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Paterfamilias
Publié dans Le Quotidien d'Oran le 16 - 04 - 2009

Dans l'antiquité, durant la période des Romains, ce titre est attribué à ceux exerçant le rôle de chefs de famille aux pouvoirs déterminants. Ils représentaient l'image de César au sein des groupes sociaux et, donc, auprès de l'ensemble de la société ainsi hiérarchisée selon des lois consolidant cet état d'esprit à inspiration martiale.
Et c'est comme ça que l'empire romain fut édifié, qu'il s'était étalé tout autour de Mare nostrum et avait consolidé fortement ses assises inspirées de l'organisation pyramidale, d'essence carthaginoise, bâtie toutefois selon les caractéristiques de la puissance progressive de Rome éclipsant peu à peu celle de Carthage - Gart Hadasht - ou « nouvelle cité » détruite de fond en comble, en 146 Av.J.C, par les légions romaines et que leurs aristocrates étaient férus des grandes battisses et des légendes allégoriques à la puissance des êtres et des éléments à l'instar de la louve nourricière de Romulus et Remus fondateurs de Rome en 753. Av. J.C. Et c'est ainsi que le pouvoir absolu voire de culte de la personnalité, et des idoles représentant toutes sortes de forces puisées de la civilisation grecque substituée par les troupes d'élites, des centurions, légions romaines, etc., disciplinées et entraînées par les arts martiaux ou tout geste avait une signification prétorienne d'où « le salut romain » entre autres marques d'obéissance et de discipline absolue voire d'allégeance, à la vie à la mort, à César sous condition qu'il soit également toujours fort, martial, autoritaire outrancier et surtout hautainement « debout » quelles que soient les circonstances, car les vaincus ont toujours tort et non respectés à l'image des gladiateurs, jusqu'à être confondu aux démiurges représentant toutes sortes de puissances surnaturelles craintes par les petites gens ainsi conditionnés par toutes sortes de peurs. Dont celle de la défaite devant l'ennemi assiégeant ! Ainsi, c'est tout un lien physique et, donc, de soumission terrible à l'ordre établi basé à partir de la cellule familiale jusqu'à la superstructure de l'empire et, paradoxalement, de rapports sociaux régulés en tous genres, dont l'esclavagisme, entre l'individu soumis malgré lui au maître du moment et la société structurée selon la volonté de l'autorité suprême des Césars côtoyant, dans l'imaginaire collectif d'une structuration sociale « totémiste », les dieux ainsi vénérés sous formes de légendes servant leurs pouvoirs successifs. Avec, cependant, chacun son... totem en terme de puissance liée à la gouvernance. Le tout ornant, par la force des choses et du conditionnement païen, leur environnement ainsi intériorisé dans leur subconscient. Un terrible esclavagisme de l'esprit malgré d'autres avancées admirables dont l'organisation militaire et l'architecture. Tout un univers d'ombres, de manigances, de démesures et démences liées au pouvoir « néronien » et_de plaisirs de toutes sortes pivotant au profit des serviteurs zélés mais versatiles à l'encontre des Césars.
Donc, ce pouvoir est structuré, organisé, et exprimé « sénatorialement » et qu'il tirait ses inspirations d'organisation de son empire de celui carthaginois, comme déjà décrit précédemment, et de ses aspects les plus pervers voire maffiosi, identique à plusieurs égards avec cependant toutes proportions gardées en terme de temps, dont notre région maghrébine lui est tributaire à ce jour sur certains points. Avec, bien évidemment, des nuances d'extraction gréco-romaines qui ont dominé le pourtour méditerranéen un bon bout de temps. En fait c'est la poursuite, en quelque sorte, de l'aura de Carthage la « catin » comme désignée par le célèbre homme politique et écrivain romain Caton l'Ancien. 234 - 149. Av.JC. Avant et depuis ces anciens temps, la région méditerranéenne et le monde dans son ensemble, ont fait de grandes traversées ponctuées par de des basses et hautes périodes aussi bien barbares, ainsi désignées par les Grecs et romains, que civilisées cristallisées autour de l'architecture, arts et sciences, les pensées humanisantes et humanistes... mais également de paterfamilias en tous genres s'érigeant et se défaisant par la violence dans ses différentes expressions que certaines sociétés, ayant eus des liens historiques avec l'empire romain, subissent jusqu'à aujourd'hui comme un atavisme malgré toutes les religions monothéistes libérant l'âme et l'esprit des gens dont l'Islam, car la vérité reste toujours l'ennemie acharnée du mensonge cultivé dans les champs « paradisiaques » des allées du pouvoir despote et ses conditionnements, comme un narcotique, lié au plaisir de jouir et d'avoir la tentation maléfique de dominer outrageusement ses semblables et d'avoir ainsi la sensation d'être parmi les meilleurs, voire se sentir comme le centre du monde, pensaient-t-on, et ce, afin d'appartenir aux auréoles et lauréats bénis par l'Histoire et les divinités, se targuent-t-on. Ainsi navigue le monde des Césars d'hier et, toutes proportions temporelles gardées, ceux...d'aujourd'hui. Vainement ! Pourtant, et tout le monde se dit conscient d'une telle évidence, tout n'est que vanités devant l'Eternel disait Marc Aurèle aime-t-on toujours le rappeler pour sa sagesse légendaire. Tout ! Et c'est toujours utile de le méditer car la nature humaine est oublieuse d'essence : « El insane » - le genre humain - désignant en langue arabe, également, l'être qui oublie. D'où la nécessité de rappeler toujours les anciens temps et de méditer ses ruines, ainsi que de suivre pas à pas les temps actuels pour en tirer les enseignements afin d'être en diapason avec les enjeux et défi de l'heure. Et de demain !
AMNESIE DE LA VANITE HUMAINE LIEE AU POUVOIR AUTOCRATIQUE
PRETENDANT FAIRE ACCEDER LES FAMILLES A LA FELICITE
ET D'AVOIR DE LA RECONNAISSANCE
On ne pourrait prétendre avec assurance avoir indéfiniment, comme on le dit en sous-entendus politiciens, le beurre et l'argent du beurre. En d'autres termes, avoir le pouvoir absolu et l'auréole de l'Histoire disculpant, comme certains se l'imaginent, leurs ambitions et frasques dictatoriales, et qu'ils le pensent même en fin de parcours à l'exemple de Néron, tentant de faire brûler Rome par dépit démentiel attaché au pouvoir. En effet ce type de nuisances altérant le destin d'un peuple, non seulement, il s'inscrit d'une manière indélébile dans la mémoire collective intergénérationnelle, mais il restera condamnable quels que soient le motif et les justifications fournies, soit à temps réel ou bien après.
Aussi, ce ne serait ni de la rancoeur intergénérationnelle encore moins de la haine imbécile, ce serait plutôt de la mémoire telle qu'elle se cultive et se succède à travers les époques. Donc, l'essentiel est d'avoir un bilan positif, comme on dit pour celle de la balance des pêchés et des bonnes oeuvres, en face de l'Histoire et surtout du Seigneur décantant les bonnes et mauvaises intentions, des gouvernants, intéressant le devenir terrestre des gens. Malheureusement, à chaque jour suffit sa_ranc_ur et son mensonge issu de la bêtise humaine manifestée par des clans et autres paternalismes désuets mais têtus car obnubilés par les enchantements liés à l'exercice du pouvoir et ses déroutes à un moment ou un autre, et ce, quelles que soient les précautions prises pour s'en prémunir de ses aléas à travers le temps. Certains agissements mensongers, effectués en catimini à l'insu des gens, argumentent que c'est pour...l'intérêt de la nation. Pourtant que des déboires vécus dramatiquement à ciel ouvert ont émaillé le parcours de ce genre de peuple. A ce propos, il est toujours instructif et édifiant de rappeler une période de notre histoire récente toute pleine d'espoirs et de rêves fantastiques se transformant en chimériques. Durant les décennies 1960 et 1970, notre pays à traversé un parcours déterminant pour la réhabilitation de notre entité en terme d'institutions étatiques conjuguées à un projet de société ambitionnant l'instauration d'une certaine forme de justice sociale déclinée en sursauts institutionnels suivis des trois révolutions, à savoir : industrielle popularisant le plein emploi et dévalorisant les richesses notamment agricoles ; puis agraire déstructurant le monde rural déjà amoché par une succession de défiguration précoloniales et coloniales de tous ordres et, enfin, culturelle dont ni le début ni son déroulement n'ont été conséquents avec ses objectifs. Le tout s'est implosé, hélas, en si peu de temps et surtout après la mort du défunt Président et la dislocation prévisible de son « équipe » bâtie sur des intérêts divergents et surtout l'autoritarisme ne menant, le temps y aidant et il le prouvera, qu'à ce genre de dissipation brutale. La preuve ! Parmi ces approches à demi exprimées par quelques indélicats, il y'a eu soi-disant des objecteurs de conscience proposant, en sourdine, dans le cadre de ladite révolution agraire, à ce qu'elle soit appliquée à titre pilote pour une seule région restreinte voire_une commune et puis, si réussite elle va se confirmer, la généraliser à travers le territoire national. « En vérité, il s'est avéré que le pantalon ne sied point à l'homme prétendant l'enfiler ». Ainsi, il s'était exprimé en allusion acerbe comme à son habitude, lors de sa visite de travail dans le Hodna au début des années 1970. Cependant, le défunt Président, il est considéré par certains témoignages comme l'exécutant « à la lettre » du redressement - décidemment - du 19 juin 1965 dont l'Histoire reste seule juge. La seule ! Depuis, les temps ont bien changés. C'est dans la logique des choses de la vie. En revanche, ce qui ne l'est pas, c'est de reconduire une certaine culture du pouvoir ayant mené, pourtant, à la dislocation de la familia dans tous les sens et, à partir de la, de la société dans son ensemble se retrouvant amputée de tant de valeurs qui avaient fait sa cohésion et vitalité durant les périodes sombres de son Histoire ainsi malmenée par tant de maladresses et de ruptures insuffisamment réfléchies par, en premier lieu, les membres même de la familia et autres supposés « amis » pivotant souvent furtivement pour leur plupart autour, d'elle, et surtout du... miel. Comme des voleurs à la sauvette.
Pourtant le pouvoir est exercé chez nous, dans la plupart des cas, selon des principes et règles que la majorité du peuple et de ses élites admettent et approuvent par le biais de ses différents organes élus et désignés, en principe, au nom de la bonne gouvernance avalisée dans ses différents volets par ladite société ainsi définie et hiérarchisée selon des normes convenues à l'air du temps vécu, en principe, dans la transparence désormais mondialisée par différents moyens mis à la gouverne des nations du monde, du fait de l'interdépendance communicationnelle à l'échelle de la planète, souligne-t-on, dans différents sujets intéressant son devenir.
Et ce, au quotidien. Certaines sociétés, de par leur histoire bigarrée par tant d'événements majeurs mais aussi absurdes voire infantilisant dont nous venons succinctement de rappeler quelques faits plus hauts, ont toutefois des sursauts inattendus. Parfois aussi, ils enfantent dans la douleur la plus atroce, des miracles mais, également, des mirages les reconduisant au point de départ en terme de projet de société souhaitée par des élites sincères mais à chaque fois flouées. C'est le cas des nôtres avec toutes leurs insuffisances et manque de clairvoyances ! Jusqu'à quand ?
Il est toujours utile de rappeler l'élan démocratique, dans notre pays, brisé dés le départ par la facétie politicienne, puis raccommodé par des nouveaux habillages non moins bluffant malheureusement. Terrible engrenage, malgré que des avancées dans certains domaines laissent penser que demain il fera beau. Oui, demain, peut-être !
2009-2014 : LE MANDAT DE TOUS LES ESPOIRS MAIS AUSSI CELUI
DES APPREHENSIONS DE TOUTES SORTES
Ces espoirs datant exactement d'une dizaine d'années, tout juste après le début de la grande « accalmie » et du retour relatif à la paix, mas toujours aléatoire, par le biais de la réconciliation nationale constituant un tournant décisif, à plus d'un titre, pour la sauvegarde de notre destin collectif et, à partir de là, de celui des générations futures. En fait c'est le souci majeur de toutes les bonnes volontés fidèles au sens du sacrifice des paterfamilias d'hier.
En effet, après une période de flottement et d'espoirs tout juste après l'indépendance nationale ci-dessus mentionnée, les périls s'installèrent au motif des revendications existentielles se mutant tout d'un bloc à celle identitaire voire de religiosité extrémiste et enfin terroriste. En vérité, il s'agissait de tensions liées à la prise du pouvoir par les uns, et de le conserver coûte que coûte par les autres. En effet, pour se confronter il faut deux antagonistes acharnés et_des intérêts. Toujours !
Aujourd'hui, après une échéance écoulée avec ses hauts et ses bas, l'heure est aux méditations sur celles à venir. Elles sont variées et déterminantes. La crise mondiale définie à plusieurs causes et effets se bousculant depuis au moins un demi-siècle et, qui s'est accentuée, notamment depuis une vingtaine d'années sous des formes nouvelles dont la dernière est bien alambiquée voire gravissime malgré toutes les avancées humaines liées aux nouvelles technologies de plus en plus prometteuses mais n'ont pas encore montré leurs limites en terme d'équilibre et d'équité entre les peuples du monde. En ce qui nous concerne, nous avons au cours de la dernière décennie semer aussi bien du bon blé mais aussi des orties.
Ces dernières définies en non bonne gouvernance dans bon nombre de domaines liés, notamment, au développement humain conséquent, malgré quelques avancées notables, et de ceux relatifs aux ressources naturelles durables dont en premier lieu la terre mère de toutes les solutions prometteuses. Par conséquent, ce ne serait nullement les 16 ou 20 milliards de dollars réservés pour développer l'agriculture qui vont arriver, à eux seuls, à bouleverser, dans le bon sens, nos terroirs et surtout les mentalités rentières et autres fuites en avant.
A ce sujet, il est utile de noter que ce montant, ci-dessus mentionné, représente l'équivalent de deux années d'importation alimentaire. Pour les cinq années à venir, et à chiffre constant de 8 milliards de dollars/an d'importation alimentaire, notre pays dégagera impérativement 40 milliards de dollars ! Une terrible dépendance aux conséquences encore non perçues à leur juste dimension. Terrible ! Donc ce serait plutôt le changement radical, des mentalités liées aux paterfamilias « providentiels », qui va entamer le grand tournant vers les chemins qui montent au lieu de ceux descendant vers les précipices et autres puits des... hydrocarbures.
Enfin, il est toujours utile bien que c'est épuisant car certains points de vue émanant, pourtant, de gens censés de par leur position dans le système de gouvernement et gouvernance, sont devenus harassants voire énervants, insiste-t-on encore, d'autant plus qu'ils rejettent d'un revers de la main toutes éventuelles anicroches aussi bien internes, liées à un certain nombre de travers que des gens éclairés soulèvent quotidiennement avec acuité de cœur et d'esprit, qu'externes en terme de crise financière ainsi définie et précisée, sans ambages, par des arguments majeurs : Internationale insistent-ils, de plus en plus, les informés et autres spécialistes des prospectives.
Et dont le dernier discours, du Président des USA, avait clairement mentionné qu'elle va durer au moins une année chez eux et ailleurs déplore-t-il.
Alors que nos gouvernants déclarent, avec assurance, que notre pays est à l'abri de ce genre de tensions financières mondiales interdépendantes. Alors, vraiment, pas du tout la crise financière chez nous, après les... élections du 9 avril 2009 ?


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