Les ouailles et les sous-fifres de l'anthropologie coloniale française et ses succédanés n'arrivent pas à digérer la réaction des autorités algériennes. Une réaction que tout le monde n'attendait pas qu'elle soit ferme et sans ambages suite à la déclaration du président français, Emmanuel Macron. Le rappel de l'ambassadeur de l'Algérie en France et la fermeture de l'espace aérien algérien aux avions militaires français, a provoqué une attitude d'humiliation et de discrédit pour ceux qui considéraient cette entité aux visées néocolonialistes comme référence et leur protectrice. Les autoproclamés représentants de la diaspora qui se prenaient pour les porte-voix de l'Algérie entière au nom du Hirak 2, une nébuleuse à la solde des officines étrangères, ne cessent de répéter que l'Algérie « n'a pas le courage de dire non à n'importe quelle décision ou attitude française visant la souveraineté du pays», (sic). Les thuriféraires et les néoharkis qui se dissimulaient derrière le Mouvement populaire du 22 février 2019, se sont avèrés une véritable cinquième colonne de l'ancienne puissance coloniale en mal de repositionnement et reconfiguration sur l'échiquier africain. Depuis que l'Algérie a annoncé ses mesures souveraines à l'égard de la France après les déclarations gravissimes du président français, Emmanuel Macron, les semblants «Ahrars» ont consacré leurs «lives» de pacotille pour l'Algérie en la présentant comme «ennemi» de tout changement et d'ouverture sur le monde. Cette frénésie morbide renseigne sur la haine et l'animosité que développe cette kyrielle de mercenaires à l'égard de la patrie. Ils ne savent plus où donner de la tête, Ils ne peuvent plus mobiliser ni manipuler les crédules. Les dernières décisions souverainistes de l'Algérie les ont réduits à une loque sur la Toile et les réseaux sociaux. En pleine crise diplomatique, ces «guimauves» au service de l'agenda interventionniste des puissances étrangères et leurs visées impérialistes et expansionnistes, montrent leur maladie infantile à l'égard de l'Algérie, en essayant lamentablement de replacer les événements et les développements politiques et diplomatiques entre l'Algérie et la France d'une manière pernicieuse et perfide. L'imposture et la falsification de la réalité sont devenues monnaie courante pour les rachado-makistes et d'autres sbires à la solde de la pensée néocoloniale et au service des plans visant la dislocation des Etats-nationaux et les souverainetés des pays indépendants. Ces nébuleuses sont en train de perdre de plus en plus de terrain sur les réseaux sociaux, c'est l'effet boomerang qui se confirme chaque jour et en fonction de l'évolution de la situation politique dans le pays. Leur vassalité au Makhzen et aux officines étrangères les a dénudés d'une manière manifeste. Verser dans le larbinisme à l'égard du Makhzen et la France d'une manière directe toute honte bue en s'attaquant vertement au pays, cela ne peut se faire que dans des guerres où les mercenaires sont impliqués pour la circonstance sans en avoir ni l'âme et ni l'appartenance quelconque si ce n'est devenir un criminel professionnel et un «seigneur» de la guerre. Triste est la situation qui caractérise les vendus «algériens» d'outre-mer qui affichent avec «ostentation» leur traîtrise et leur lâcheté sans rougir ni d'avoir honte. Ces larbins et mercenaires des puissances étrangères et les vassaux du Makhzen marocain sont voués aux gémonies, ils sont pestiférés par la majorité des Algériens et des Algériennes en allant jusqu'à les traiter de tous les noms d'oiseaux. Les derniers développements diplomatiques et politiques entre l'Algérie et le Makhzen marocain et la France, ont pris au dépourvu les missionnés au service de l'agenda de la déstabilisation des pays indépendants et souverains au non d'une chimère sordide et mortelle du «printemps arabe». Ces nébuleuses ont été démasquées, et leur objectif dénudé, c'est leur dernier quart d'heure qui s'achève dans l'amertume et la déception. Elles qui pensaient que l'Algérie allait connaître le même sort que les pays qui ont subi le plan ourdi du «printemps arabe» comme en Libye, le Yémen et la Syrie. Leur rêve s'est évaporé dans l'air, mais leur honte et leur traîtrise sont inscrites d'une manière indélébile dans la mémoire des Algériens.
