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Le Soir du Centre
Une place publique a été baptisée en son nom Hommage de la ville de Tizi-Ouzou à Tahar Djaout
Publié dans Le Soir d'Algérie le 02 - 08 - 2014

Après le chanteur engagé Matoub Lounès, dont le nom a été donné à un carrefour situé à l'entrée ouest de la ville, c'est au tour de la mémoire du journaliste et romancier, feu Tahar Djaout, d'être honorée par les autorités de la wilaya et de la ville de Tizi-Ouzou.
Le jardin public qui se trouve dans le prolongement de la place du 17 -Octobre et en face du tribunal, vient d'être baptisé en son nom, lors d'une cérémonie organisée en fin d'après-midi de jeudi dernier, en présence des autorités locales, des membres de la famille et d'amis de Tahar Djaout ainsi que de nombreux citoyens. La décision de donner le nom de l'auteur de Les chercheurs d'os, assassiné par les islamistes en 1993, revêt une forte symbolique aux yeux du wali comme du P/APC de Tizi-Ouzou. «Au-delà de l'inauguration de cette place qui s'ajoute aux autres espaces publics mis au service des citoyens, c'est toute la mémoire de Tahar Djaout qui est honorée», dira notamment le wali de Tizi-Ouzou, qui a évoqué les valeurs de liberté incarnées par Tahar Djaout et son engagement en faveur d'une Algérie moderne, refusant toute forme d'obscurantisme, à travers son activité de journaliste et création littéraire.
«Tahar Djaout est un homme libre, un vrai amazigh, qui est mort pour ses idées. Je suis fier d'être là pour participer avec le P/APC de Tizi-Ouzou à l'inauguration de cet espace qui témoignera chaque jour de la résistance de Tahar Djaout, de tous les intellectuels comme lui ainsi que tous les patriotes qui se sont sacrifiés pour le pays», ajoutera le wali.
«L'APC de Tizi-Ouzou est fière d'honorer la mémoire d'un homme de valeur, d'un martyr qui symbolise la résistance contre l'obscurantisme», dira, pour sa part, le maire de Tizi-Ouzou, qui reprend à son compte la célèbre formule de Djaout idéalisant l'Algérie qui avance. «Tahar Djaout nous a laissé un message clair et toujours d'actualité : l'Algérie qui avance ; elle est là, debout, nous sommes de cette Algérie qui avance», dira Ouahab Aït Menguellet, qui indiquera que cette place dont la réhabilitation est le fruit de la conjugaison de plusieurs volontés, constitue un espace de plus qui vient s'ajouter aux autres espaces de détente mis en place à la disposition de la population de Tizi-Ouzou.
S. A. M.
Aïn Bouyahia (Aïn Defla)
Les habitants de 2 douars s'unissent, ferment le siège de l'APC et la route
Des habitants du douar El-Aâdjaïlia situé au nord du chef-lieu de la commune de Aïn-Bouyahia dans la daïra d'El Abadia et du douar des Zerarka, au sud, se sont regroupés devant la mairie dimanche, la veille de l'Aïd et ont procédé à sa fermeture. Ils ont récidivé dès mercredi, au lendemain des 2 jours de congé de l'Aïd.
L'objet de cette action est la revendication d'aide à l'habitat rural. Des aides octroyées à ceux qui sont propriétaires d'un terrain à bâtir. Cependant, avons-nous appris, ces habitants ne possèdent pas de terrains et vivent sur des propriétés qui ne leur appartiennent pas.
Une délégation officielle s'est rendue sur place et a tenté de ramener les contestataires à la raison.
Selon des sources locales, promesse leur a été faite que le cas allait être étudié et qu'une solution allait être trouvée pour résoudre le problème auquel ces habitants sont confrontés. Ne se contentant pas de promesses, ces derniers ont dressé un barrage sur le chemin de wilaya N°3, reliant Aïn-Bouyahia à El-Amra. Depuis, nous avons appris que le barrage dressé a été levé mais que le siège de l'APC est resté cadenassé.
Par ailleurs, les habitants du douar de Aâdjaîlia sont privés d'eau potable depuis des jours. Selon nos informations c'est un problème qui récidive. En effet, déjà en septembre 2013, il a fallu un important mouvement de contestation pour que l'eau coule enfin dans les robinets. On se rappelle que cela était dû à l'absence d'alimentation du forage en énergie électrique causée par un retard de 6 mois, pour que les services de la SDO (Sonelgaz,) alertés par le mouvement de contestation, se dépêchent de relier le forage au réseau électrique, et ce, bien que l'APC ait payé d'avance les frais de branchement.
Toujours selon les mêmes sources, l'APC sera fermée tant que les revendications n'auront pas abouti.
Karim O.
Boumedfaâ
La RN4 fermée dans la matinée de jeudi
Les habitants de hay Zayimia, situé à l'entrée ouest de la ville de Boumedfaâ, ont bloqué la circulation pendant des heures sur l'important axe routier qu'est la RN 4, reliant Khemis-Miliana à Alger, pour protester contre le silence des autorités concernant une reconfiguration de leur quartier.
Selon un plan de développement inscrit pour la daïra, une superficie de plusieurs ha, jouxtant le quartier, a été dégagée pour la réalisation d'une zone d'activités dont la commune a grandement besoin, en vue de développer le secteur et créer des emplois. Cependant, il se trouve que la superficie dégagée empiète sur un quartier prévoyant 7 habitants à déloger et une petite mosquée à délocaliser. Une délégation du quartier avait introduit une opposition auprès de l'APC de Boumedfaâ le mois dernier.
Une réunion entre les concernés et le P/APC a abouti à une entente promettant que les 7 habitants et la mosquée ne seraient pas touchés tandis que les autres bénéficieront d'un terrain de substitution dans le cadre de l'expropriation. Un compte rendu de la réunion a été adressé au chef de l'exécutif de la wilaya pour information et pour approbation.
Par ailleurs nous dit-on, des représentants du quartier sont allés s'enquérir des suites de leurs revendications auprès de la Direction des services agricoles de la wilaya. Pas question de cession de terres agricoles leur aurait-on répondu, une réponse qui les a poussés à la contestation et à bloquer la circulation pendant un long moment, provoquant un embouteillage monstre dans les deux sens. La circulation a été rétablie en milieu de matinée. On remarquera que ces habitants qui se sentent pénalisés, handicapent à leur tour d'autres citoyens, entre autres les usagers de la route, les administrés, en les privant des services municipaux et même des étudiants qui se voient interdire l'accès aux cours, entre autres.
Beaucoup de citoyens déplorent ces comportements qui leur sont souvent très préjudiciables, surtout par leur récurrence. «Pour une mésentente avec le voisin, maintenant on bloque la circulation sur la route », entend-on souvent.
K. O.
AGRESSION CONTRE LE PERSONNEL MEDICAL DE LA POLYCLINIQUE DE LAÂZIV
Le père d'un des agresseurs se démarque et condamne
C'est un père bien attristé par les conséquences du comportement de son fils, mais ferme dans sa condamnation de l'agression, qui nous a appelés au téléphone pour une mise au point.
Mohamed-Seghir Boukarrou, secrétaire général de l'ONM (Organisation nationale des moudjahidine) de Laâziv, père de l'un des 4 agresseurs du personnel médical et paramédical de la polyclinique de Laâziv (est de la wilaya de Boumerdès) n'est pas allé avec le dos de la cuillère pour fustiger le comportement des agresseurs y compris son fils qui est, en partie, responsable de ce dépassement. «Je condamne la violence d'où qu'elle vienne. Je suis entièrement d'accord avec mes concitoyens de la commune qui demandent aux services de sécurité et à la justice de faire leur travail.» Dira-t-il au téléphone avant de préciser : «Je me suis présenté au personnel médical et paramédical pour leur présenter mes excuses. Je leur ai également dit que je suis prêt à prendre en charge les dégâts occasionnés par cette agression.»
Par ailleurs, les 4 agresseurs ont été entendus par le juge d'instruction du tribunal de Bordj-Ménaïel qui les a inculpés de divers délits et qui les a placés sous contrôle judiciaire avant de leurs accorder la liberté provisoire.
Mohamed-Seghir Boukarrou prend dans cette malheureuse affaire une position qui l'honore en tant que citoyen et important personnage public dans toute la wilaya de Boumerdès. Il faut espérer que son comportement soit pris comme exemple par d'autres hauts personnages publics dont la progéniture se livre à des frasques en toute impunité.
Abachi L.
Tigzirt
Un jeune judoka de 28 ans disparaît en mer
Un jeune judoka de Maâtkas, 28 ans, a disparu mercredi 29 juillet au large de la plage de Tassalast à Tigzirt alors qu'il se baignait.
Selon toute vraisemblance, le jeune homme, Massinissa Mahtout aurait été pris dans un courant marin.
Le Centre opérationnel de surveillance et de sauvetage qui a reçu l'alerte, n'a pas encore retrouvé son corps. D'importants moyens de recherche ont été déployés, mais jusque-là, en vain. Il faut dire que la nouvelle s'est répandue telle une trainée de poudre dans toute la circonscription de Maatkas où l'émoi et la consternation ont gagné tous les villageois surtout que Massinissa, un jeune moniteur de judo au sein de la JSC Maâtkas, était apprécié de tous, particulièrement de ses nombreux élèves judokas.
Nous apprenons que c'est la troisième victime de la mer à Tigzirt, en l'espace d'un mois, après que deux autres jeunes s'y soient noyés également, l'un originaire de Ath Zmenzer et l'autre de Draâ Ben Khedda, tous deux âgés de 23 ans.
C'est dire que la vigilance devrait être de mise chez les baigneurs, mais aussi chez les éléments de la protection en charge de la surveillance des plages.
Amayas Idir
BLIDA
Des habitants de Chebli ferment la route vers Alger
Des centaines d'habitants du centre Berramdhane, dans la commune de Chebli, à 20 kilomètres au nord-est de Blida, ont bloqué jeudi dernier la route menant vers Baba-Ali, dans la wilaya d'Alger, et ce pour dénoncer l'état des routes dans leur localité, dont les travaux sont à l'arrêt depuis trois ans. Tout comme ils ont protesté contre les perturbations dans la distribution de l'eau potable ainsi que la dégradation du réseau d'assainissement.
Selon les contestataires, cette route laissée en l'état, est devenue impraticable sans parler de la poussière qui s'en dégage en cette période estivale. Ils ont ajouté que l'entreprise détentrice du marché a abandonné le marché, laissant la route dans un état lamentable. Plusieurs doléances pour l'achèvement des travaux ont été transmises aux autorités locales, nous dit-on, mais leurs écrits sont restés lettre morte.
Quant à l'état du réseau d'assainissement, les habitants du centre Berramdhane ont alerté les pouvoirs publics sur la dangerosité de la situation surtout en période hivernale où leurs enfants sont menacés de maladies graves.
A noter que la fermeture de la route principale vers Baba-Ali a causé une perturbation dans le trafic routier et une longue file d'attente a été enregistrée pendant plus d'une heure.
M. B.
Un enfant mort noyé à Hammam-Melouane
Les éléments de la Protection civile de Bougara, à 25 kilomètres à l'est de Blida ont repêché hier le corps sans vie d'un enfant de 11 ans, noyé dans l'oued de Hammam-Melouane. Selon les premières informations, l'enfant s'est noyé lors d'une baignade dans cet oued. Toutefois, la gendarmerie a ouvert une enquête pour connaître les causes réelles de cette mort. Le corps de l'enfant a été évacué à la morgue de la polyclinique de Bougara.


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