C´est une première dans le monde du cheval en Algérie que l´avènement de la pose de la puce électronique. minuscule puce compte, en fait, toutes les données propres à son porteur, constituant sa pièce d´identité. L´ensemble des coursiers arabes a été traité par les techniciens de la Schpm au niveau des hippodromes. Il reste quelques sujets à Oran et à Djelfa. Une seconde étape a touché les sujets arabes-barbe et enfin les chevaux anglais. Il faut savoir que la puce, conçue de façon à ce qu´elle ne bouge pas dans le corps du cheval, le suivra jusqu´à sa mort. Elle ne peut être extraite que par une intervention chirurgicale qui laissera obligatoirement sa trace. Le cheval, une fois «pucé», peut être suivi et identifié partout où il sera et à n´importe quel moment. Avec ce procédé, nous pouvons savoir «qui est pour qui» ce qui est des chevaux et où ils sont. La sauvegarde de l´écurie passe par cette méthode qui est d´ailleurs adoptée par l´ensemble des pays de la planète. Il faut rendre hommage, au passage, à l´équipe de la société des courses hippiques et du Pari mutuel qui a pris sur elle de faire ce travail assez difficile, puisqu´il faut reprendre les identifications déjà établies et les confirmer avec le logiciel qui accompagne cette opération. L´année 2005 est forcément l´année de la mise à niveau du monde équin et camelin, l´informatisation du PMU est à inscrire aussi dans ce cadre.