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Le Soir de l'Est
Aéroport international Mohamed-Boudiaf de Constantine Simulation de crash d'un avion ATR 72/500
Publié dans Le Soir d'Algérie le 21 - 12 - 2013

Le crash fictif d'un avion de ligne ATR 72/500 d'Air Algérie sur l'aéroport international Mohamed-Boudiaf, réalisé dans l'après-midi de jeudi, teste, avant tout, «la prévalence, la coordination efficace et la rapidité d'intervention des différents acteurs» concernés par une telle catastrophe.
12 morts et 38 blessés dont 10 grièvement touchés. Le bilan aurait été plus lourd si ce n'est l'efficacité avec laquelle le plan d'urgence, propre à l'aéroport en cas d'accident, a été exécuté par les différents intervenants sitôt l'alerte donnée.
Le scénario : il était midi passé, lorsque l'un des moteurs d'un avion de ligne de type ATR 72/500 de la compagnie aérienne Air Algérie, transportant une cinquantaine de passagers, prend feu, seulement quelques minutes après avoir quitté le tarmac de l'aéroport internationale de Constantine et s'écrase au bout de la piste.
Les services de sauvetage et de lutte contre les incendies de l'aéroport, aussitôt alertés, sont les premiers à intervenir sur les lieux de l'incident en attendant l'intervention des acteurs extra-aéroportuaires de wilaya, notamment les sapeurs-pompiers, les médecins-urgentistes et les services hospitaliers. Entre-temps, le centre d'administration et de crise au niveau de l'aéroport est activé et coordonne les actions sur le terrain.
Le scénario mis en place par l'Entreprise nationale de navigation aérienne (ENNA) est un exercice-test d'un plan d'urgence élaboré par la direction de la sécurité aéroportuaire, conformément aux recommandations de l'Organisation internationale de l'aviation civile dont l'Algérie est membre, a indiqué M. Tarek Kechi.
Aussi, pour le directeur de l'Entreprise de gestion des services aéroportuaires, Tarek Kechi, l'objectif de cette simulation était de s'assurer qu'en cas d'accident aérien ou d'atteinte à la sécurité de l'aviation civile, la coordination des secours entre les différentes parties impliquées (aéroportuaires et de wilaya) serait la plus efficace possible. En ce sens, Il est question notamment du temps de réaction des secours et de la coordination efficace des actions.
Farid Benzaïd
Guelma
Pour la modernisation de la filière thermale à Hammam D'bagh
Hammam D'bagh, dans un site fascinant, se niche au cœur d'une région connue pour son riche patrimoine naturel entourant des bains thermaux de renommée internationale, appelé communément Hammam Meskhoutine.
Cette fantastique station thermale, de plus en plus prisée ces dernières années, est également réputée pour les vertus curatives et thérapeutiques de ses sources thermales.
Néanmoins, les infrastructures touristiques existantes de ce pôle restent en deçà des attentes des touristes.
Pour promouvoir le tourisme dans cette région, les autorités locales ont mis en œuvre un large programme de développement de l'industrie touristique qui vise, notamment, à favoriser les investissements dans la filière thermale. Bonne nouvelle pour les adeptes des plaisirs thermaux, puisqu'aux dernières nouvelles, un hôtel de luxe est prévu au cœur de Hammam Meskhoutine, et il sera construit sur douze étages.
Il s'agit, selon notre source, d'une infrastructure qui offre confort et sécurité et qui répond aux exigences des visiteurs.
Mais apparemment, certaines parties n'apprécient pas ce projet d'investissement touristique à Hammam D'bagh, lancé dans le cadre du Calpiref. Des organes de presse, citant des sources locales «proches de ces cercles», ont de nouveau évoqué les réactions de mécontentement de certains quant à ce projet d'investissement.
Aux dires d'une source citée par ces journaux, les décisions d'attributions d'assiettes foncières devant abriter ce projet seraient entachées d'irrégularités.
Côté administration, une plus grande transparence entoure ce dossier, après que le chef de l'exécutif eut révélé lors de la troisième session ordinaire de l'APW que «des campagnes d'intoxication sont orchestrées, ces derniers jours, autour de certains secteurs, qui véhiculent un éventail d'informations parfaitement erronées et des rumeurs néfastes, notamment sur les projets retenus dans la zone d'expansion touristique de Hammam Débagh».
«Il n'est pas question de faire marche arrière, le Calpiref a toujours fait preuve de transparence rigoureuse dans l'examen des dossiers d'investissement, déposés à son niveau.
En tant que président de cet organe, je suis responsable de ce que je dis», a affirmé le chef de l'exécutif.
«La priorité a été donnée aux investissements fiables porteurs de richesses et créateurs de postes d'emploi, ce qui met donc les opérateurs économiques sur un pied d'égalité», précise-t-il.
Enfin, le premier responsable de la wilaya de Guelma a révélé qu'il se réserve le droit d'agir légalement contre ces accusations, en rappelant sa volonté d'«aller jusqu'au bout pour lutter contre cette campagne calomnieuse acharnée, orchestrée par certains, à des fins de perturbation de l'opinion publique».
Noureddine Guergour
El Tarf
Suicide d'un homme de 26 ans par électrocution à Dréan
Consternation et émoi se lisaient sur les visages des citoyens de la paisible cité de Sidi-Manaâ, commune de Dréan, jeudi dernier, où un homme de 26 ans marié, sans enfant, s'est donné la mort par électrocution en escaladant un poteau électrique pour ensuite s'agripper aux fils électriques.
Il a été retrouvé par des passants au bord de la route, le corps calciné.
Les services de sécurité ont ouvert une enquête pour connaître les circonstances exactes de ce drame.
Cependant, des sources concordantes ont indiqué que la situation sociale du défunt était des plus déplorables. Il était chômeur et avait de gros problèmes avec son épouse.
Daoud Allam
Pour des raisons de santé, le maire de Chebaïta-Mokhtar démissionne
La récurrence de ses ennuis de santé et son état physique chancelant ont poussé le maire de la commune de Chebaïta-Mokhtar à déposer, officiellement, au cours de la semaine écoulée, sa démission.
En effet, Messadia Saïd connu sous le prénom de Djamel, d'obédience FLN, a été contraint de rendre le tablier après une année d'exercice à la tête d'une des communes les plus difficiles de la wilaya.
Le nouveau maire devrait être connu au cours de cette semaine, a-t-on indiqué.
D. A.
Souk ahras
Absence de toilettes publiques au chef-lieu de la wilaya
Toute ville qui se respecte, et notamment les cités importantes et à plus forte raison, un chef-lieu de wilaya, doit disposer de toutes les structures publiques aptes à assurer la satisfaction des besoins élémentaires du citoyen et passagers.
De nos jours à Souk Ahras-Ville, dénicher des toilettes publique équivaut à chercher une aiguille dans une botte de foin. Dans ce contexte, tout le monde aura constaté l'absence totale des vespasiennes «même payantes» dans l'ensemble de la localité. Même les simples pissotières, pourtant très faciles à réaliser, sont inexistantes, il faut dire que les étrangers à la ville en savent un bout.
Imaginons dans ces conditions la situation délicate que rencontrent les passagers ou les malades pris par un besoin naturel pressant. Certes dans les cas d'urgence, ils pourront se rabattre et faire le pied de grue devant les toilettes des cafés, sauf que les gérants de ces cafés ne se gênent pas pour rabrouer ceux qui ne consomment pas, mais se contentent de salir l'endroit, prétextant encore le manque d'eau.
En désespoir de cause, au niveau des ruelles de la périphérie de la ville, beaucoup de personnes et surtout les gens âgés font leurs besoins à l'air libre. Même le recours aux toilettes des mosquées est devenu problématique.
Aussi paradoxal que cela puisse paraître, il y a un peu plus d'une année, l'APC du chef-lieu de la wilaya de Souk Ahras a acquis, pour un peu plus de 400 millions de centimes, 16 toilettes publiques sous forme de cabine qui n'ont pas été placées jusqu'à ce jour. Pourtant, c'est très simple à réaliser, il suffit de recruter des jeunes chômeurs auxquels sera confiée la gestion de ces vespasiennes installées en plusieurs endroits et les exploiter à titre lucratif. Quel est le problème pour les installer ? La solution est simple et il y va de la propreté et de l'image de la ville et surtout de la santé du citoyen.
Barour Yacine
OUM EL BOUAGHI
Un programme de plus de 700 logements dans les communes de El Harmelia et Ouled Hamla
Pousuivant ses sorties d'inspection de projets lancés ou en cours de réalisation, M. Menaâ, wali d'Oum El Bouaghi, accompagné de cadres de différents secteurs s'est rendu en cette fin de semaine dans deux communes situées à l'ouest du chef-lieu de wilaya.
La première escale fut El Harmeli, une commune rurale dépendant de la daïra de Aïn Kercha. La délégation s'est arrêtée au niveau d'un projet de réhabilitation d'un chemin de wilaya d'un linéaire de 11 km et dont l'avancement des travaux a atteint un taux de 53%. Là, le chef de l'exécutif a ordonné de mettre les bouchées doubles pour terminer ce projet qui permettra de désenclaver six mechtas de la région.
Au chef-lieu de la commune, 280 logements tous types confondus ont été visités par le chef de l'exécutif. A ce niveau, le wali a sommé les responsables à parachever les projets et entammer les attributions dans les meilleurs délais.
Le secteur de l'éducation a été retenu dans cette sortie pour une salle de sport au niveau du lycée de la commune, le taux de réalisation de cette infrastructure a atteint les 75%. Pour le secteur de la jeunesse et des sports, un stade communal a été visité par la délégation, vu l'importance que revêt ce secteur, le chef de l'exécutif a donné des instructions pour que l'on réhabilite le stade et le doter de toutes ses commodités nécessaires à la pratique du sport avec la pose d'un tartan.
A Ouled Hamla, l'autre commune dépendant de la daïra de Aïn M'lila, la délégation s'est rendue sur les sites où devraient être réalisés 464 logements de différents types. A ce niveau, M. le wali a sommé le directeur de l'OPGI à trouver une solution pour régler le conflit qui existe entre son organisme et le collectif des bénéficiaires des 50 logements LSP.
Les mêmes orientations ont été données au directeur de l'Agence foncière pour terminer et livrer le projet des 80 logements LSP en souffrance depuis longtemps.
Avant de terminer cette visite, le chef de l'exécutif a tenu à rencontrer les citoyens de ces deux communes sachant que ces derniers se sont manifestés tout récemment par des actions de violence en bloquant les différents accès des mechtas.
Dans un cadre organisé, des jeunes de ces bourgs ont fait preuve de compréhension et civisme en regrettant leurs actes et ont même demandé l'indulgence des responsables envers les fauteurs. A ce niveau de dialogue, M. Menaâ a promis de faire des efforts supplémentaires pour satisfaire le maximum des doléances des habitants de ces mechtas.
En somme, les problèmes posés par ces citoyens gravitent autour de l'électrification rurale, l'eau, les pistes, l'habitat rural, le transport scolaire...


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