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La victime devient coupable à cause d'un fonctionnaire de l'Etat
Publié dans Liberté le 11 - 04 - 2010

Je suis propriétaire d'une villa qui m'a été louée légalement auparavant par la propriétaire, le 1er octobre 1962, et cela avec un reçu de location et une reconnaissance écrite et légalisée par le commissariat de police du 15e arrondissement d'El Mouradia. Après quelques années, elle est devenue bien de l'Etat, et cela par un contrat de location par la wilaya d'Alger-Centre.
Après cinq années, les habitations ont été mises en vente par l'application de la loi n°81/01 du 07/02/1981 et c'est par cette application que j'ai acquis cette villa avec mon argent, honnêtement et légalement, le 06/03/1983, et je l'ai gardée telle qu'elle était jusqu'à l'année 1995 où nous étions obligés avec mes deux voisins de changer les grillages métalliques qui étaient dégradés.
Nous les avons remplacés par du parpaing et cela avec une autorisation du service de l'urbanisme de l'APC sous le n° 95/87.
À la fin de l'année 2000, une personne inconnue a acquis la villa mitoyenne à ma maison. Ce nouveau voisin a entrepris des travaux de réfection de sa villa qui ont duré plus de trois ans et demi et qui ont occasionné de graves maladies à mes enfants (allergie) avec le temps devenant de l'asthme. Quant à moi, je suis devenu cardiaque à cause des produits chimiques utilisés.
Après avoir terminé ces travaux à l'intérieur de son domicile, il a entrepris d'autres à l'extérieur. Une partie de ces travaux étaient illicites car il a touché le soubassement du mur de séparation. Ces travaux ont duré plusieurs mois et cela en empiétant toutes les lois de l'urbanisme, en creusant une fosse de 12 cm de longueur et de 70 cm de profondeur.
Après avoir terminé tous les travaux de haut en bas, et après s'être installé dans sa villa, il s'est subitement aperçu qu'il y avait un mur de séparation qu'il faudrait démolir et qu'il était construit avec deux tonnes de parpaing pour le reconstruire avec une nouvelle matière et avec des carreaux nevadas. Ne se contentant pas seulement de démolir le mur, il veut également s'emparer d'une partie (parcelle) de terrain qui se trouve dans mon jardin et qui m'appartient depuis que j'ai occupé ma villa. Vu la situation, j'ai adressé une lettre au service de l'urbanisme de l'APC d'El Mouradia qui a délégué un inspecteur.
Après le constat, je n'ai reçu aucun résultat et cela après plus de trois mois d'attente. J'ai donc adressé une autre lettre de réclamation au chef de daïra en lui expliquant toutes ces difficultés qui m'ont obligé a engager une procédure judiciaire qui a duré 5 ans.
Après les décisions de justice et les arrêts des deux chambres, j'ai compris que du statut de victime je suis devenu coupable. Drôle de justice. Devant ce fait, je sollicite M. le président de la République de bien vouloir ordonner une enquête sur ce haut fonctionnaire de l'Etat.
Benrahal Abderrahmane
9 bis, rue Boudjemaâ-Saâdi
El Mouradia-Alger


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