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Dégradation du cadre de vie à Hai Essabah: Les habitants de la cité «338 logements» en appellent au wali
Publié dans Le Quotidien d'Oran le 25 - 05 - 2016

Les habitants de la cité ‘338 logements' de Hai Es Sabah se plaignent de l'absence et de la défaillance du réseau d'éclairage public. Depuis plusieurs mois, cette cité située en plein cœur de Hai Es-Sabah et à quelques encablures du siège de la Sûreté urbaine est plongée dans le noir. Tous les lampadaires sont éteints et les habitants ont des difficultés à circuler la nuit, dira l'un des riverains. « L'absence de l'éclairage favorise les agressions et les vols, et il est presque déconseillé de sortir la nuit », témoigne un autre citoyen. «Nous nous amusons jamais à sortir la nuit d'ailleurs, nous le faisons que s'il y a un cas urgent ou durant le mois de Ramadhan, où les magasins ouvrent leurs portes jusqu'à des heures tardives. En dehors de cela, il est presque déconseillé de sortir la nuit car, nous craignons les agressions et les vols dans cette cité située à la périphérie d'Oran », ajoute-t-on.
Les services de l'APC de Sidi Chahmi sont pointés du doigt puisque les citoyens disent avoir dénoncé le problème mais malheureusement, rien n'a été fait et la situation perdure. « Ces derniers doivent au moins assumer leurs responsabilités car la vie et la sécurité des habitants sont en danger », affirme-t-on. Outre le défaut de l'éclairage public, les concernés dénoncent le squat des espaces publics. Devant cet état de fait, les riverains ont interpellé, hier, le wali d'Oran pour que des mesures concrètes soient prises afin d'améliorer leur cadre de vie. Ils signalent également l'absence d'hygiène considérée comme l'un des problèmes majeurs qui caractérise cette cité. Les bacs à ordures sont inexistants devant les blocs et les habitants sont contraints de parcourir une longue distance pour jeter leurs ordures, dans une seule benne pour tout le quartier, dira l'un d'eux. Pire encore, le monument érigé en la mémoire des Martyrs de la Révolution s'est transformé, au fil du temps, en une décharge sauvage créée par les marchands ambulants. Ces derniers à bord de leurs camionnettes ne se soucient nullement des désagréments qu'ils occasionnent et continuent à abandonner leurs détritus, au su et au vu de tout le monde. Au problème de la saleté et de l'insalubrité des lieux, viennent se greffer d'autres contraintes qui ternissent désormais cette cité réceptionnée, dans les années 2002. C'est le cas des trottoirs squattés par les commerçants. Les piétons ne peuvent plus emprunter cet espace public, désormais propriété privée à cause de l'étalage, à même le sol de nombreux produits. Ce qui a condamné les enfants qui sont contraints d'emprunter la chaussée au risque de leur vie. En évoquant ces contraintes, les habitants se disent lésés puisque plusieurs tentatives ont été menées pour remédier à ces problèmes mais en vain.

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