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Le Soir du Centre
Aïn Defla Pénurie de réactifs dans les centres de transfusion sanguine
Publié dans Le Soir d'Algérie le 01 - 10 - 2013

Collecter du sang auprès de donneurs ne suffit pas, quelles que soient les qualités collectées. Encore faut-il que ce précieux liquide, indispensable pour sauver des vies humaines, puisse être transfusé exempt d'éléments pathogènes. Pour éviter ce danger, le sang récolté doit être analysé et soumis au dépistage des éléments nocifs dont certains donneurs pourraient être porteurs.
Cette mission de contrôle de la qualité du sang est remplie par les quatre centres de transfusion sanguine, installés au niveau des Etablissements publics hospitaliers (EPH).
Parmi les éléments pathogènes à dépister dans le sang collecté figurent la syphilis, maladie sexuellement transmissible, le virus immunodéficitaire humain (sida), les virus des hépatites B (100 fois plus transmissible que celui du VIH) et C. D'autres maladies peuvent être soumises au dépistage dans le cas d'épidémies, telles que la brucellose et le paludisme.
Chacun de ces centres de transfusion est doté d'une chaîne LISA, essentielle pour procéder aux différents dépistages. Non moins essentiels également, les différents réactifs indispensables pour détecter les différents agents pathogènes.
Selon des sources, les commandes des hôpitaux passées auprès de la Pharmacie centrale ne sont pas satisfaites.
Pour pallier cette pénurie, les différents centres «s'entraident» en attendant que l'organisme distributeur honore leurs commandes.
Il faut dire que les besoins de certains de ces centres sont plus importants que d'autres parce que l'activité chirurgicale principalement s'est accrue, notamment dans les domaines obstétriques, chirurgie réparatrice suite au nombre sans cesse croissant d'accidents, sans compter la multiplication des cas d'anémies sévères générées par certaines maladies.
Le centre de transfusion du chef-lieu de wilaya est peut-être le mieux loti, parce que son activité ne se limite pas au rôle de simple fournisseur de sang aux hôpitaux mais consiste en des opérations de transformation du sang par séparation en plaquettes, culots globulaires et plasma frais congelé.
Cet établissement, qui a ouvert ses portes en 2006, a pu collecter 1 895 poches de sang de 450 cc chacun en 2012, ce qui a pu générer, après différentes opérations de séparation, 2 995 poches de différents produits sanguins.
Cependant, on déplore l'absence d'un fichier constituant une base de données qui couvre toute la wilaya. Pour l'instant, chaque centre possède son propre fichier des donneurs et des informations récoltées. On nous explique qu'il y a 3 types de donneurs, les réguliers, les donneurs de conjoncture, par solidarité en direction d'un proche, et les donneurs occasionnels. Ce fichier de wilayas peut non seulement servir à l'Agence nationale du sang, mais aussi au ministère de la Santé, pour cibler des programmes de santé publique.
On évoque la mise en place d'un réseau arborescent structurant ce domaine, qui comprendrait 12 régions coiffant entre 3 et 5 wilayas, la wilaya de Aïn Defla fait partie aux côtés des Wilayas d'Alger, de Tipasa, Médéa et Blida. On indique que dans certaines régions, la réalisation de ces sièges de wilaya a été entamée. Ils auront pour mission de «chapeauter» les différents points de transfusion sanguine (PTS).
Il faut dire que selon certaines données, la collecte du sang reste assez faible par manque de sensibilisation à tous les niveaux. Pourtant, indique-t-on, un sujet sain masculin peut donner de son sang une fois tous les trois mois tandis qu'un sujet féminin une fois tous les 4 mois sans conséquence aucune sur la santé des donneurs.
Pour ce qui est de la présence des maladies hautement contagieuses, on a dénombré, en 2012, 11 cas de syphilis, 2 cas d'hépatite, et aucun cas d'HIV. Concernant le dépistage du sida, il existe un centre de dépistage anonyme.
Ces chiffres ne sont certes pas exhaustifs parce qu'ils ne concernent que le chef-lieu de wilaya, d'une part, et que, d'autre part, les dépistages ne sont ni systématiques ni généralisés puisqu'ils ne concernent que les donneurs. Pour les autres centres, la Direction de la santé garde jalousement ses informations, le service des statistiques se montre très frileux chaque fois qu'il s'agit de communiquer des données.
Karim O.
Université de Béjaïa
Les langues en milieux socioprofessionnels en débat
Le campus universitaire d'Aboudaou de Béjaïa accueille, demain mercredi, une journée d'étude sur thème : «Les langues en milieux socioprofessionnels.»
A travers l'organisation de cette rencontre, le laboratoire de recherche et formation LAILEMM de l'Université Abderrahmane-Mira de Béjaïa compte apporter une contribution à l'établissement du dialogue entre les deux univers en initiant la réflexion sur la place et le rôle des langues dans différents milieux socioprofessionnels.La manifestation vise à encourager les cadres universitaires à proposer des offres de formations professionnalisantes en étroite concertation avec les acteurs du monde socio-économique pour favoriser l'accès des étudiants des langues au marché du travail . L'événement d'Aboudaou ambitionne, par la même occasion, à faire participer les langues à la conception des pôles de compétitivité en Algérie dont la mise en place n'est encore que balbutiante, selon ses initiateurs. Plusieurs communications sont au programme de la manifestation. Mme Derradji Lila, membre du laboratoire LAILEMM, abordera le sujet lié à la formation en langues à l'université et les demandes spécifiques du monde professionnel. «La formation diplômante et employabilité» ou encore «l'ingénierie de la formation professionnalisante» sont, entre autres, deux autres thèmes de communication qui seront présentés dans la matinée respectivement par Faïza Khir et Houssem-Eddine Bahloul de l'Ecole supérieure algérienne des affaires et Belhoul Mourad, directeur du Centre d'études supérieures industrielles (CESI-Algérie). Dans l'après-midi, une table ronde ouverte au public regroupant des responsables de la Chambre de commerce et d'industrie de la wilaya de Béjaïa, la Direction du tourisme, la Direction de l'éducation, des représentants de plusieurs entreprises à l'image de Cevital, Général emballage d'Akbou figure aussi au menu de la rencontre du campus d'Aboudaou initiée par le laboratoire de recherche et formation LAILEMM de l'Université Abderrahmane-Mira de Béjaïa.
A. Kersani
Résidents des cités 126 et 56 logements à Bouira :
«Sauvez notre espace vert, Monsieur le Wali !»
C'est à travers une requête adressée au wali de Bouira ; M. Maâskri et avant lui, à son prédécesseur , M. Bouguerra, que les habitants des deux cités situées en plein centre de l'ancienne ville de Bouira, à proximité du stade Bourouba, lancent un dernier appel à l'aide afin que leurs enfants bénéficient enfin de l'aire de jeux attendue depuis plus de six ans.
Une assiette de terrain d'à-peine quelques mètres carrés, laissée en friche entre les interminables colonnes d'immeubles des deux cités 126 et 56 logements et qui devait à la base être aménagée en espace vert et aire de jeux au profit des résidents et de leur progéniture. Un projet resté au point mort dès le début et qui a, depuis le temps, fait germer d'autres idées d'aménagement chez certains responsables locaux.
En effet, en 2009, des élus de la wilaya avaient jeté leur dévolu sur ce terrain afin d'en faire un marché de proximité ; un projet qui avait alors provoqué l'ire des résidents de ces quartiers et qu'ils ont réussi à avorter à temps grâce à l'intervention de l'ex- premier responsable de la wilaya.
Néanmoins, aucune initiative n'a été entreprise pour la création du fameux espace de détente et après cinq années de friche, d'autres responsables ont re-pointé du doigt cet espace ; stérile et inexploité, et ils l'ont envisagé, cette fois-ci, en un groupe scolaire de trois étages.
Une énième «expropriation» pour ces résidents qui n'en peuvent plus d'attendre la réalisation d'un projet qui leur tient à cœur et qui ne veulent pas se résigner en cédant à ce deuxième projet qui a cependant commencé à se concrétiser ; le terrain a déjà été délimité et les fondations de la future construction ne vont pas tarder à émerger.
Par ailleurs, ce projet de construction d'un établissement scolaire qui ferait perdre à ces citoyens leurs droits à un peu d'air et de divertissement semble visiblement anti-pédagogique, compte tenu de la proximité des habitations et de l'exiguïté des lieux qui nuiraient sérieusement à la concentration, à l'épanouissement et à la stimulation physique et intellectuelle des futurs élèves.
Katya Kaci
BLIDA
Pour avoir publié une photo obscène sur Facebook
Un internaute sous les verrous
Sur la base d'une plainte déposée par une citoyenne concernant la publication d'une photo obscène sur le réseau social Facebook, les éléments de la Brigade économique et financière de la Sûreté de wilaya de Blida ont ouvert une enquête. Celle-ci s'est soldée par l'arrestation de l'internaute qui a déposé la photo. Le mis en cause a été identifié à travers sa photo déposée sur le profil du réseau social. Arrêté puis interrogé, il a avoué avoir publié cette image à caractère pornographique sans pour autant donner les raisons de son acte.
Présenté dimanche dernier devant le procureur de la République de Blida, le concerné a été écroué.


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