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Le CNT libyen risque l'éclatement et la division
Le chef d'état-major des «rebelles» et des colonels tués
Publié dans Le Temps d'Algérie le 29 - 07 - 2011

Le chef d'état-major des «forces rebelles», Abdel Fattah Younès, ancien ministre libyen, a été tué à Benghazi, a annoncé jeudi le chef de «rebelles» libyens Moustafa Abdeljalil, cité par des agences de presse.
Le président du Conseil national de transition a affirmé lors d'une conférence de presse que le général Abdel Fattah Younès est mort, sans préciser dans quelles circonstances. Abdel Fattah Younès, ancien ministre de l'intérieur du gouvernement libyen, s'est rallié aux rebelles en février. Il a été assassiné avec deux colonels, également ralliés à la «rébellion».
Le général Younès, ex-ministre de l'Intérieur et vieux compagnon de Mouammar Kadhafi, partie prenante du coup d'Etat de 1969, était membre de la tribu des Obeidi, l'une des plus puissantes du pays. Dès l'annonce de sa mort, des membres armés de cette tribu se sont livrés dans Benghazi à une démonstration de force et d'intimidation à l'encontre d'autres éléments du CNT. Le CNT s'est considérablement affaibli de cette affaire.
Selon la presse française, le CNT est un «mouvement désorganisé, avec une absence de direction politique ferme et des capacités militaires limitées, en dépit du soutien de l'OTAN». Abdel Fattah Younès, qui est considéré comme le «pilier de la rébellion», est tué par des hommes armés dans des circonstances obscures qui pourraient masquer de profondes divisions au sein du CNT, observent les spécialistes européens.
Ancien ministre libyen de l'Intérieur, Abdel Younès a rejoint la rébellion en février dernier, devenant le chef des opérations militaires du CNT.
Selon une source rebelle, Abdel Younès avait été rappelé jeudi matin de la ligne de front de Brega, à l'ouest de Benghazi, mais sans pouvoir en indiquer la raison. Il a été soupçonné d'avoir mené des discussions secrètes avec le gouvernement libyen.
Le président du CNT avait précisé que les corps des chefs militaires tués n'avaient pas été encore retrouvés. Peu après l'annonce de sa mort, plusieurs hommes armés sont entrés dans l'hôtel où s'exprimait Moustafa Abdeldjeïl. Ils ont tiré en l'air sans faire de victimes, selon un correspondant de Reuters sur place. L'entrée de ces rebelles est considérée comme une provocation et une menace à l'encontre des membres du CNT, ont ajouté les mêmes sources.
Le corps d'Abdel Fattah Younès découvert à El-Qattara
Le corps sans vie du chef d'état-major des forces rebelles en Libye, Abdel Fattah Younès, a été découvert hier à El-Qattara, à quelque 40 kilomètres de Benghazi, fief de la rébellion, ont rapporté les médias.
Les dépouilles de ce responsable ainsi que celles de deux de ses compagnons ont été découvertes quelques heures seulement après leur «mort suspecte.» La mort d'Abdel Younès risque de porter un coup dur à ce mouvement dit de rébellion et provoquera une division interne entre les différentes tribus.


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