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Les compositions de l'année peuvent-elles le remplacer?
LE BACCALAUREAT EST UN EXAMEN
Publié dans L'Expression le 05 - 06 - 2016

Le bac, c'est une machine avec 170.000 surveillants, autant de correcteurs et un budget de plusieurs centaines de milliards!
«Qu'est-ce qu'un livre? Une suite de petits signes. Rien de plus. C'est au lecteur à tirer lui-même les formes, les couleurs et les sentiments auxquels ces signes correspondent.» Citation d'Anatole France
Des informations faisant état de fuites de certains sujets du baccalauréat-2016 sur les réseaux sociaux ont suscité colère et indignation parmi les élèves et parents d'élèves et créé un climat déstabilisant pour les candidats. Lors d'une tournée de l'APS au 4ème jour des épreuves à travers nombre de centres d'examen d'Alger, les candidats se sont dit en colère et indignés face à la circulation des sujets du baccalauréat, notamment des filières Sciences expérimentales et Lettres ainsi que les langues sur les réseaux sociaux depuis le 2ème jour des épreuves.
La fuite des sujets porte non seulement atteinte à la crédibilité de cet examen décisif, mais déstabilise fortement les candidats qui continuent à réviser dans le stress et la peur jusqu'à la veille au lieu de rester à l'affût sur les réseaux sociaux. Les élèves n'acceptent pas l'idée qu'un élève qui n'a pas fourni d'efforts pendant l'année prenne une place à l'université et dans les meilleures spécialités comme la médecine alors que ceux qui se sont tués au travail ne sont pas orientés selon leurs voeux. Cette histoire de fuites de sujets a semé le désarroi parmi les candidats... Ils ont estimé que les fuites de sujets compromettaient le principe d'égalité des chances. Pour les candidats rencontrés les responsables du secteur assument une responsabilité dans la fuite des sujets d'examen. Il est inconcevable que des sujets fuitent sans que le ministère ne recoure pas aux sujets de réserve.
Souvenons-nous que l'année scolaire 2015 n'a pas été de tout repos. Malgré les perturbations du Cnapest, notamment les grèves, la tutelle a tenté de parer au plus pressé par des cours de rattrapage, la distribution des CD, des cours illustrés, des exercices corrigés et des sujets d'examen et la diffusion des cours de soutien à la Télévision nationale.
Lors de la session 2015 il a été annoncé que de lourdes sanctions sont prévues contre les fraudeurs (de 3 à 10 ans de suspension). Apparemment, les fraudeurs et leurs donneurs d'ordres passent outre. Qui est coupable? Il ne faut pas incriminer les élèves qui, sur les réseaux «se sont servis». Par manque de maturité encore une défaillance de notre éducation qui fait que l'élève en s'appropriant un sujet et sa correction s'approprie la place de quelqu'un qui n'a pas triché soit par principe soit parce qu'il n'a pas eu accès. Cependant, le mal est plus profond car c'est à la source qu'il faut chercher: comment après la confection du sujet, pendant le choix, pendant le tirage, pendant le transport, pendant le stockage des sujets c'est autant de maillons faibles qui peuvent être des tentations pour ceux qui veulent d'une façon délibérée déstabiliser le baccalauréat. Nous devons être solidaires du système éducatif dans son ensemble et les deux autres sous-systèmes devraient participer chacun à son niveau à sauver l'entrée à l'université et à offrir aux autres une possibilité de s'épanouir.
Le problème de fond de l'école
Je ne suis pas de ceux qui disent que l'école est sinistrée sans connaître les affres de ces 700.000 enseignants qui font du mieux qu'ils peuvent et qu'il serait injuste de les classer tous dans la catégorie des incapables, incompétents. Mesurons honnêtement le chemin parcouru du point de vue quantitatif. 1962: 600.000 élèves, une centaine d'établissements scolaires dont six lycées, 500 étudiants. Moins d'un millier de diplômés en 132 ans d'oeuvre positive. Ce chiffre est à comparer, au nombre de diplômé(e)s formés par l'Université algérienne malgré ses insuffisances qualitatives, plus de 4 millions. En 1962, la situation était exceptionnelle; il n'y avait pas d'enseignants et la massification a permis à 26 nations de contribuer à formater l'imaginaire des enfants. C'est un fait, tous les gouvernements qui se sont succédé ont mis à disposition des moyens. L'éducation absorbe près de 20% du budget. Sur ce budget, 90% représentent la masse salariale, ce qui ne laisse pas grand-chose aux équipements pédagogiques.
S'il est admis que le niveau des mathématiques a beaucoup baissé il est utile de savoir que c'est une nation dont l'avenir est compromis. Cependant, l'amour de ce pays nous commande de dire ce que nous pensons être bon pour le pays tout en nous excusant par avance si certaines appréciations pourraient être inexactes, voire injustes et qui porteraient atteinte à la famille éducative forte de 700.000 enseignants besogneux qui ont su garder le système debout au plus fort de la décennie noire au prix d'un sacrifice à qui nous n'avons pas assez rendu hommage. De plus, du fait d'un manque de sanctions dissuasives, le plagiat fait des ravages. On peut y ajouter le scandale des enseignants chasseurs d'heures supplémentaires. Ceci décrédibilise l'éducation et le système éducatif dans son ensemble. Enfin, l'Administration des établissements est partie prenante des décisions pédagogiques. La charte de l'éthique rédigée par un Conseil national de l'éthique n'a jamais été appliquée par les établissements.
Au vu de ces constats qui ne sont pas là pour incriminer et qui doivent nous permettre d'améliorer le système éducatif, il est important de s'inscrire dans le mouvement universel de l'économie de la connaissance. Former des créateurs de richesse, voilà la véritable vocation de l'université! Depuis, on a mal compris la mondialisation, et on s'est livré pieds et poings liés au «marché». Le pays donne l'impression d'avancer sans son école et sans son université.
Appel au vivre ensemble
Nous devons faire preuve d'humilité car nous n'avons pas de référents absolus; il
y a bien longtemps que nous ne répondons plus aux critères du bac Unesco. La réforme voulue par le président en 1999-2000, n'a jamais réellement été mise en oeuvre. Elle prônait l'émergence d'une école ouverte, tournée vers l'avenir. Une école ascenseur social qui ne laisse pas des jeunes sur le bord de la route. Il est vrai que l'Algérie n'a pas encore divorcé d'avec ses démons on parle d'un courant conservateur hostile aux réformes visant la modernisation du système éducatif. En sabotant le baccalauréat et le principe de l'égalité des chances en montant en épingle et en amplifiant la fuite au bac c'est en fait un enterrement de première classe de l'avenir de l'Algérie. Il est vrai qu'il faille pour le bien de l'éducation séparer le bon grain de l'ivraie, les mercenaires des heures supplémentaires, ceux coupables de ces fuites qui affaiblissent l'image du pays et ceux aussi qui font de l'école une caisse de résonance des conflits de la société. Il est scandaleux que ces conflits ont pour finalité en définitive de problématiser l'avenir des jeunes et en faire des zombies dont la conscience est ouverte à tous les vents mauvais de la destruction de l'Algérie.
Nous devons nous interroger sur le modèle d'école à mettre en oeuvre. C'est, justement ce déficit dans le vivre ensemble qui fait que le système éducatif paie la note quant aux luttes pour l'instauration de projets de sociétés différents. Quel projet de société voulons-nous? Dans le système éducatif, le développement des lycées et des universités ne s'est pas conçu comme une instance à la fois de savoir et de brassage. En dépit du bon sens et contre toute logique et pédagogie, on implante un lycée ou un centre universitaire pratiquement par wilaya. Ceci est un non-sens pour le vivre ensemble, on condamne le jeune à naître, à faire sa scolarité, son lycée et ses études ́ ́universitaires ́ ́ ou réputées telles dans la même ville ne connaissant rien de l'autre.
Enfin, il est vrai aussi qu'on ne peut pas nier le sort funeste fait aux enseignants dans la hiérarchie sociale et que «tout le monde est logé à la même enseigne». Aucune stimulation des meilleurs. De plus, quand un footballeur gagne en un an ce que gagne un enseignant en une carrière, il y a quelque chose de détraqué dans l'échelle des valeurs. L'école ne fait plus rêver et certains parents cherchent des stratégies pour assurer le futur de leurs enfants en cherchant la meilleure école de foot... Au vu des problèmes socioprofessionnels l'acte pédagogique passe au second plan.
Une école ouverte
Nous devons penser à spécialiser des lycées à recrutement national (c'est le cas des lycées d'élite) à même de spécialiser les universités par grandes disciplines. Dans tous les cas, nous avons le devoir de stimuler le savoir en organisant continuellement des compétitions scientifiques, culturelles, sportives en réhabilitant le sport qui est un puissant facteur de cohésion. Dans tous les cas il est important de mettre en oeuvre la compétition pour repérer les meilleurs à qui l'Etat doit garantir des conditions de travail adéquates. Nous devons commencer dès l'Ecole, au CEM, au lycée et à l'université.
Comment récompenser le mérite? Dans tous les pays du monde on récompense les plus brillants les plus productifs? Ceux qui produisent scientifiquement des ouvrages des publications. Le moment est venu de fixer des objectifs à atteindre. Dans le système éducatif le passage d'un palier à un autre n'a pas de sens car c'est une performance endogène. Il faut aller vers une performance exogène d'abord inter-écoles, inter-lycées, inter-universités et plus généralement inter-discipline. L'enseignant a autant besoin de reconnaissance sociale que de reconnaissance matérielle. L'Algérie est l'un des rares pays où on ne récompense pas l'effort, que l'on soit compétitif ou non que l'on publie ou non à l'extérieur - seule référence pouvant donner le rang exact ou dans une feuille de chou nationale, c'est la même chose!
Il me semble que tout le système éducatif manque de visibilité en termes de métiers. Il est vrai que pendant longtemps l'université a été tenue soigneusement à l'écart. Rien ne peut se faire sans les gardiens du temple que sont les enseignants. De ce fait, il est incompréhensible que la charte de l'éthique comme celle de l'enseignement supérieur soit mal perçue par les syndicats. Peut-être qu'il serait nécessaire de la présenter aux enseignants eux-mêmes pour recueillir leur avis. La charte de l'éthique c'est la consécration du vivre ensemble qui donnerait une cohérence à tout le système éducatif.
Comment consacrer la quête de la connaissance? On sait que si les matières premières sont finies, la connaissance est infinie. Notre croissance est basée sur les matières premières, elle ne peut pas être infinie. Si elle est basée sur la connaissance, une croissance infinie est très facile à atteindre. En 1984, Steve Jobs rencontre François Mitterrand et affirme ́ ́le logiciel, c'est le nouveau baril de pétrole ́ ́. Trente ans plus tard, Apple possède une trésorerie de la taille du PIB du Vietnam ou plus de deux fois et demie la totalité du fonds souverain algérien - basé lui sur les ressources pétrolières. La connaissance mondiale double environ tous les 9 ans, un chiffre hallucinant qui signifie qu'en moins d'une décennie, l'humanité produit plus de connaissances nouvelles que dans les sept mille dernières années de son existence.
La nécessaire symbiose entre les trois sous-systèmes éducatifs
L'Ecole algérienne est à une croisée de chemins. Toutes les thérapies utilisées se sont avérées inopérantes au vu désastreux des niveaux des étudiants à l'entrée à l'université, mais plus grave encore leur imaginaire est livré à tous les vents mauvais, notamment celui de l'utilisation débridée de l'Internet. Il nous faut un cap et une vision du futur. Le triptyque lire, écrire, compter devrait être la superstructure de l'éducation. La symbiose entre les trois sous-secteurs est indispensable, l'existence de moyens pédagogiques similaires des équipements pédagogiques du même type et au-dessus de tout l'unicité de la formation qui va de l'école au lycée, à l'université en passant par la formation professionnelle. Il est fondamental de ne pas se tromper, de ce fait la collaboration totale des professeurs du supérieur de ces disciplines avec ceux du secondaire dans le cadre de comités pédagogiques doit être constante. Aucun pays au monde ne peut avancer technologiquement s'il ne forme pas d'ingénieurs et de techniciens. Il est hautement souhaitable de réhabiliter aussi et sans délai les bacs maths et techniques mathématiques. L'agrégation est le chantier majeur qui permettra par une collaboration (enseignement supérieur, Education nationale) de former les enseignants dont le pays a besoin. C'est peut-être le chantier pour lequel nous serons reconnaissants à madame la ministre de le lancer. Ce sera réellement un saut qualitatif.
Partout dans le monde, l'université traditionnelle «L'université de papa» est morte. L'université du nouveau siècle est une entreprise du savoir où seuls les plus compétents, quelles que soient leurs origines réussiront et seront rétribués à la juste mesure de leurs efforts. Un Etat stratège doit donner sa chance à toutes et à tous, mais il est évident que chacun s'arrêtera là où ses capacités peuvent le faire aboutir. Par principe, l'université devrait permettre à chaque étudiant de progresser avec toutes ses chances, de trouver aussi la spécialité où il a le plus d'aptitudes. L'Algérie a autant besoin d'ouvriers, de techniciens, de maçons, de plombiers que d'ingénieurs ou de médecins. Cependant, chacun devra pouvoir revenir vers l'université tout au long de sa carrière, après un premier diplôme, d'une part, pour valoriser en permanence ses «acquis», à son rythme. Des passerelles rigoureuses doivent être mises en place pour évoluer; un technicien peut devenir ingénieur s'il en a les aptitudes.
La formation d'enseignants devrait être un continuum entre celle de l'instituteur et celle du professeur d'université. Pour y arriver, il peut s'avérer nécessaire de créer dans l'immédiat un Conseil scientifique du système éducatif (Csse) qui aura à optimiser les savoirs, les compétences et les moyens. Il s'agit aussi de mettre en place sans délai un plan informatique endogène lap top. Il y a nécessité de penser à un plan Marshall avec l'aide de l'Unesco. En partenariat avec les pays qui ont démarré dans ce domaine et avec l'Unesco, le Pnud. Ces lap top que l'on pourrait concevoir en Algérie en créant des start-up d'universitaires ou avec la formation professionnelle peuvent être aidés à l'extérieur par notre diaspora.
Comment faire pour sauver l'année scolaire?
Il sera très difficile de faire accepter aux élèves des résultats du bac lestés par ces fraudes. Ne peut-on pas penser à valider les résultats de l'année scolaire de la terminale qui permettraient à l'élève s'il a eu la moyenne de pouvoir prétendre s'inscrire à l'université en fonction d'un classement? Le mérite serait que le baccalauréat entaché ne serait pas pris en compte exceptionnellement car il est très difficile de réorganiser le bac. C'est une machine avec 170.000 surveillants autant de correcteurs et un budget de plusieurs centaines de milliards! Reste le cas des candidats libres, ce sera leur dernier bulletin de scolarité qui sera examiné. Je ne vois pas d'autres solutions. Il est important de mon point de vue que le ministère de la Formation professionnelle et celui de l'Enseignement supérieur soient partie prenante de la mise en oeuvre.


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