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La justice accuse Benkaïdali de faux et usage de faux
COUP DE THEÂTRE DANS L´AFFAIRE OULD EL HOCINE
Publié dans L'Expression le 28 - 10 - 2006

L'entreprise privée Sarl EPSR ne peut qu'être légale car les Ets Von Rossem n'ont jamais été nationalisés au profit de la Gendarmerie nationale.
L'exécution d'un mandat judiciaire par la brigade chargée des recherches d'Alger s'est acharnée par la présentation et l'inculpation de Abdelhamid Benkaïdali, l'ex-directeur général de l'ENPS qui a vu le juge d´nstruction de la 3e chambre près le tribunal de Chéraga ordonner la traduction de l'inculpé devant la correctionnelle pour faux et usage de faux, fait prévu et puni par l'article 222 du code pénal. La machine est en marche. L'audience avait été fixée pour mercredi dernier, mais c'était le second jour de l'Aïd El Fitr. Donc, le report était inévitable. La date de la prochaine audience n'a pas encore été fixée par la présidente de l'audience du pénal. Attendons-nous à des débats serrés. En attendant, Ould El Hocine est heureux d'avoir fait confiance à la justice.
Depuis le temps que cet espace de ce canard qui monte, qui monte, laisse entendre que l'action du président de la République, en direction de ce joyau «gâté et carié» qu'est la justice, est une oeuvre grandiose qui ne peut que réussir, le moment est venu de jeter un pavé dans le carré des pessimistes, car paradoxalement, devant une minorité agissante souvent au grand jour, de manipulateurs des magistrats, rares sont les Algériens qui font confiance à notre belle (eh, oui!) justice. A longueur d'année, nous soutenons fermement et avec une crédibilité qui agace les mafieux, l'action de Tayeb Belaïz, le ministre de la Justice et garde des Sceaux, lequel est en train de réussir le défi de redresser l'appareil judiciaire, un des plus grands enjeux du programme du président de la République qui avait trouvé, jusqu'à il y a quarante-cinq jours que l'appareil judiciaire restait encore médiocre tant les mélodies autour de la mentalité demeuraient archaïques et inertes.
Et tous les jours qu'Allah fait, de petits aménagements en mouvement, la grande lessive se fait doucement mais sûrement.
Pour revenir au pavé, l'affaire EPSR-ENPS vient de connaître un sérieux rebondissement. Et qui dit EPSR, dit son gérant Ould El Hocine lequel, après avoir vaillamment participé à la Révolution armée du 1er Novembre 1954, avait connu tout ce qu'un ennemi ne souhaite pour un autre: nous nommons Ould El Hocine. Interpellations, arrestations, auditions, juges et parquetiers s'agrippant sur du «vent» aux basques pour éliminer ce gêneur de tourner en rond. Cette affirmation est avancée car si Mohamed Chérif Ould El Hocine est un «antirégime-antipouvoir», pourquoi alors chercher à faire payer toute la Sarl EPSR dont Ould El Hocine détient le cinquième des parts sociales.
«Eliminons d'abord le gérant au passé glorieux et emparons-nous de cette vache à traire qu'est l'EPSR», ont dû convenir les usurpateurs en 1980, alors qu'Ould El Hocine croupissait dans la prison militaire de Blida scrutant les monts de Chréa d'où il participait en maquisard à la lutte armée contre le colonialisme. Mais comment s'y prendre? Via le faux, le faux et le faux, la machine à détourner le fleuve EPSR se mit inexorablement en marche. Et comme l'a toujours soutenu Ould El Hocine, la justice qui se prononce dans la sérénité ne pouvait qu'être louée.
Pas éternelle, l'impunité
«Je peux, désormais, dormir tranquille. L'arroseur est arrosé. Celui qui nous a longtemps méprisés, salis, traînés dans la boue, vient d'être mis en examen. Il est inculpé. Après, nous verrons la suite ou les suites à donner», a sifflé Mohamed Chérif Ould El Hocine qui n'a jamais voulu baisser les bras, fort surtout d'un mental à toute épreuve, un mental forgé au maquis aux côtés d'hommes tombés au champ d'honneur qu'il affirme ne jamais oublier.
En attendant le procès de novembre 2006 (tiens, novembre encore et toujours), nous vous tiendrons informés sur tout ce qui bouge de ce côté de la justice, cette justice que nous ne cesserons jamais de louer en n'ayant d'yeux que pour les vrais magistrats: les compétents, engagés, courageux, jamais les véreux, ripoux et peureux.
Les faits allèrent très vite. Depuis l'installation du commissaire du gouvernement pour gérer l'EPSR en l'absence de «l'accusé Ould El Hocine» jusqu'à la spoliation de l'entreprise via la tenue d'un conseil interministériel qui décidera de verser l'EPSR -sans aucune précaution de mesure de nationalisation ni confiscation, ni de s'emparer- au profit du secteur public -de l'EPSR dont le patrimoine sera versé d'abord à la SNTP qui le versera à la nouvelle entreprise ENPS. L'EPSR. Ah! cette ENPS née sur les fonds propres de l'EPSR. Jusque-là, le lit de l'oued suit son cours inexorablement vers l'oubli. Mais s'il y a bien un ancien maquisard qui garde enfoui le devoir de mémoire, c'est bien Ould El Hocine qui n'aura de cesse de lutter jusqu'à ce que justice lui soit rendue. Au milieu des tempêtes, des bourrasques, des grands vents, des souffles d'Eole, Ould El Hocine tape à toutes les portes de la justice: de celles du tribunal de Chéraga au Conseil d'Etat.
Le Conseil d'Etat. Ah! Il faut bien y revenir, car son ancien patron qui s'était rendu coupable de faux, usage de faux et de parti pris, s'est vu retirer le portefeuille, le passeport et accusé, car il faut dire que toutes les juridictions ont bossé autour du faux mis en branle par Abdelhamid Benkaïdali, l'inamovible directeur de l'ENPS de 1987 à 2004.
Et le faux a été si grotesque qu'il n'y a eu que la police judiciaire et la Gendarmerie nationale, le procureur de la République de Chéraga et le juge d´instruction qui ont bougé sur une plainte de Ould El Hocine. Le faux porte sur quatre mots: «Entreprise Von Rossem G.N» une en-tête qui a remplacé «Entreprise EPSR».
Et ce faux a été remis aux enquêteurs par le ministère des Travaux publics qui n'avait pas mesuré l'étendue des dégâts de son geste, l'inculpation de Benkaïdali, l'ex-directeur général de l'ENPS, lequel avait désiré être entendu comme témoin. Mais la lucidité du juge d´instruction et du procureur de la République en titre de Chéraga vont remettre le train EPSR sur les rails et redonner des couleurs à la crédibilité de la justice qui est aussi victime tout comme la Sarl EPSR. D'ailleurs, les enquêteurs et le magistrat instructeur ne pouvaient aller à l'encontre des documents officiels dûment étoffés en 1975 et ce, jusqu'en 1980 lorsque Ould El Hocine avait été «bâillonné» au nom d'une campagne d'assainissement de la Révolution qui disait son nom mais aussi ses cibles: d'abord, les hommes de confiance de feu Houari Boumediène à commencer par les membre du Conseil de la révolution. C'était l'époque de la chasse aux hommes qui ont façonné l'Algérie moderne qui revenait de loin et renaissait de ses cendres. Et les responsables de l'ENPS que Benkaïdali menait avec cette certitude mainte fois démentie par l'Histoire: «On a longtemps cru à l'éternelle impunité et sus sur le faux!» Devant la police judiciaire d'abord, et les magistrats ensuite, Benkaïdali a d'abord nié avoir mis en branle le faux en évoquant Von Rossem dont le siège et le territoire se trouvaient face à la gare routière de Chéraga, «l'actuelle gare bien entendu». Alors que le siège de l'EPSR se trouve, lui, de l'autre côté tout près de l'actuel siège de la G.A.M. et du marché - 16, rue Ouled Fayet. Le plus grotesque de ce faux, c'est ce fameux document: une convention nationale pour la fourniture de panneaux de signalisation sur l'original: un cachet rectangulaire en haut à droite du lecteur, cachet dûment établi en lettres capitales: visa du contrôleur financier n°1062...
Sur le faux, le cachet fait en largeur la moitié de l'original, et plus grave, la mention «visa du contrôleur financier et le n°1062 du 12/11/1975 à la... main gauchement transcrite outre l'en tête ´´Von Rossem-Darak El Watani...´´» Ridicule car si Von Rossem a pris l'avion en 1974, laissant derrière lui une entreprise en ruine et un impayé d'impôts titanesque, le Darak El Watani ne pouvait avoir ni registre du commerce, ni compte en banque ni CCP. Rien, car la Gendarmerie nationale, cette colonne vertébrale de la Révolution, relève du ministère de la Défense nationale. Oui, c'est si ridicule que nous avons honte à la place de cette «clique» de 1980 qui a organisé une malvenue chasse aux sorcières.
Depuis, de l'eau a coulé sous les ponts et les...trémies. Vingt-six ans après, toute cette masse d'hommes a été réhabilitée sauf Ould El Hocine et la Sarl de l'EPSR qui paie les déboires de l'ancien moudjahid qui n'avait commis aucun crime et le non-lieu prononcé en 1984 en est la preuve. Conclusion, s'il y en a une: Tous les «assainis» de la campagne de 1980 ont été blanchis sauf Mohamed Chérif Ould Hocine dont il faut souligner, tout de même, deux qualités: une résistance insoupçonnée et une confiance sans borne en la justice.
Solide comme le roc, le dossier
Pour ce qui est du terrain, il y a lieu d'évoquer cette triste histoire de faux et usage de faux introduite par l'Enps, l'été dernier, et qui a vu Ould El Hocine et sa...fille écoper d'une peine de prison avec sursis et d'une amende alors que le terrain de l'Epsr avait été affecté par l'APC en 1975 à l'unanimité des membres de l'exécutif. Donc, si faux il y avait, la juge de Chéraga n'avait qu'à entendre les membres d'il y a trente et une années. Mais comme les voies des faussaires sont impénétrables et que nos magistrats sont à tout bout de champ leurrés par des éblouissements aveuglants de trafiquants de grande et infernale envergure, la vraie justice ne peut que s'en mêler et tirer au clair des dossiers vieux de près de trois décennies. Et la Sarl Epsr date du 27 mai 1975 et ce, avec le sceau du notaire Mohamed Heniche d'Alger, le défunt.
En outre, le 22 avril 1975, le délégué agricole près la daïra de Chéraga informait, par courrier, que la Sarl Epsr avait bénéficié d'un terrain du domaine Fodil-Alioua d'un hectare vingt-cinq ares, sis 16, route Ouled Fayet. (Suit le PV de réunion des membres du comité de gestion). Le Comedor (relevant à l'époque de la Présidence de la République) autorisait le gérant de la Sarl Epsr pour la construction et l'aménagement de hangars pour le montage de panneaux de signalisation, survint un autre faux de l'Enps. Le transfert du matériel de la Sntp venant de l'Epsr au profit de la Sntp et là aussi, l'en-tête Sarl Epsr laissa place à Von-Rossem-Darak El Watani. Les enquêteurs auront, à loisir, de découvrir ce faux lors de l'enquête et heureusement que dans ce pays, des hommes et des femmes veillent sur toutes les archives. Fait aggravant pour l'Enps dans une correspondance, en date du 13 février 1988, Ould El Hocine prenait acte que l'Enps lui faisait savoir qu'en ce qui concernait la restitution de certains effets entreposés au niveau du magasin de l'ex-Epsr, il suffisait de se conformer à l'inventaire descriptif et estimatif de tous les biens établis par les représentants des deux unités Epsr-Sntp (remarquons, au passage, qu'il n'est plus question de Von-Rossem-Darak El Watani) Edifiant!
Alors, résumons ce cafouillis: La Sntp, relevant du ministère des Travaux publics s'empare du matériel de l'Epsr. La Sntp le verse à l'Enps comme quoi «on frit le merlan de son huile». Le 20 mars 1989, et depuis la nuit des temps, on sait que le «crime ne paie pas.»
On a longtemps vécu sur le mépris de certains juges assurés de «parapluies». Ces derniers et l'histoire l'a souvent prouvé -peuvent être mis en pièces par un vent violent. Et précisément le vent violent est cette justice droite qui voit des magistrats penser bas, qu'il suffit de toujours être aux ordres des forces occultes et de rendre justice surtout que le président de la République veille scrupuleusement au changement des mentalités des juges en combattant la corruption et la médiocrité. Or, Von-Rossem, c'est qui? C'est un escroc qui s'est installé en 1963, qui a fait son beurre jusqu'en 1974 avant de prendre le large. La suite, tout le monde à Chéraga la connaît. Darak El Watani? C'est la Gendarmerie nationale dont le père fondateur a été «griffé» lors de l'opération: assainissement.
Des cadres de la nation (1980), c'était l'époque où le saint homme attendait les convocations du juge d´instruction du procureur général de la police judiciaire. Et ce saint homme se sachant propre, commençait à se gratter les «aisselles» craignant avoir trempé dans je ne sais quelle soupe salée et amère et que donc, il fallait qu'il encaissât sans broncher. Un cadre de la nation a même rendu le dernier soupir en prison. Pendant ce temps, on complotait sur le dos d'authentiques moudjahidine, car c'est cela aussi le noyau de tous les complots. «Assainir» pour mieux s'emparer des biens d'autrui. «Au nom de Novembre!» les plus puissants de l'ère valeureuse des hommes de feu Houari Boumediene réfléchirent longtemps. Certains ont carrément fermé la porte de leur glorieux passé et quitté tamourth pour d'autres cieux, ceux qui sont restés seront les ingrédients de préparations frauduleuses à partir de faux. Et le faux de l'Epsr a donné naissance à des faux, au pluriel. Le plafond sera «troué»avec le vulgaire faux effectué autour du livre de paye par l'Enps. Vulgaire faux car Von Rossem-Darak figure en bonne place et laisse apparaître le travail gauche de l'opération faux. Peut-être que dans l'esprit des faussaires, les maths donnent ceci: «moins par moins font plus».
On a dû penser, faux par faux donne vrai. Hallucinant! Nous rasons en surface le volet «les documents concernant le transfert» pour glisser vers le premier document falsifié. Or, l'étonnant, c'est que Ould El Hocine et sa fille avaient été condamnés pour faux sur le document délivré par l'APC concernant le terrain. Là aussi, les magistrats étaient suspectés d'avoir eu un oeil sur le dossier, d'autant plus que le procès s'est déroulé en l'absence de la partie civile (Enps) dont le premier directeur général, Benkaïdali devait se frotter les mains en pensant qu'il venait de faire d'une pierre deux coups: tromper la justice et faire taire Ould El Hocine.
Drôle d'entreprise que le risque pris par l'auteur des faux et leur usage, mais il faut demeurer prudent, car l'inculpé n'a pas pu agir seul surtout que les auteurs de la «punition» de Ould El Hocine ont mêlé la raclée avec la Sarl Epsr, à supposer que le gérant ait commis un...crime.


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