Encore un changement dans la programmation de l'Equipe nationale de football. En effet, le match de la 4e journée des Eliminatoires du Mondial-2022 du Qatar entre le Niger et l'Algérie, initialement prévu le 11 octobre à Niamey, a été décalé de 24 heures. Il aura finalement lieu, mardi 12 octobre 2021, à 14h au stade Général Seyni-Kountché de Niamey, a indiqué la Fédération algérienne de football, hier, sur son site officiel. L'instance fédérale a informé qu'elle a demandé, dans le même sillage, de décaler l'horaire du match de la 3e journée, Algérie - Niger, prévu le vendredi 8 octobre au stade Mustapha-Tchaker de Blida pour 20h au lieu de 17h00, comme fixé au préalable. Il faut noter dans ce sillage, que 3 plages horaires sont retenues par la FIFA, pour la diffusion des rencontres de ces éliminatoires à savoir: 13h GMT, 16h GMT et 19h GMT, et où chaque Fédération a la latitude de choisir l'horaire qui lui convient. Selon des sources, les Nigériens ont demandé à ce que le match retour se joue en diurne en raison des problèmes d'éclairage que connaît le stade Seyni-Kountché. Mais ce motif ne semble pas pour autant convaincre les responsables de la FAF. Ces derniers se disent, selon des sources, convaincus qu'il s'agit d'un «coup monté» contre la sélection nationale. Par qui? On affirme que «d'anciens dirigeants de la FAF», sont suspectés d'être derrière tout cela. Mais que cela soit vrai ou pas, la concentration des joueurs doit rester sur le rectangle vert. Ceci, étant donné que la mission de se qualifier pour le match barrage n'est pas aisée. Les Verts partagent la 1ère place du groupe avec le Burkina Faso (4 points), sachant qu'une seule équipe se qualifiera. Le manager de l'Equipe nationale, Amine Labdi, est à Niamey pour préparer le séjour des Verts et ne va rien laisser au hasard, afin que tout se passe de la meilleure des manières. Il faut rappeler qu'il s'agit de la seconde fois, en l'espace d'un temps court, que l'on parle de «sabotage» contre l'EN. En effet, avant la réception de Djibouti, lors de la journée inaugurale, le coach national, Djamel Belmadi, avait poussé un grand coup de gueule en dénonçant un «sabotage».
