AGHLAL (AIN TEMOUCHENT) : Noyade d'un adolescent dans une mare d'eau Les éléments de la Protection civile sont intervenus dans l'après-midi de mercredi dernier pour repêcher le corps inerte de A. S. A., un adolescent âgé de 15 ans qui s'est noyé dans une mare d'eau d'une superficie approximative de 600 m2 et d'une profondeur estimée à 5 mètres située à proximité de la ferme Pasteur dans la commune d'Aghlal rattachée à la daïra de Aïn Kihal dans la wilaya de Aïn Témouchent. D'après les témoignages des riverains, cette crevasse existe depuis une année après les travaux non achevés d'une entreprise. Selon nos informations, la victime, un lycéen, qui portait un maillot de bain au moment de son repêchage, aurait chuté accidentellement alors qu'il se trouvait sur une grosse pierre avant de glisser. Son corps a été déposé à la morgue de l'hôpital Ahmed-Medaghri de Aïn Témouchent. La Protection civile, dont l'unité principale, le poste avancé de Aïn Témouchent, et l'unité marine de Béni Saf ont employé de gros moyens humains et matériels dont 12 agents secouristes et trois plongeurs lors de cette opération. M. LARADJ Relizane : Des ravins transformés en dépotoirs Pratiquement, aucun village relevant des trente-huit communes n'échappe à la multiplication des dépotoirs. Ceux-ci sont visibles dans les rues et surtout dans l'environnement immédiat de chaque village. Le chef-lieu communal de Belacel, situé à 12 km à l'est de Relizane, est exposé, également, à ce problème de pollution. La nature en prend un sérieux coup avec la multiplication effarante des amas de détritus. Cependant, les endroits les plus touchés par l'envahissement des immondices sont sans conteste les ravins ! En effet, le village de Belacel compte plusieurs ravins profonds, transformés malheureusement en collecteurs d'ordures ménagères. C'est à s'interroger si vraiment les personnes qui polluent ces lieux, en déversant des quintaux d'immondices chaque jour, ont une certaine conscience. Nonobstant le fait que le chef-lieu bénéficie du ramassage quotidien des ordures. E. Yacine
