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Parties communes: Des contrôleurs de l'OPGI traquent les squatters
Publié dans Le Quotidien d'Oran le 15 - 08 - 2011

L'option du relogement des squatters des parties communes des immeubles de l'OPGI dans le cadre du nouveau programme de résorption de l'habitat précaire se précise. Des agents de l'Office de promotion et de gestion immobilière (OPGI) sont depuis le début du mois sur le terrain pour le recensement des squatters des parties communes. Les occupants illicites des caves et des terrasses de la cité Lescure ont reçu la semaine dernière la visite des agents de l'OPGI venus pour la réactualisation des listes des squatters. Cette visite inattendue a redonné espoir à de nombreuses familles.
Le revers de la médaille est que certains opportunistes pourront profiter de cette conjoncture pour détourner les parties communes afin de bénéficier du relogement. Les parties communes des immeubles du centre-ville sont au centre de toutes les convoitises. L'assainissement des listes des futurs bénéficiaires ne sera pas cependant de tout repos pour les enquêteurs de l'OPGI. Selon des sources bien informées à la wilaya, le relogement ne concernera que les familles recensées en 2007. Les services concernés ont déjà recensé près de 1.700 familles qui occupent illicitement les caves et les terrasses des immeubles situés dans de nombreuses cités de la ville. La priorité sera donnée aux familles qui squattent les terrasses et les buanderies des 200 immeubles inscrits dans le programme de réhabilitation du vieux bâti à Oran. Ces vieilles bâtisses, construites durant la période coloniale, se situent sur les grandes artères du centre-ville : les rues Larbi Ben M'hidi, Mohamed Khemisti, les Aurès et les boulevards Khedim Mustapha à Sid El Houari et Maata Mohamed El Habib. Les squatters des parties communes des immeubles de l'OPGI de la ville d'Oran avaient protesté au début de l'année pour réclamer le droit au relogement dans le cadre de l'opération de résorption de l'habitat précaire.
Les squatters profitent souvent de la connivence de certains locataires. Nombreux possèdent des pétitions de locataires pour construire leurs taudis sur des parties communes. L'envolée spectaculaire des prix de l'immobilier a poussé les familles démunies à se rabattre sur les parties communes des immeubles. Le moindre espace est détourné par les squatters, généralement des enfants ou des parents des locataires. Les parties communes sont d'ailleurs au centre d'un commerce juteux. Elles sont vendues, échangées et parfois louées pour des sommes considérables. Les conditions de vie dans ces caves restent extrêmes.
Pas d'aération, cohabitation avec les collecteurs de toutes sortes, taux d'humidité élevé, odeurs nauséabondes des circuits d'assainissement, mitoyenneté avec les rats et insectes de tous genres, etc. Les services concernés avaient organisé il y a quelques années une vaste opération de recensement qui devait être suivie par l'expulsion de tous les squatters, mais l'ampleur du phénomène a définitivement dissuadé les responsables de l'OPGI qui se sont finalement contentés d'adresser des mises en demeure aux squatters.


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