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L'intervention militaire divise toujours la classe politique française
Publié dans Algérie Presse Service le 05 - 09 - 2013

L'option d'intervention militaire en Syrie pour "punir" le régime de Damas, annoncée récemment par le président François Hollande, divisait toujours mercredi soir la classe politique française à l'occasion d'un débat sans vote au Parlement.
Si pour le porte-parole du groupe PS (Parti socialiste, au pouvoir) à l'Assemblée française, Thierry Mandon, "il n'est pas possible de fermer les yeux " devant la dernière attaque au gaz chimique contre la population syrienne imputée au gouvernement en place, l'option militaire " en solo" ne semble pas faire consensus au sein notamment de l'opposition.
De son côté, le président de l'UMP Jean-François Copé a demandé d'attendre les conclusions définitives des inspecteurs de l'ONU avant d'agir. "Ce serait une erreur de le faire trop vite dès lors que l'on n'a pas de certitude absolue", a-t-il fait savoir, ajoutant qu'il faut agir étape après étape".
L'autre voix discordante au sein de l'UMP a été celle du député-maire Jacques Myard, pour qui l'intervention militaire ne pourrait s'opérer hors mandat de l'Onu. " Il n'y a pas de mandat international, c'est de la folie !", a-t-il commenté devant la presse.
Autant de doutes qui ont poussé de nombreux députés et sénateurs à exiger un vote au Parlement. Le président du Parti radical et de l'Union des démocrates et indépendants (UDI), Jean-Louis Borloo, a jugé indispensable, en l'absence d'un feu vert de l'ONU, ce scrutin.
Le coprésident du Parti de gauche, Jean-Luc Mélenchon comme le Parti communiste et les écologistes estiment qu'un vote du Parlement devrait aller "de soi".
Tout en estimant qu'aucune décision ne doit être prise sans un vote du Parlement, le premier secrétaire national du Parti communiste (PC), Pierre Laurent, a affirmé que ce qui est attendu de la France c'est la capacité à proposer une "perspective, une solution, un mode de règlement politique".
"Or, ce qui se prépare, c'est l'inverse : une intervention militaire dont les risques sont énormes et qui, on le sait, ne résoudra rien. La France ne doit pas s'y engager", a-t-il opiné.
Le 29 août dernier, des centaines de personnes s'étaient rassemblées au cœur de Paris pour dire "Non" à une intervention militaire en Syrie et à la participation de la France à une action punitive contre ce pays, a-t-on constaté.
Répondant à un appel du Mouvement de la Paix, une Ong française qui dit s'opposer aux guerres et promouvoir la résolution politique et pacifique des conflits, elles réagissaient à la menace du président Hollande qui avait annoncé, devant la Conférence des ambassadeurs français à l'étranger, qu'une décision sur une action militaire en Syrie serait prise "dans les prochains jours", affirmant que la France était "prête à punir ceux qui ont pris la décision infâme de gazer des innocents" en Syrie.


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