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Les redresseurs ne perdent pas espoir
APRÈS LA DECISION DU CONSEIL D'ETAT SUR L'AFFAIRE D'EL-ISLAH
Publié dans L'Expression le 05 - 10 - 2006

La chambre administrative a confirmé le manque de transparence dans la gestion des fonds du parti.
Le feuilleton de l'affaire du Mouvement El- Islah est loin d'être achevé. La décision, prononcée par la Conseil d'Etat, donnant gain de cause au président du parti Abdallah Djaballah, n'est pas définitive. C'est ce qu'a tenu à préciser le mouvement de redressement du parti El- Islah. Lors d'une conférence de presse, tenue hier au siège, les redresseurs se sont montrés plutôt sereins et plus solidaires. «C'est une simple décision. Le Conseil d'Etat n'a pas encore tranché définitivement dans cette affaire», a déclaré Djamel Souilah, chargé de l'organique du mouvement de redressement. Il y a deux jours, la cinquième chambre du Conseil d'Etat a ordonné l'arrêt d'exécution du verdict prononcé le 12 juin dernier contre M.Abdallah Djaballah, lui interdisant de s'exprimer au nom du président du Mouvement El Islah. Cette décision a remis en cause le verdict prononcé par la cour d'Alger, lequel a approuvé, rappelons-le, la requête déposée par le Mouvement de redressement d'El Islah, qui prévoyait notamment, le gel des avoirs du parti au niveau des banques. Malgré cela, les redresseurs gardent un grand espoir en la décision du Conseil d'Etat qui tranchera sur le deuxième recours déposé par Djaballah, demandant l'annulation de la décision du tribunal administratif. Pour eux, la partie n'est pas encore finie puisque la chambre administrative a confirmé qu'il y a un manque de transparence dans la gestion des fonds du parti. Surpris par cette nouvelle, ils préfèrent observer le silence en attendant le verdict qui sera connu dans un mois, au plus tard deux mois. Le Mouvement de redressement ne compte pas baisser les bras et continue de plaider pour sa cause. Tout en faisant allusion au président du parti, le responsable de l'organique dira: «Nous respectons la justice quelle que soit sa décision». S'attaquant toujours à lui, ce dernier a fini par cracher le mot en affirmant que Djaballah n'a pas respecté la décision de la chambre administrative et a continué à travailler au nom du président du parti. Irritée par ce comportement et confortée par la décision de la cour d'Alger, la dissidence avait même menacé d'en saisir la justice pour interdire à Djaballah de s'exprimer au nom du parti. Interrogé sur le sort du Mouvement au cas où le Conseil d'Etat tranchera définitivement au profit du président du parti, le président du groupe parlementaire, Miloud Kadri n'a pas voulu précipiter les choses. «Nous allons continuer à revendiquer nos doléances d'une manière pacifique», répondra-t-il. Les redresseurs ont refusé de faire une lecture politique de la décision du Conseil d'Etat. Sur le terrain, la décision prononcée par la justice, renvoie la crise au sein de ce parti islamiste à la case départ, à savoir la situation qui prévalait avant le 12 juin. Après trois mois, Djaballah reprend légitimement son poste de président du parti, avec toutes les prérogatives qui lui sont octroyées par le règlement intérieur.

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