ni de r�seau d�assainissement, et leur inconfort grandit de jour en jour. Tous les concern�s ont �t� re�us par le chef de da�ra qui a tent� de les convaincre d�occuper les logements qui leur ont �t� attribu�s mais en vain, ils campent sur leurs positions. Selon un responsable, le recours � la force publique n�est pas � l�ordre du jour pour l�instant, en tout cas pas avant que tous les recours pr�vus par les lois ne soient �puis�s. Il s�agit l� d�un vrai casse-t�te pour l�administration, surtout qu�il y a urgence � lancer un programme de construction de logements pour d�autres habitants du reste du bidonville. Pour le moment, on attend de trouver un compromis pour d�gager l�assiette de terrain du site en voie d��radication totale.
K. O.
BORDJ-EMIR-KHALED
Une bande organis�e vole un v�hicule et force un barrage de police
Lundi dernier en d�but de soir�e, un automobiliste qui conduisait une Toyota Hilux s�est arr�t� devant un commerce, situ� en plein centre-ville de Bordj Emir Khaled, pour recharger son cr�dit de t�l�phone, laissant son v�hicule ouvert. Au m�me moment, un individu descend d�un autre v�hicule, une Peugeot 505 � bord de laquelle se trouvaient quatre autres individus. L�homme prend place au volant de la Toyota et fonce � pleins gaz, suivi par la Peugeot 505, sur la RN 14 qui traverse la ville, en direction de Khemis Miliana.
Arriv�s au niveau du barrage fixe de la police, les conducteurs des deux v�hicules passent en trombe. Les policiers de faction informent par radio le central de la S�ret� de da�ra qui, � son tour, donne l�alerte et passent le message � la brigade de gendarmerie qui avait dress� un barrage � l�entr�e de Bir Ould Khelifa, 10 km plus loin. Le v�hicule utilitaire Hilux �tait d�j� pass� mais la 505 avec ses quatre occupants a pu �tre stopp�e par les gendarmes. Interpell�s et conduits au si�ge de la S�ret� de da�ra de Bordj Emir Khaled, il s�est av�r� que les quatre individus ne r�sident pas dans la wilaya d�A�n Defla mais sont issus des wilayas de Tlemcen, M�d�a, Blida et Alger. L�interrogatoire des mis en cause a permis aux policiers charg�s de l�enqu�te de conna�tre l�identit� du cinqui�me acolyte qui a pris la fuite � bord du v�hicule utilitaire. Des perquisitions sont alors op�r�es aux domiciles des quatre suspects, qui ont permis de d�couvrir chez deux d�entre eux des preuves de leur implication dans la fabrication de faux documents administratifs dont des permis de conduire, des cartes grises dont l�une est celle d�une Mercedes qui faisait l�objet de recherches, en plus de certificats de vente vierges. Sous les chefs d�accusation de constitution d�association de malfaiteurs, de vol qualifi� � la faveur de la nuit et sous la menaces d�armes blanches, de conduite en �tat d�ivresse, de faux et usage de faux, les quatre accus�s ont �t� plac�s en d�tention provisoire par le procureur de la R�publique de Khemis Miliana territorialement comp�tent.
K. O.
TIPASA
�Le RCD accuse� clame le Dr Khendek
Lors d�une conf�rence de presse organis�e hier, � la salle omnisports de Tipasa, le pr�sident du bureau r�gional du RCD a remis aux m�dias pr�sents une d�claration, � travers laquelle il �met en �vidence les anomalies que le pouvoir central doit assumer�. Dans cette d�claration, le RCD rappelle que �le ministre de l�Int�rieur vient, comme � l�accoutum�e, dire que le vote des corps constitu�s se fait par procuration dans leurs communes de r�sidence. Il se trouve � titre d�exemple, que dans la commune de Larhat, pr�cis�ment � Tazrout, il existe trois bureaux de vote, dont un r�serv� exclusivement aux militaires. En d�autres termes, sur les 625 �lecteurs inscrits, 297 sont des militaires install�s dans un campement�. Le RCD s�interroge �ce campement donne-t-il droit � un certificat de r�sidence ? La r�ponse est non�. Toujours � propos du vote des militaires, le RCD met � l�index ce qui para�t �tre une anomalie : �A Cherchell, le vote des militaires a toujours fait la diff�rence au profit des partis du pouvoir. Le fichier �lectoral contenu dans des CD est con�u de telle mani�re qu�il n�apporte aucune aide aux partis politiques, puisqu�il ne contient que le nom, le pr�nom, le lieu et la date de naissance et le centre de vote. Le lieu de r�sidence qui est l��l�ment pivot est absent, et ne permet pas par cons�quent d�introduire un recours�. A ce propos, le Dr Khendek, ancien d�put� APN du RCD, reste intraitable sur la question, il dira � ce propos : �Selon nos sources, sur les 39 165 �lecteurs de la commune de Cherchell, il y avait sur les listes initiales pr�s de 8 500 militaires inscrits sur les listes �lectorales. A la suite de l�injonction de leur tutelle, les responsables de l�administration locale ont radi� 3 500 �lecteurs militaires. En d�autres termes, il y aurait selon la logique de l�administration locale, 5 000 �lecteurs militaires, qui r�sident � Cherchell et qui disposent de la carte de r�sidence dans cette ville. Le CD qui nous est transmis ne mentionne pas le lieu de r�sidence actuelle. Si c�est le cas, et que ces derniers r�sident effectivement � Cherchell, qu�on nous ouvre les portes de leurs casernes afin qu�on organise des meetings et effectue notre campagne �lectorale�, s�insurge ce compagnon de l�ex-patron du RCD. Dans le communiqu� qui nous a �t� remis, c�est le proc�s de cette �lection qui semble �tre de mise : �Tous les d�lais fix�s par la loi �lectorale n�ont a pas �t� respect�s par l�administration, alors que les partis sont somm�s de les observer, notamment quant au d�p�t des listes des repr�sentants dans les bureaux de vote et les centres. Pourquoi alors participer � cette mascarade ? C�est une �lection biais�e d�avance. Il est grand temps que le pouvoir central se d�sengage du pouvoir local. Les codes communal et de wilaya comportent des restrictions �, note ce communiqu�.


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