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Le rêve dans un monde inconnu
Publié dans La Nouvelle République le 08 - 04 - 2016

La nouvelle pièce théâtrale «El-Thoulth El-Khali» ou «Le nul part» montée et produite par le Théâtre régional d'Eulma, dont la générale a été présentée, jeudi soir à la maison de la culture Houari-Boumediene de Sétif, a été chaleureusement accueillie par un public nombreux.
Ecrite par Mohamed Chouat et mise en scène par Tounes Aït Ali, avec une chorégraphie de Toufik Krara, musique de Hocine Smati et assistant de réalisation, Fares Bousaada, l'œuvre traite, avec précision de l'histoire de trois femmes à la fleur de l'âge, venues de nul part et repartant vers nul part avec trois rêves différents et trois espérances différentes.
Djouhra, la femme rêveuse qui cherche un amour qu'elle perdu, Khamsa, la célibataire endurcie qui veut créer sa vie sans un homme et Khadra, la femme ordinaire qui a sacrifié sa vie à cause d'un homme. Toutes les trois racontent leurs histoires qui diffèrent l'une de l'autre mais le commun des trois femmes est de trouver un homme. Vers la fin, ces trois jeunes femmes se rendent dans un tribunal virtuel avec un espoir celui d'avoir un homme.
Présentée dans un style captivant, au fil des scènes, le passé est transposé sur le présent, accentuant le rêve de ces trois femmes-victimes, dans un monde inconnu, vêtues de noir et criant l'espoir. Les rôles campés entres autres par Bahloul Houria «Khamsa», Amel Delhoum «Khadra» et Ryma Attal «Djouhar». En effet, ces comédiennes ont donné vie au texte dans un rythme ascendant avec un jeu concluant, sous un éclairage réussi, créant des ambiances adéquates aux personnages dans les différentes situations.
Le tout dans un décor noir au fond de la scène, montrant trois femmes pendues à des cordes dans un monde inconnu. Les trois femmes. Cette pièce a été interprétée avec beaucoup de brillance, ces trois comédiennes vêtues de noir, assises sur ses valises roulantes, portant des parapluies sous le brume d'un orage espèrent arriver à leurs fins et trouver l'homme de leur rêve. Le spectacle a, également, été soutenu par un mélange de musique arabe et occidentale contemporaine.
Cette œuvre théâtrale d'environ d'une heure du temps, interprétée en arabe dialectal est truffée de répliques rétiniennes. L'assistance a, en effet, savouré chaque moment du spectacle dans l'allégresse et la délectation, donnant du répondant aux comédiennes longtemps applaudies.
Après le spectacle, la metteur en scène, Tounes Aït Ali a indiqué que la pièce reflète la vie et les problèmes sociaux de la femme, en cherchant l'amour ou en perdant son amour en se basant sur trois témoignages de jeunes femmes victimes de la société : «on a laissé la fin du spectacle ouverte, les comédiennes évoluent sur scène et vers la fin portent un voile rouge, symbole de l'amour, de l'espoir qu'elles attendent», a-t-elle précisé, ajoutant qu'elle s'est basée dans le spectacle sur une chorégraphie expressive : «j'ai voulu travailler sur la performance des comédiennes et j'ai choisi un décor simple.
Je n'aime pas trop charger le décor, j'ai apporté le nécessaire pour que le public puisse comprendre le spectacle», a-t-elle fait savoir. De notre envoyé spécial à Sétif,


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