La vidéo montre de nombreux individus de type militaire sur le théâtre du crime avant les explosions, portant les mêmes casquettes de base-ball avec un insigne blanc, blousons noirs, pantalons kaki et bottes de combat légères, téléphones portables en main. Tous ont le même type de sac à dos. Les sangles des sacs à dos sont les mêmes que celles du sac explosé retrouvé sur les lieux, sac que les médias ont attribué à un des deux frères qui sont supposés avoir commis l'attentat. Mais ce sac correspond aussi à ceux que portaient ces individus semblant se déplacer à l'aise au milieu de la police. Aucun policier n'a demandé à fouiller leurs sacs. La vidéo montre également, avant l'attentat, des chiens renifleurs de bombe en train de patrouiller. Faits et documents qui semblent occultés par les principaux médias. « Ce qui me frappe le plus au sujet de cet événement est la facilité avec laquelle les autorités ont été capables de totalement verrouiller des zones urbaines entières, empêchant des citoyens américains de quitter leurs maisons pour aller au travail, à des rendez-vous chez le médecin, faire des courses, ou sortir leur chien. C'est sans précédent. Cela met en scène la loi martiale, bien que ce ne soit pas appelé comme ça, ainsi que l'instauration du couvre-feu en pleine journée. Est-ce cela que voulait dire le Homeland Security (DHS) il y a deux ans lorsque son chef a dit que l'agence avait réorienté son attention du terrorisme international vers les extrémistes intérieurs ? » , se questionne le Dr Paul Craig Roberts. Cela dit, on se rappelle du fameux Patriot Act (USA PATRIOT) qui avait été adopté par le Congrès américain quelques semaines après les attentats du 11 septembre. A l'époque, un élu sur cent avait oser voter contre. Ce projet de loi USA PATRIOT, bien que comportant plusieurs centaines de pages, est adopté sans le moindre débat, en l'espace de 72 heures; aucun député n'a eu le loisir d'en étudier les détails. En temps normal, il faut plusieurs mois pour faire passer un texte de cette envergure. Tout laisse donc penser que la loi était prête depuis un certain temps et que ses initiateurs n'attendaient que le moment favorable pour la présenter. Bref, on sait également ce qui en a découlé en matière de restriction des libertés et bien entendu, ce sont les Arabes et les migrants qui ont été les premiers boucs émissaires. Ainsi, des milliers, sinon des dizaines de milliers de personnes d'origine arabe ou similaire (Américains et étrangers) ont reçu des lettres de convocation émanant de la police locale, du FBI ou de l'INS (services de l'Immigration). Bien que n'ayant jamais été en contact avec une quelconque organisation militante, ils doivent, pour des raisons purement raciales, se faire « recenser » et se soumettre à un interrogatoire dont ils ignorent comment il finira. Pour eux, il est aussi dangereux de répondre à la convocation que de ne pas en tenir compte. Alors, quel œuf va-t-on pondre à la suite à cet attentat ? Que le film continue !... (Suite et fin)