Les étudiants algériens diplômés de l'Institut de recherches et d'études de la Ligue arabe au Caire reviennent à la charge. La rédaction Web de Liberté a reçu un communiqué signé par leur représentant Salah Eddine Benarous. Ils sont plus de 90 à crier à l' « injustice », et ce depuis 2009. et ils affirment que leur cas n'est toujours pas résolu alors qu'ils n'ont pas cessé leurs revendications. Après avoir achevé des études en droit, en Egypte, ces titulaires du magistère se retrouvent avec des diplômes non reconnus par le ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique (MESRS). Malgré leur appel, ils n'ont toujours pas obtenus gain de cause. Cette affaire tire ses origines des confrontations footballistiques entre l'Algérie et Egypte en 2009, lorsque, selon les étudiants nombreux parmi avaient décidé de poursuivre leurs études sur place. A la suite de plusieurs mouvements de protestations , le MESRS avait décidé d'octroyer l'équivalence à une partie des étudiants. « Le directeur de la formation supérieure en graduation avait donné raison qu'à ceux qui s'étaient déplacés au siège du ministère le 19 mars 2012» affirment les étudiants dans un communiqué adressé à Liberté. D'ailleurs un sit-in est prévu "prochainement" par ces étudiants, et ce sera probablement devant le siège du MERS à Ben-Aknoun. I.A Nom Adresse email
