La c�r�monie d'ouverture des plis des offres commerciales ing�nieur-conseil en mission PMC, s'est d�roul�e, mercredi, au si�ge de la direction g�n�rale de l'ENIP, en pr�sence de M. Feghouli, vice-pr�sident Aval, de Mahboub P-DG-ENIP, des directeurs des diff�rents complexes de la plate-forme p�trochimique et de la presse locale. L'objectif de cette op�ration d'envergure porte sur la r�habilitation des complexes de production de cette entreprise p�trochimique. En seront cibl�s le complexe des mati�res plastiques CPIK de Skikda avec toutes ses unit�s (l'Ethyl�ne, le PVC, le VCM, le Poly�thyl�ne, le dessalement d'eau de mer, l'air azot� et les utilit�s), ainsi que celui du M�thanol d'Arzew. L'entreprise retenue, apr�s le traitement des plis par la commission d'ouverture de plis, pour le pilotage de ce programme d'investissements, est la Stone Webster sous-traitant pour le compte de Litwin, soci�t� fran�aise install�e � Paris, sp�cialis�e en p�trole et p�trochimie, et faisant partie du groupe Sud Africain Bateman. Le march� a �t� attribu�, s�ance tenante, � cette soci�t� am�ricaine, dont l'offre est la moinsdisante et qui est de 1.720.745.181 DA, loin derri�re sa concurrente la ABB Lumus pour un montant de 3.226.228.145 DA. Les missions de cette entreprise seront �le diagnostic des installations des deux complexes de la soci�t�, les �tudes requises pour la d�finition des diff�rents programmes d'investissements � r�aliser et le pilotage de l'ex�cution de ces programmes d'investissements�. Le financement sera partiel et sera assur� par Sonatrach Aval et l'ENIP. Une op�ration d'un d�lai de quatre ans. �Nous allons mobiliser pr�s de 80 ing�nieurs, 40 pour chaque site, afin de r�aliser les objectifs que s'est assign�s l'ENIP en prenant en consid�ration la s�curit� des installations un peu v�tustes et la rentabilisation de ses capacit�s de production�, nous expliqua Olivier Lavirotte, responsable commercial Maghreb et Afrique de Litwin. Za�d Zohe�r SKIKDA/TRANSPORT Les nouvelles lignes de la col�re La r�union de la commission de wilaya d'attribution des lignes de transport de voyageurs, pr�vue pour mardi dernier, en vue de l'ouverture de nouvelles lignes en milieu urbain, n'a pas eu lieu. Son report est d� aux exigences de l'ONTA, li�es � une restructuration de ses instances. Le �feuilleton� mettant aux prises la direction des transports avec quelques membres de l'ONTA, dure toujours, en d�pit de l'appel � la sagesse lanc� par la premi�re cit�e. �La guerre des communiqu�s�, dont notre journal en a fait l'�cho dans son �dition du mardi, n'a pas fait changer d'un iota la position des transporteurs, lesquels ont maintenu leur droit � la gr�ve, ce lundi 30 mai. Pour preuve, beaucoup de citoyens ont constat� de visu, la perturbation dans la circulation routi�re de la ville, qui en a d�coul�. Car si les transporteurs publics de la ligne Skikda-El-Hada�ek, ont vite fait de se r�tracter, les �gr�vistes� en milieu urbain de la commune de Skikda, n'ont voulu revenir sur leur d�cision, qu'en fin de journ�e. Le vœu �mis par les associations de quartiers de voir � la hausse le nombre de lignes en milieu urbain, a jet� ainsi un pav� dans la mare. Bien qu'elles n'aient pas totalement tort, il ne faut pas �carter l'id�e que ce secteur conna�t une saturation admise � l'unanimit�. 250 lignes sont op�rationnelles, et depuis 2001, aux dires du directeur des transports, aucune ligne n'a �t� attribu�e. Il faut savoir que leur r�partition pose probl�me. Le cit� A�ssa-Boukerma (ex-Sicel) et le lotissement Boulekroud, en manquent cruellement, et repr�sentent ainsi l'exemple type de quartiers dont il faut penser � l'avenir le plus proche. La premi�re cit�e est un simple arr�t du trajet Skikda-El-Hada�ek, de ce fait, les �tudiants de l'universit� vivent une situation inadmissible, car oblig�s de faire le �grand tour� avec des escales forc�es au niveau des cit�s des 700-Logements (deux arr�ts) et la Sicel (trois arr�ts), pour enfin sortir sur la double qui les m�nera � leur lieu du savoir. Une �excursion terrestre� avec tout ce que cela induira en termes de volume horaire qui y est consacr�e, et de capacit�s physiques et morales � d�penser. Un cas de figure qui devrait �tre pris en consid�ration. On susurre aussi que beaucoup de gr�vistes n'en savaient m�me pas le motif de leur gr�ve, pour d'autres c'est une information erron�e qui leur a �t� divulgu�e, � savoir l'attribution de... dix nouvelles lignes en milieu urbain, qui les a incit�s � se �solidariser� avec leurs confr�res, c'est dire toute la �ruine� de leurs �entreprises ambulantes� qui en sera constat�e. Z. Z.
