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EL ARSA ET EL HOURIA A MOSTAGANEM ... DES CITES AU VISAGE DE DOUARS / Les élus de l'APC pointés du doigt
Publié dans Réflexion le 12 - 10 - 2015

Depuis plus d'une année, les jeunes de la cité El Houria, un quartier tout proche du centre-ville, ont créé une page Facebook, pour essayer d'attirer l'attention des autorités concernées sur l'état déplorable de leur cité, à travers des messages et des photos publiées sur le mur de la page, mais aucun élu, ni responsable n'a levé le petit doigt pour mettre un terme à leur calvaire... La même image ‘'insolente'' défigure également le quartier El Arsa qui est à une centaine de mètres du quartier El-Houria. Une situation qui complique la vie des citoyens et implique aussi la responsabilité des élus de l'APC de Mostaganem
En visitant les quartiers d'El Arsa et El Houria situés à peine à quelques dizaines de mètres du théâtre de verdure de Mostaganem parallèlement à l'Oued et marché à ciel ouvert d'Ain Sefra, on ne peut que regretter l'état lamentable de leurs bâtiments dégradés et insalubres jusqu'à un stade très avancé, et qu'on ne peut malheureusement que déplorer. De visu, on a l'impression que ces cités seraient totalement abandonnées et oubliées, très mal entretenues, aussi bien par les autorités concernées et également par les résidents qui y habitent.
EL-ARSA L'ANCIENNE RUE DES CITRONNIERS, ‘'MASSACREE'' PAR LA SALETE ET LES BIDONVILLES La cité glorieuse d'El Arsa est connue pour son entrée à partir de « Bab Medjeher», de Sidi Abdellah ou en longeant le mur ancestral qui la sépare de l'Ain Sefra. Elle jouxte le centre-ville à quelques centaines de mètres de distance seulement. En effet, Arsa ex ‘'les Citronniers'' est un quartier ‘'semi-ancestral'' d'où un constat de visu alarmant fait craindre le pire aux citoyens qui s'y aventurent, s'interrogeant sur l'état des bâtiments réceptionnés vers fin 1959 et début des années 1960, des immeubles improvisés et réservés à la communauté musulmane de l'époque qualifiée ‘'d'indigénat'' par l'occupant français. Ce même colonisateur français qui faisait croire aux algériens qu'il leur rendait service en les leurrant et les dupant en volant leur argent, ne leur cédant que des ‘'miettes''. Des bâtiments et/ou des abris construits à la va vite sans étude préalable, qui cinq décennies plus tard se sont vite dégradées étant à la limite de l'insalubrité. On peut malheureusement constater de visu les dégradations avancées et fissures apparentes au niveau des façades des bâtiments, des désagréments qu'on peut mettre sur le compte des mauvaises conditions climatiques qui se sont succédées au fil des ans d'un côté, et particulièrement au défaut d'entretien par l'homme qui contribue à l'accélération rapide du processus de destruction progressive. Des bâtiments sales qui ressemblent à tout sauf à des immeubles décents et habitables, mais plutôt à des cités dortoirs défigurées dont les appartements sont superposés les uns sur les autres érigés sur des terrains investis de salissure et d'eau visqueuse à l'odeur nauséabonde et pestilentielle , où l'on peut remarquer des ordures, et des détritus jonchant les espaces et les rues de ce quartier permettant la prolifération de rats, d'insectes, de parasites nuisant sans aucun doute à la santé des citoyens. Çà et là sont jetées les éternelles ordures qui font figures de mauvaises impressions, on peut aussi voir l'eau stagnante embourbée et sale qui circule en plein milieu de la rue. Des désagréments qui ne semblent déranger personne ni autorités concernées, ni citoyens. A voir ces conditions de vie, on ne peut que déplorer, une telle passivité des citoyens vivant dans des conditions lamentables et sales qu'on vient de décrire plus haut et qui ne sont nullement affectés, et se croient immunisés des dangers sanitaires qui les guettent ainsi que leurs familles pouvant à tout moment nuire à leur santé. Ces résidents ne se soucient guère de l'état de leur environnement. Le comble c'est que le quartier en question dépourvu d'espaces verts, se trouve presque au centre-ville de Mostaganem à peine à quelques centaines de mètres. Hélas, en s'y aventurant, on ne peut que déplorer et regretté l'état, d'une telle cité importante un peu ancestrale de par ses sites, dont les, ‘'fort de l'est, le tombeau du Bey Bouchlaghem ainsi que la fameuse muraille ». Une cité ‘'démodernisée'' au sein d'une civilisation ‘'ruralisante'', qui ne semblerait profiter d'aucun avantage ni de commodités et développement moderne. Une description d'un panorama regrettable dont la situation serait qualifiée d'anarchique.
EL HOURIA, UNE CITE DE PLUS DE 5000 HABITANTS SANS POSTE DE POLICE, LIVREE A SON SORT
epuis sa création, il y a près d'une vingtaine d'années, la cité EL HOURIA maudite par son inauguration qui a été suivi par l'emprisonnement du maire de Mostaganem (DEC) et l4 entrepreneurs chargés de la réalisation du projet pour'' Malfaçon'' , et depuis elle poursuit son escalade vers l'enfer, isolée par les autorités de la commune de Mostaganem , bien que plusieurs élus y habitent , envahie par des délinquants et des réseaux de drogue. La situation s'envenime après que le seul poste de police qui existait auparavant a plié bagage. Demeurant loin de toute prise en charge par l'Etat, les ruelles se dégradent, les trottoirs se détériorent et les immeubles ‘'pleurent'' leur destin. Leur destin de devenir un tableau de peinture pour les drogués et les enfants pour écrire, n'importe quoi... des insultes, des vulgarités, et d'autres dessins ‘'vulnérables''. Résolus que ni l'APC ni les autorités compétentes ne veulent l'entendre, les résidents et surtout les intellectuels, ceux qui n'ont pas pu déménagé, se voient honteux de prononcer le lieu de leur résidence ‘' El-Houria'' Malgré, le poids et l'importance de cette appellation qui désigne l'indépendance de l'Algérie, une Algérie qui a payé la facture d'1 million et demi de chahid pour sa libération.
ALORS VISITEZ EL-HOURIA POUR VERIFIER NOS INFORMATIONS !
Juste à l'entrée de cette cité se trouve un établissement scolaire mitoyen du cimetière ‘'Sidi Kaid M'Hamed'' qui au moment de notre visite, au seuil d'une porte de cette école en question, sensé apprendre les bonnes manières aux élèves, était déposé un petit tas d'ordures en guise de bienvenue dans ce lieu de lumière. En s'aventurant un peu plus loin, les mêmes scènes désolantes décrites apparaissent à nos yeux, et le constat est presque le même, des ordures ménagères sont apparentes à certains endroits. La cité, un peu récente dans la réalisation de ses constructions, semble vieillir, en raison de ces éternelles dégradations de bâtiments présentant des fissures, dont les façades sont sales et qui ne seraient pas entretenues par leurs résidents. Pour redonner une image agréable à ces cités, il faut des efforts considérables.


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