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Ces commerces � la mode
Publié dans Le Soir d'Algérie le 26 - 08 - 2007


T�L�PHONES PORTABLES
Une activit� florissante
L�ouverture r�cente du secteur de la t�l�phonie mobile en Alg�rie n�a pas emp�ch� l�installation d�une nouvelle forme de commerces. Ils se comptent par milliers de commer�ants � avoir troqu� leur ancienne activit� contre ce commerce florissant de mobiles, puces, cartes de recharge et autres accessoires de t�l�phone.
On les trouve partout dans la capitale, ces magasins de vente de �portables� ! Un march�, tr�s rentable, disent les uns, un peu �mort�, disent d�autres. La concurrence, formelle ou informelle soit-elle, elle, reste tr�s rude. En effet, popularis�e par l�interm�diaire d�offres toujours plus nombreuses et plus comp�titives, la t�l�phonie mobile, � travers les divers r�seaux disponibles, a vite quitt� son statut de nouveaut� technologique pour se populariser en devenant un ph�nom�ne de masse. Un v�ritable ph�nom�ne de soci�t�. �Qui ne poss�de pas de t�l�phone portable de nos jours ?� nous lance un vendeur. Et d�ajouter : �poss�der un portable est devenu une banalit�.� D�ailleurs, c�est l�une des raisons qui ont aid� � cr�er cette diversit� et cette concurrence en mati�re de produits. Les sp�cialistes du domaine pronostiquent que le chiffre d�affaires g�n�r� par ce secteur est en nette et continuelle progression. En fait, la bonne tenue du march� de la t�l�phonie d�pend des prix toujours plus comp�titifs des appareils d�entr�e de gamme et des innovations technologiques des mod�les de nouvelle g�n�ration. Les divers records, eux, sont dus � la forte demande des march�s �mergents o� la baisse des prix des communications mobiles ont d�pass� les pr�visions. Selon le repr�sentant officiel de Motorola en Alg�rie, c�est gr�ce aux diverses promotions offertes sur ces produits que le constructeur maintient sa place. Selon lui, les affaires vont bien. Dans l�un des points de vente Mobi One, on nous dira �que les ventes sont satisfaisantes� et l�engouement des utilisateurs toujours aussi grand pour leurs produits. Le repr�sentant attitr� de Motorola n�a pas h�sit� � faire des promotions sur ses produits pour �pater et surtout app�ter sa client�le. Ce dernier aurait m�me proc�d� depuis janvier 2007 � la commercialisation d�un t�l�phone portable � 1000 DA. Une fa�on de fid�liser ses clients � r�sister face � la concurrence. Dans un autre magasin, la satisfaction est moindre aupr�s du commer�ant. �Les ventes ont beaucoup chut�, sp�cialement cet �t�, r�torque-t-il. Principale cause : la multiplication des magasins sp�cialis�s et surtout l�installation d�un march� parall�le. Le march� ill�gal a, en effet, accapar� une grande part du march�. Il suffit d�un petit pr�sentoir ou d�un �tal, une dizaine d�appareils, des accessoires et le tour est jou� : �Le commerce � est install�. Il faut dire qu�en proposant des produits � bas prix, ces marchands ill�gaux ont leur client�le. Concernant leurs sources d�approvisionnement, elles sont multiples, surtout en l�absence d�une r�gulation et un contr�le du march�. Un probl�me soulev� par les commer�ants et les distributeurs de ce genre de marchandise. Ce fait explique en outre la baisse des prix que l�on remarque au niveau des boutiques sp�cialis�es. �Le secteur de la t�l�phonie mobile n�est soumis � aucune forme de contr�le, le march� est inond� de produits dont nous ignorons la provenance �, nous explique un commer�ant. Il estime que �les ventes ne sont plus ce qu�elles �taient avant, et ce, depuis pr�s de deux ann�es�, pr�cis�ment en p�riode estivale. �Si cela continue, je ferme boutique �, lance un g�rant de magasin.� Il y a trop de commerces semblables, trop de concurrence�, a-t-il ajout�. Pourtant les prix sont tr�s abordables et conviennent � toutes les bourses. Concernant la client�le, les commer�ants �taient unanimes : il y aurait autant d�hommes que de femmes. La fr�n�sie est la m�me pour les �portables �.
Wassila Z.

VENTE PAR FACILIT� DE PAYEMENT
Un cr�neau en plein essor
Une activit� commerciale est choisie en fonction de la rentabilit�. Une �vidence ! Et les vendeurs ayant investi dans le cr�neau de la vente par facilit� de payement ne s�y sont pas tromp�s.
Timide il y a de cela cinq ans, cette activit� a pris de l�essor en consid�rant la conjoncture socio�conomique de l�Alg�rien lambda. Une combinaison de facteurs tels que la n�cessit� de l�achat et le salaire moyen, voire bas, fait que le consommateur y recourt. A Alger, les magasins proposant cette formule pullulent. A l�entr�e de l��choppe pour articles �lectrom�nagers, ce type de vente est bien indiqu� sur l�enseigne. �Nous faisons uniquement de la vente par facilit�. Cela fait un mois et demi que ce magasin a �t� ouvert�, a indiqu� un jeune vendeur de la rue Hassiba-Ben-Bouali. Le magasin dans lequel il travaille ne vend que des articles �lectrom�nagers blancs (r�frig�rateurs, machine � laver...). �En un laps de temps, les affaires marchent assez bien�, a d�clar� non sans fiert� ce jeune vendeur. Le d�lai accord� pour l�acquisition d�un article varie entre 10 et 12 mois. Et pour l�achat d�un produit, un dossier doit �tre fourni. �Il faut que le client nous procure un certificat de r�sidence, la photocopie de la carte nationale, l�extrait d�acte de naissance, les trois derni�res fiches de paye, une carte de retraite pour les retrait�s, un num�ro de compte CCP�, a-t-il ajout�. Un dossier bien volumineux qui sera soigneusement rang� � l�arri�re-boutique. Pour encourager l�achat, les vendeurs ont mis en place une sorte de �solde�. Ils font un rabais sur le dernier paiement � condition que le client soit un bon payeur, c�est-�-dire s�acquitter des mensualit�s � temps � la date indiqu�e dans �le contrat� qui lie les deux parties. Si certains commer�ants ont investi uniquement dans cette formule, d�autres ont pr�f�r� couper la poire en deux. �Cash ou par facilit� de payement, c�est aux clients de choisir mais pour certains articles seulement !� a d�clar� Nacer, propri�taire d�un magasin de vente par facilit� de payement situ� au 1er-Mai. Son commerce fait partie, depuis 15 mois, d�un r�seau mis en place par une entreprise. �Je loue un rayon de mon magasin et je touche une commission sur chaque article vendu�, a-t-il expliqu�. Apr�s plus d�une ann�e d�activit�, ce propri�taire constate que le profil du consommateur est pratiquement le m�me. Celui d�un citoyen moyen avec un bas revenu. Il rel�ve que l�Alg�rien n�a pas vraiment la culture de la facilit� de payement au vrai sens du terme. �Le consommateur se contente de regarder le prix sans faire attention � la qualit� du produit. Moins c�est cher, mieux c�est�, a-t-il constat�. Et dans le cadre de cette formule de vente, notre interlocuteur regrette que les fournisseurs ne soient pas des professionnels. A ce sujet, il dira : �Que ce soit en termes de distribution ou autres, il est pratiquement impossible de trouver un industriel digne de ce nom dans ce cr�neau.� Pour ce commer�ant, il ne s�agit ni plus ni moins que de �busnessia�. Outre cette formule de vente, des �tablissements financiers ont mis en place des cr�dits � la consommation. Une banque fran�aise a contract� des contrats avec plusieurs magasins et entreprises �tatiques telles que l�Entreprise nationale des industries �lectroniques (Enie). Depuis novembre 2006, le show-room de cette entreprise situ� � la rue Hassiba-Ben- Bouali propose la vente de ses produits cash et une mensualit� � verser en cas d�acceptation du dossier par cette banque. �Il faut savoir que certains crit�res d��ligibilit�s sont exig�s. Nous, nous faisons que vendre notre produit et c�est la banque qui d�cide de l�octroi ou pas du cr�dit � la consommation�, a expliqu� Rachid, responsable du showroom. C�t� consommateur, les avis sont partag�s. �Il faut que les gens n�entrent pas de plain-pied dans la soci�t� de consommation et faire attention�, note un p�re de famille. Et d�ajouter : �Chacun trouve son compte. Il faut juste savoir garder la t�te froide devant les propositions all�chantes.�
Meriem Ouyahia

LES MAGASINS CHINOIS FOISONNENT A ALGER
Les clients "accros" aux articles du bout du monde
Ils se sont install�s dans nos rues et avenues sans faire de bruit. Du jour au lendemain, les Alg�rois se sont accoutum�s � eux et ont adopt� leurs articles qui sortent de l�ordinaire et sont propos�s � des prix imbattables. Ils s�agit des magasins chinois qui se multiplient dans diff�rents quartiers de la capitale.
Au tout d�but, ils ont attir� par l�originalit� de leurs produits. Par la suite, ils se sont assur� une client�le aussi nombreuse que vari�e repr�sentant plusieurs tranches de la soci�t�. Les Alg�rois se sont habitu�s � ces commer�ants d�un genre particulier qui se sont impos�s dans leur quotidien. A la rue Hassiba-Ben Bouali, une des art�res les plus fr�quent�es d�Alger, il n�y a pas moins de trois magasins chinois. A l�int�rieur des boutiques, plusieurs vendeurs accueillent les clients, parmi eux toujours des Asiatiques repr�sentant les �patrons�. Le point commun des vendeurs �trangers de ces commerces est qu�ils se sont m�me adapt�s au consommateur alg�rien allant m�me jusqu�� parler couramment l�arabe et discuter ainsi longuement avec leur client�le sur les produits propos�s. C�est d�ailleurs ce que confirment leurs vendeuses alg�riennes, notons aussi qu�il leur a �t� facile de se familiariser avec la client�le. Dans les magasins, plusieurs produits sont propos�s et sont pratiquement identiques dans tous les magasins chinois de la capitale. Il s�agit en premier lieu des v�tements comme les vestes faites pour �tre port�es en soir�e, les robes chinoises de diff�rentes couleurs, vives et rehauss�es de motifs dor�s ou argent�s, ainsi que les kimonos et de petits ensembles pour gar�ons. Cependant les articles qui attirent le plus sp�cialement les femmes, sont les nappes brod�es et autres coussins en lin. Rencontr�es dans une des boutiques chinoises, Lila et sa maman sont justement en train de passer en revue plusieurs de ces articles. Elles confient : nous venons souvent ici. La marchandise est � bon prix, surtout les mules et les petits hauts. Ils faut savoir que ces produits sont nouveaux pour nous, nous sommes donc devenues des habitu�es.� D�autres clients avouent que m�me s�ils ne peuvent s�emp�cher de visiter un magasin chinois sont tout de m�me sceptiques sur la qualit� de ces articles. C�est le cas de cette dame venue acqu�rir deux petites couvertures : �Regardez, dira-t-elle exhibant les produits en question, la mati�re ne para�t pas vraiment de tr�s bonne qualit� par rapport � ce qui est propos� ailleurs, mais quand m�me mes enfants ont utilis� ces couvertures l�ann�e pass�e et ils les ont appr�ci�es. Je reviens donc en prendre encore. Un monsieur dira pour sa part se lasser vite des produits chinois puisqu�ils sont pratiquement les m�mes partout. Il venait lui chercher un ensemble dit �bleu Shangha� qu�il n�a d�ailleurs pas trouv�. �La premi�re fois que j�ai visit� un magasin chinois j��tais impatiente, mais j�ai �t� vite d��ue. Je pensais plut�t trouver des choses originales, vraiment de l�artisanat chinois, mais apr�s avoir achet� une petite robe pour ma s�ur et une veste pour moi, je suis rest�e sur ma faim�, confie Mouna � la sortie d�un de ces magasins. Pour ce qui est des vendeurs eux-m�mes, prenant le soin de garder un sourire aimable mais l�air distant se refuseront � faire la moindre d�claration. Ils nous renverront vers leurs �patrons� qui toutefois, r�p�teront-ils de concert, �ne sont jamais l�. Les Chinois font ainsi d�sormais partie du quotidien des Alg�riens qui les ont vite adopt�s et inclus dans les adresses quasi incontournables pour leurs achats.
F. Zohra B.
SHAWARMA TURC ET PAIN ORIENTAL A L'ASSAUT DE VOS PALAIS
Les Alg�riens succombent aux nouvelles habitudes culinaires
Depuis quelques ann�es, de nouvelles habitudes culinaires ont fait leur apparition en Alg�rie. Shawarma, raghif (pain traditionnel �gyptien) et autres plats exotiques sont venus enrichir les menus de nos pizzerias, fast-foods et autres magasins de restauration rapide. Et en un temps record, ces sp�cialit�s gastronomiques ont r�ussi � s�duire le palais du consommateur alg�rien.
Devant cet engouement, nombreux sont les commer�ants � les proposer � leurs clients. Dans quasiment toutes les pizzerias et les fast-foods que compte la capitale, la r�tissoire servant � la pr�paration de shawarma est expos�e bien en �vidence � l�entr�e du magasin, voire carr�ment sur le trottoir. Des les premi�res heures de la journ�e, des morceaux de viande blanche (dinde ou poulet) y sont empil�s en pr�vision du rush de la mi-journ�e. Il faut dire que le prix de cet appareillage, entre 3 et 9 millions de centimes, selon qu�ils soit de fabrication locale ou �trang�re, est rentabilis� en seulement quelques mois d�activit�. Rien que sur la rue Hassiba-Ben-Bouali, nous avons d�nombr� pas moins de dix commerces proposant le shawarma. La canicule, la pollution et les risques d�intoxication que suppose cette �activit� de plein air� en cette p�riode de grandes chaleurs ne semble pas dissuader le consommateur. �M�me si notre activit� a diminu� cet �t�, nous avons une client�le d�habitu�s�, souligne un vendeur de shawarma sur la rue Hassiba-Ben- Bouali. �Chaque jour je vends en moyenne 15 � 20 kg de viande. En hiver, j�arrive � �couler jusqu�� 45 kg de viande�, poursuit ce vendeur qui dit avoir appris le m�tier en Syrie. C�est en effet une v�ritable relation de confiance qui s��tablit entre le consommateur et le vendeur. Chose que confirme, Mohamed, un inconditionnel du plat oriental. �Je vais souvent chez mon �shawarmiste � habituel, car je sais que les r�gles d�hygi�ne sont respect�es et depuis le temps que je mange chez lui je n�ai jamais eu un quelconque souci�, nous assure-t-il. Mais comment �shawarma� est-elle arriv�e en Alg�rie. On croit savoir que le m�rite revient aux trabendistes. Ces derniers qui s�approvisionnaient depuis la Turquie et la Syrie avaient ramen� dans leur bagage ce plat largement pris� au Moyen-Orient, particuli�rement dans ces deux pays. Une hypoth�se du reste plausible. Toutefois, les avis sur la v�ritable origine du plat restent divergents. Le mot kabab, serait d�origine turque (Kkebap) ou persane qui signifierait grillade. Certains affirment que c�est une sp�cialit� turque, alors que d�autres lui attribuent une origine syrienne ou grecque. Dans le monde, le m�me plat adopte diff�rentes formes, appellations et orthographes. Allant de shawarma ou chawarma dans les pays arabes, � shish kebab aux Etats- Unis, en passant par doner kabap en Europe. Outre ces plats � base de viande, l�on constate �galement l�apparition dans les quartiers de la capitale de nouvelles boulangeries traditionnelles desquelles sortent diff�rentes formes de pain. Celles-ci sont tenues g�n�ralement par des hommes. Le client y est servi sur place. Il faut dire, le pain est vite pr�par� et le client servi en un laps de temps tr�s court. D�origine moyen-orientale, ce pain l�ger ne contenant pas de mie a �t� introduit il y a seulement deux ann�es et a pu trouver parmi les Alg�riens une client�le potentielle.


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