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Bernard Bajolet, un Daesh sans kamis
Publié dans Réflexion le 22 - 09 - 2018

L'espion de la France en Algérie, Bernard Bajolet, nommé le 10 avril 2013 directeur général de la DGSE, ce diplomate controversé, on l'a souvent considéré comme un "ami" du monde arabo-musulman d'après son parcours en costume d'ambassadeur à Alger, Damas, Amman, Sarajevo, Bagdad et Kaboul en 2011. Hypocrite jusqu'à l'os, il sera le premier ambassadeur français à avoir fait chanter l'hymne algérien à la résidence de l'ambassadeur français. En repenti, il avait déclaré que le « temps de la dénégation » des massacres perpétrés par la colonisation en Algérie est terminé, mais après son écartement rempli de méprise, il revient en mercenaire spécial de la DGSE pour cracher dans la soupe.
L'interview accordée par Bernard Bajolet au Figaro le 21 septembre à la veille de la reconnaissance de l'assassinat de Maurice Audin par l‘Elysée vient une nouvelle fois confirmer que ce diplomate n'est en réalité qu'un ambassadeur de l'Algérie française et le porte-parole du lobby de l'OAS qui milite en secret pour exploser les débats pour la reconnaissance de la responsabilité de l'Etat français dans la guerre d'Algérie. Son offense à l'égard du président Bouteflika verse dans le sens de perturber les relations entre l'Algérie et la France qui vise à mettre en hibernation le dossier des tortures et les crimes contre l'humanité commis par la France pendant la guerre d'Algérie.
Bajolet, l'agent double de Jean-Marie Le Pen et les officiers français tortionnaires qui sentaient la corde autour de leur cou après la confirmation de Macron, que la France reconnait avoir instauré un système de tortures en Algérie, vole au secours de ces criminels et provoque volontairement par ses attaques contre le chef de l'Etat algérien de nouvelles crispations entre Alger et Paris, afin de retarder toute approche sur le sujet de l'histoire. Cette histoire qui semble enchainer plusieurs chefs de partis politiques français et des fils de pieds- noirs en postes de haute responsabilité. Sa nostalgie et sa plaidoirie en faveur des pieds-noirs, relayés dans son interview au quotidien français, confirme sa haine contre l'Algérie indépendante. Bernard Bajolet, le fils de Georges Bajolet, ancien combattant de la Seconde Guerre mondiale ne pourra jamais oublier les évènements du 8 mai 1945, d'ailleurs lorsqu'il est venu honorer son père lors du 8-Mai2015 à Contrexéville, une très forte émotion transparait sur son visage, avait écrit le magasine français Vosges Matin. Une émotion qui exprime la soif du fils de venger son père.
Le coordinateur de la DGSE, Bajolet , l'allumeur des guerres civiles en Irak et en Syrie sait garder ses secrets quand il s'agit de son parcours sale. Non, il ne dira rien des opérations secrètes que lui a confiées François Hollande lorsqu'il dirigeait la DGSE et moins encore sur les missions « officieuses » en Syrie. Non, Il ne dira rien sur ses voyages secrets à Alger et sa discussion incognito avec l'ex chef du DRS Toufik et sur sa relation avec l'ancien patron du Scorat, le général Hassan, actuellement incarcéré pour tuyauter les services secrets syriens suite aux échecs de la DGSE à infiltrer les réseaux secrets syriens.
Aujourd'hui, mis à l'écart par le coordinateur des services de renseignements algériens, le Général Athmane Tartag, qui jouit d'une influence en Syrie auprès des services secrets de Bachar El Assad avec laquelle la DGSE a un mal fou à reprendre les ficelles, Il revient par la porte de la presse pour discréditer le président de la République qui prend position avec le régime d'Assad. Un mot de la fin pour conclure : puisque, Bajolet est vraiment un professionnel de la DGSE, qu'il dise au moins à l'opinion publique quelle relation lie le fameux Benalla à son président Macron !?


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