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situation de l'économie algérienne et perspectives
Dépréciation du dinar et taux de change
Publié dans La Nouvelle République le 04 - 12 - 2025

Vous avez été dans un passé récent, l'un des rares à avoir prédit la dépréciation importante et subite (tendance continue depuis) du dinar par rapport aux devises étrangères. Vous vous êtes également intéressé à l'écart qu'il y a entre les taux de change officiel et parallèle : quel enseignement en tirez vous ?
L'écart avec le marché parallèle le 2 décembre 2025 s'échange à 281 dinars à l'achat, après avoir atteint 290 dinars, une accalmie avec un écart de près de 80% par rapport au cours officiel, s'orientant vers 300 dinars un euro favorisant les actions spéculatives, et ce grâce aux réserves de change via la rente des hydrocarbures qui tiennent la cotation officielle du dinar à plus de 70%. Pour le montant de la sphère informelle circulant hors banques, selon la Banque d'Algérie, la circulation fiduciaire hors banques a affiché un taux de croissance de 8,6 % en 2023 contre 10,1 % en 2022, passant ainsi de 7 392,81 milliards de dinars à fin décembre 2022 à 8 030,76 milliards de dinars à fin décembre 2023. Ces indicateurs expliquent en grande partie l'écart entre le cours officiel et celui du marché parallèle qui en novembre 2025 est d'environ 80% dont je recense les principales raisons. Les principales raisons de cet écart sont :
Premièrement : le faible de production et de productive, les surcoûts des projets influent indirectement sur la cotation du dinar, y compris les surfacturations des projets en devises et en dinars algériens. Les hydrocarbures irriguent directement et indirectement via la dépense publique à environ 70% le PIB et donc la majorité des secteurs économiques publics et privés dont le taux d'intégration ne dépasse 15% en 2024 ; Les exportations hors hydrocarbures (source BM et rapport banque d'Algérie), à ne pas confondre avec l'accroissement de 4% en 2024 dans le PIB sont passées de 6,9 milliards de dollars en 2022, à 5,01 en 2023 et à 4,6O en 2024 et les IDE constitués en majorité du secteur des hydrocarbures , loin des potentialités ont été en 2024 selon la CNUED pour l'Algérie que de 1,4 milliards de dollars 16e position en Afrique.
Deuxièmement : la baisse des transferts avec les décès des retraités à l'étranger, cette baisse de l'offre de devises ayant été contrebalancée par les fortunes acquises régulièrement ou irrégulièrement par la communauté algérienne localement et à l'étranger qui font transiter irrégulièrement ou régulièrement des devises en Algérie.
Troisièmement : existant une loi universelle applicable à tout pays, tout accroissement du déficit budgétaire entraîne forcément un accroissement du processus inflationniste, mais compressé artificiellement en Algérie par les importants transferts sociaux généralisables et non ciblés.
Quatrièmement : les opérations d'importation de voitures neuves et d'occasion de moins de trois ans par les résidents algériens et la récente mesure d'intégration des auto entrepreneurs dits « casbah »qui doivent s'autofinancer sur le marché parallèle du fait que les bureaux de change qui devaient être opérationnels en 2023 ne sont pas opérationnels.
Cinquièmement : la demande provient de simples citoyens qui voyagent : touristes, ceux qui se soignent à l'étranger et les hadjis du fait de la faiblesse de l'allocation devises dérisoire d'environ 100 euros, par le passé, l'allocation devises de 750 euros par personne adulte et par an qui devaient occasionner une sortie de devises, selon le ministre des Finances entre 3 et 4 milliards d'euros ayant eu un impact limité bien qu' ayant servi de tampon pour une baisse plus importante.
Sixièmement : face aux pénuries l'amplification du commerce dit du «cabas» que l'on ne combat pas par des mesures administratives car satisfaisant une demande du fait des pénuries accentuant la sphère informelle.
Septièmement : les agences de voyages qui, à défaut de bénéficier du droit au change, recourent, elles aussi, aux devises du marché noir étant importateurs de services exportant des devises au lieu d'en importer comme le voudrait la logique touristique.
Huitièmement : pour se prémunir contre l'inflation, et do nc la détérioration du dinar algérien les ménages et certains opérateurs privés placent leur capital-argent dans l'immobilier, achètent des biens durables à forte demande comme les pièces détachées, facilement stockables, l'achat d'or ou de devises fortes.
Neuvièmement : le manque de confiance vis à vis de l'avenir, l'anticipation d'une dévaluation rampante du dinar, a un effet négatif sur toutes les sphères économiques et sociales, dont le taux d'intérêt des banques qui devraient le relever de plusieurs points, s'ils veulent éviter comme par le passé, l'assainissement via la rente des hydrocarbures. L'intégration de la sphère informelle doit tenir compte de la morphologie de la société et donc de son anthropologie culturelle. Lorsqu'un Etat émet des lois qui ne correspondent pas à la réalité de la société, celle ci émet ses propres lois qui lui permet de fonctionner, beaucoup plus solides car reposant sur la confiance sans laquelle aucun développement ne peut se réaliser, les mesures administratives autoritaires produisant toujours des effets pervers.
Quels impacts sur le niveau des réserves de change, le recours au financement extérieur et le financement non conventionnel pour 2026 ?
Lors du débat devant les députés, présentant le PLF 2026, le ministre des Finances a reconnu que la situation socio- économique actuelle nécessitera à la fois un endettement extérieur ciblé et le recours au financement non conventionnel (planche à billets). – 2013 : 194,0 milliards de dollars de réserves de change – 2014 : 178,9 milliards de dollars.– 2015 : 144,1 milliards de dollars – 2016 : 114,1 milliards de dollars – 2017 : 97,33 milliards de dollars – 2018 : 79,88 milliards de dollars – 2019 : 62 milliards de dollars – 2020 : 44,2 milliards de dollars – 2021 : 47 milliards de dollars – 2022 : 61 milliards de dollars – 2023 : 70 milliards de dollars. Selon le FMI Pour fin 2024,les réserves de change sont estimées hors or, à 67,80 milliards de dollars, selon le FMI . Pour 2025, Global Firepower Index 2025 , l'Algérie figurant en deuxième place en Afrique, avec 81 milliards de dollars, sans mentionner la structure soit , dollars euros, livre sterling ou autres monnaies fortes, ce montant incluant les réserves d'or de 173,56 tonnes, les droits de tirages spéciaux déposés au niveau du FMI.
Le cours d'un kilogramme d'or en dollars américains étant d'environ 130 617,01 dollars . soit au cours moyen de l'année 2025, donnant une valeur 22,67 milliards de dollars et à ce montant, il faut ajouter environ 5 milliards de dollars de DTS déposés par l'Algérie au FMI comme le font la majorité des pays, et 1,5 milliard de dollars déposés au niveau de la banque des Brics, soit un total de 24,67 milliards de dollars. Il reste au niveau de la Banque d'Algérie pour effectuer des transactions immédiates, toujours selon cette institution, montant à confirmer par la Banque d'Algérie seule source officielle. 56,33 milliards de dollars fin 2025.
Aussi, le niveau des réserves de change entre 2026/2030 sera fonction à la fois du niveau des importations, en rappelant que le taux d'intégration tant des entreprise publiques que privées en 2025 est de 15%, 85% des matières premières et équipements étant importés en déviés, donc de la densification du tissu industriel, des recettes de Sonatrach et des exportations hors hydrocarbures Les exportations de Sonatrach principal pourvoyeur de devises ont été de 60 milliards de dollars en 2022, 50 en 2023, 45 et si l'on s'en tient aux données récentes du ministère des hydrocarbures de 31 milliards de dollars pour les neuf premiers mois de 2025 de 31 milliards de dollars, selon le même rythme seraient fin 2025 entre 41/42 milliards de dollars. L'important déficit budgétaire montre une monétisation progressive du déficit avec le recours à la planche à billets source d'inflation en cas de rigidité de l'offre. C'est que la théorie keynésienne de relance de la demande globale (consommation et investissement) globale par le déficit budgétaire s'appliquant à une économie productive (sous-utilisation des capacités), contrairement à ce qu'annoncent certains experts induisant en erreur le pouvoir, ne s'applique pas à l'Algérie souffrant d'un déficit d'offre comme le montre l'importance de la rente des hydrocarbures brut et semi brut qui irrigue directement et indirectement toute l'économie et le niveau faible des exportations hors hydrocarbures non inclus les dérivées d'hydrocarbures.
Comme conséquence de ces tensions budgétaires et de la baisse des réserves de change, le ministre des finances annonce le recours à l'endettement extérieur, mais de manière très ciblée, pour financer les grands projets d'investissement, l'objectif étant de diversifier les sources de financement et de maintenir une dette soutenable qui sera exclusivement destinée à l'investissement, les modalités d'application de cet endettement étant fixées en conseil des ministres.
Deuxième solution, avec des charges de la dette qui ont augmenté de 102.5% avec une dette intérieure est estimée à près de 18.000 milliards de dinars, soit 138 milliards de dollars, incluant le financement du déficit budgétaire, une dette non conventionnelle et des crédits pour des entreprises publiques comme Sonelgaz, le ministre des Finances a reconnu en novembre 2025 implicitement devant les députés, le recours au financement non conventionnel qui consiste à permettre à l'Etat de pouvoir utiliser les ressources de la Banque d'Algérie pour couvrir des obligations du trésor, c'est-à-dire le recours à la planche à billets, mesure destinée à une période de transition permettant de combler le déficit tout en espérant éviter une dérive inflationniste.
Professeur des Universités,
Docteur d'Etat,
Abderrahmane Mebtoul
(A suivre…)
3-Vous avez déjà souligné l'intérêt d'une planification que l'Algérie a déjà expérimenté dans les années 1970 alors que l'orientation était plutôt socialisante. Aujourd'hui vous être favorable à l'économie de marché dont vous avez été le fondateur en 1992 en créant l'association algérienne de développement d l'économie de marché ADEM.
Il existe un théorème universel en sciences politiques : 2O% d'action bien ciblées ont un impact de 8O% sur la société ; par contre 8O% d'actions mal ciblées que l'on voile par de l'activisme ont un impact seulement que de 2O% et de faite de vision stratégique avec des coûts financiers Les actions sectorielles doivent se mouler au sein d 'une fonction, objectif stratégique devant différencier pour paraphraser les militaires tactiques et stratégie devant tracer un registre d'engagements pour le court terme et le moyen terme. Cela . nécessite de profondes réformes qui seront douloureuses, mais déterminantes, dépassant de loin les enjeux internes de pouvoir pour s'inscrire de plain- pied dans le plan géostratégique des puissances de ce monde.. Ainsi, le plan de relance s'inscrivant dans le cadre d''une planification stratégique datée, doit définir clairement les objectifs -court, moyen et long terme. Car un pays qui veut se développer doit préparer les choix qui permettent d'en saisir les conséquences basées sur des études précises qui doivent indiquer: -comment se pose le problème,-quelles sont les contraintes externes (engagements internationaux de l'Algérie); -quels sont les contraintes socio-économiques, financières et techniques internes; -quels sont les choix techniquement possibles et les ensembles de choix cohérents et quelles sont les conséquences probables de ces choix, -quelles méthodes de travail choisir qui permettent de déterminer les paramètres (moyen termes) et les variables (court terme) dont dépend un système complexe. Après avoir décomposé la difficulté en éléments simples, il convient d'apporter des réponses opérationnelles, loin des théories abstraites, réalisations physiques et plan de financement sur chacun des éléments : -Quoi?-Qui?- Où – Quand?- Comment?- Combien et Pourquoi? La structure de l'action en faveur des réformes est globalement formée de cinq segments qui fondent le processus opérationnel de mise en œuvre :l'administration qui constitue la cheville ouvrière par son importance stratégique ; la société civile /syndicats, collant à la réalité et non appendices de l'administration ; les citoyens dans leur diversité ; les partis politiques et les opérateurs publics et privés. Dès lors se pose quatre questions : premièrement : -peut-on parler de stratégie économique sans tenir compte des mutations tant internes que de l'économie mondiale ; deuxièmement, -peut-on continuer à perfuser des entreprises publiques qui ont coûté à la collectivité nationale selon les données officielles du Premier ministère plus de 250 milliards de dollars durant ces trente dernières années (source APS janvier 2021) pour arriver à la case départ ; troisièmement les politiques socio-économiques s'adapteront –elles à ce nouveau monde dynamique en perpétuel mouvement, n'existant pas de modèle statique, ou vivront – ils toujours sur des schémas mécaniques dépassés des années 1970 /1980 conduisant le pays à l'impasse ; quatrièmement, la transition d'une économie de rente à une économie hors hydrocarbures, n'implique t-elle pas , pas une lutte contre le terrorisme bureaucratique afin de libérer les énergies créatrice devant remplacer les relations de clientèles et le régionalisme, afin de redonner sa place aux compétences réelles. La vision néfaste du bureaucrate est de gérer par voie administrative, souvent autoritaire sans consultations et lors qu'il y a un problème est de créer des commissions et de pondre de nouveaux textes juridiques ,dont des circulaires, décrets, lois ect ....déconnectés de la société. C'est que, le XXIe siècle sera dominé par l'émergence de réseaux décentralisés, qui remplaceront les relations personnalisées d'Etat à Etat dans le domaine des relations internationale avec le développement de l'intelligence artificielle ) qui révolutionne tout le système mondial
4.-Quelle perspectives pour l'Algérie face aux nouveaux enjeux géostratégiques?
Attention à la dérive inflationniste par l'augmentation de salaires sans contreparties productives qui engendreraient une dérive inflationniste incontrôlée surtout en cas de baisse des recettes des hydrocarbures. Pourtant, l'Algérie a toutes les potentialités pour devenir un pays pivot . Face à un monde turbulent et instable et à des besoins sociaux internes croissants, doit se libérer de la forte dépendance des hydrocarbures dont les prix volatils échappent à la décision interne. Aussi, le défi principal de l'Algérie pour asseoir une économie diversifiée et attirer les IDE créateur de valeur ajoutée implique une vision stratégique s'orientant vers une économie de marché concurrentielle mais à finalité sociale , la cohésion sociale en symbiose avec une réelle décentralisation pour impliquer les citoyens , pour moi étant le cœur du développement, donc aller vers de profondes réformes structurelles dans le cadre d'une planification stratégique La réussite du développement de l'Algérie 2025/203O ,afin d'éviter les tensions sociales et sécuritaires, existant un lien dialectique entre sécurité et développement, partant d'un bilan objectif, doit s'attaquer aux fondamentaux du blocage et trouver des réponses réelles qui répondent en priorité aux aspirations de la population algérienne en lui redonnant la confiance. En s'adaptant tant aux mutations internes qu'aux nouvelles mutations mondiales, grâce au renouveau de la gouvernance, et la valorisation du savoir, l'Algérie forte de ses importantes potentialités, peut devenir un pays pivot et être facteur de stabilité de la région méditerranéenne et africaine. L'enjeu du développement de l'Algérie dépasse le cadre national car toute déstabilisation de l'Algérie, comme je le soulignais à l'American Herald Tribune (USA 2O18 ) , aurait des répercussions géostratégiques sur toute la région. Mais avant tout, l'Algérie sera ce que les Algériennes et les Algériens voudront qu'elle soit.


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